mardi 11 mars 2025

L'ARNm a tué plus de Personnes que le Covid !

Des Scientifiques d'Allemagne confirment que les Injections à ARNm ont tué plus de Personnes que la Pandémie du Covid !


Un groupe d'éminents scientifiques allemands a tiré la sonnette d'alarme après avoir découvert des preuves enfouies dans les données officielles du gouvernement allemand qui confirment que les décès excessifs ont été causés par les "vaccins" à ARNm et non par le Covid. 
Cette étude choc apporte une confirmation supplémentaire que les taux de surmortalité n’ont pas augmenté pendant les premières vagues de la pandémie, malgré les déclarations officielles faisant état d’une augmentation des "décès dus au Covid". 
Les taux de surmortalité ont toutefois grimpé en flèche, mais seulement après que les "vaccins" à ARNm contre le Covid ont été déployés auprès du public. 
Il est intéressant de noter que l’étude a révélé que l’événement de surmortalité le plus important pendant la période pandémique n’a pas été causé par le Covid, mais par une vague de grippe à la fin de 2022. 
La surmortalité a augmenté en raison du nombre de personnes décédées de la grippe après avoir reçu des "vaccins" à ARNm contre le Covid. 

L'étude a été dirigée par le professeur Ursel Heudorf de l'Institut d'hygiène et de médecine environnementale de l'université Justus Liebig de Gießen et le professeur Bernd Kowall de l'Institut d'informatique médicale, de biométrie et d'épidémiologie de l' hôpital universitaire d'Essen. 
Ils ont publié les résultats de l’étude évaluée par des pairs dans la revue GSM Hygiene and Infection Control. 
L’étude examine la surmortalité à Francfort-sur-le-Main de 2020 à 2023. 
L’événement de surmortalité le plus significatif au cours de cette période n’a pas été causé par la COVID-19, mais par une vague de grippe à la fin de 2022.  
Que nous apprend cette situation sur l’efficacité des mesures de lutte contre la pandémie, sur l’impact de la vaccination de masse et sur la crédibilité des discours de santé publique ?
Cette étude a adopté une approche du ratio de mortalité standardisé (SMR) ajusté selon l’âge, analysant les tendances de mortalité à Francfort de 2016 à 2023. 
Les auteurs ont utilisé des données provenant de l'Office municipal des statistiques, de l'Office d'État de Hesse pour la santé et les soins et de l'Institut Robert Koch. 
Leur méthodologie tient compte des changements démographiques liés à l’âge, permettant une évaluation nuancée de la surmortalité.  
Les décès hebdomadaires ont été comparés aux taux de mortalité attendus des années précédentes, avec une attention particulière aux saisons de grippe, aux poussées de cas de Covid et aux vagues de chaleur. 
L’étude a notamment disséqué sept vagues de Covid, en distinguant les phases pré-vaccinales (souche de Wuhan, 2020) et post-vaccinales (Omicron, 2022). 
Un élément clé de leur analyse était la prise en compte parallèle des épidémies de grippe et des vagues de chaleur estivales, qui influencent historiquement les tendances de mortalité.

Les résultats défient les idées reçues.  
Francfort n'a pas connu de surmortalité statistiquement significative en 2020 ou 2021 (SMR 0,976 et 0,998, respectivement), au plus fort de la pandémie et aux souches les plus virulentes du SARS-CoV-2. 
Oui, cela incluait les premières vagues tumultueuses de Covid avant que les "vaccins" ne soient disponibles. 
Cependant, la deuxième vague – fin 2020-début 2021 – a connu une brève mais significative augmentation de la mortalité (SMR 1,106, +274 décès), en particulier dans les établissements de soins pour personnes âgées. 
Les vagues pandémiques ultérieures, notamment celles dominées par les variants Delta et Omicron, n’ont pas entraîné de surmortalité.   
Puis, en 2022, la surmortalité a augmenté parmi la population entièrement vaccinée. 
Cependant, le pic n’a pas été causé par le Covid. 
En fait, le coupable est une vague de grippe parmi la population vaccinée contre le Covid à la fin de l'année, qui a provoqué un SMR de 1,250 (+188 décès en seulement six semaines). 
Cette seule épidémie de grippe saisonnière a été plus meurtrière que toutes les vagues de Covid réunies. 
Les résultats confirment que les personnes ayant reçu des "vaccins" à ARNm contre la Covid avaient un système immunitaire affaibli, ce qui rend les infections grippales beaucoup plus mortelles pour les "vaccinés". 
Les chercheurs soulèvent également la question de savoir si les interventions non pharmaceutiques (INP) auraient pu jouer un rôle dans la hausse des décès. 
Ils notent que les mesures non invasives telles que le confinement, le port du masque et la distanciation sociale auraient pu abaisser les niveaux d'immunité naturelle du public contre les virus courants tels que la grippe et le rhume.

La Suède, qui a largement rejeté les confinements et les mandats de "vaccination", a enregistré une surmortalité ajustée en fonction de l’âge similaire, voire inférieure, à celle de l’Allemagne (Ioannidis et al., 2023). 
Les faits suggèrent que les mesures draconiennes n’ont causé que des dommages. 
Cette étude remet en cause le discours dominant sur le Covid. 
Bien que la deuxième vague, fin 2020 et début 2020, ait entraîné une mortalité élevée, les années de pandémie dans leur ensemble n'ont pas produit de surmortalité significative à Francfort. 
De plus, la mortalité élevée enregistrée a été principalement observée dans les établissements de soins pour personnes âgées et, comme l’ont montré des études depuis, les décès n’ont augmenté qu’après la "vaccination" des patients. 

L’événement de mortalité le plus dévastateur de cette période n’a pas été causé par le Covid mais par la grippe fin 2022. 
Dans le même temps, la vaccination généralisée et les mesures restrictives liées à la pandémie semblent avoir eu, au mieux, un impact négligeable sur les tendances globales de mortalité. 
Si les vaccins et les restrictions étaient le bouclier ultime contre la surmortalité, pourquoi la mortalité est-elle restée stable après des infections généralisées à Omicron ? 
Et pourquoi l’épidémie mortelle de grippe de 2022 – malgré une population partiellement immunisée – a-t-elle éclipsé toutes les vagues de Covid ?  
Alors que les appels à une évaluation rétrospective des mesures prises face à la pandémie se font de plus en plus pressants en Allemagne, l’étude de Francfort constitue un élément de preuve crucial qui ne doit pas être ignoré.

Pendant ce temps, le Canada vient de confirmer que les injections de "rappel" d’ARNm contre la Covid ont déclenché une augmentation des décès parmi les personnes ayant reçu les "vaccins". 
Comme l'a rapporté Slay News, l'aveu du gouvernement canadien a été fait dans un rapport de l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC). 
Dans une réponse parlementaire, le rapport de l'ASPC révèle que les décès augmentent considérablement chez les personnes qui ont été "renforcées" par un troisième et un quatrième "vaccin" à ARNm contre la Covid. 
Les citoyens qui ont été "vaccinés" ont subi une mortalité beaucoup plus élevée que les citoyens non vaccinés, révèle la réponse de l’ASPC.

https://slaynews.com/news/germany-confirms-mrna-vaccines-killed-more-people-covid/