mercredi 2 avril 2025

Le FBI travaillait pour l'État Profond contre Trump

Le FBI travaillait pour l'État Profond contre Trump lors des Élections 2020, et le Silence sur l'Ordinateur de Hunter Biden était voulu pour Truquer l'Élection ! 


Les journaux de discussion du FBI confirment le coup d'État de l'État Profond contre Trump comme l'ordre de bâillonnement de l'ordinateur portable de Hunter Biden qui était une vaste opération de dissimulation pour truquer l'élection de 2020 et voler la présidence à Trump !
L'élection de 2020 n'était pas une élection. 
C'était une opération. 
Une véritable opération de démantèlement psychologique, numérique et de renseignement contre le président des États-Unis en exercice, Donald J. Trump, qui était en passe de remporter un second mandat éclatant. 
Le 1er avril 2025, des journaux de discussion internes du FBI récemment publiés confirment exactement ce que beaucoup d'entre nous savaient depuis le premier jour : le régime Biden, la CIA et le FBI ont tout manipulé de l'intérieur. 
Il ne s'agissait pas seulement de faire taire un scandale. 
Il s'agissait de taire la vérité, de détruire le dernier obstacle sur la route des mondialistes et d'empêcher Trump de tout révéler. 
L'ordinateur portable de Hunter Biden était le détonateur. 
Il n'a jamais été question uniquement des perversions de Hunter, de la drogue ou de transactions douteuses. 
Il s'agissait de l'empreinte numérique – la preuve indéniable de l'empire financier de la famille Biden à l'étranger : Chine, Ukraine, Roumanie, Kazakhstan, Russie. 
Tout était stocké sur cet ordinateur portable. 
Photos, vidéos, e-mails, virements bancaires, SMS, messages vocaux. 
Tous les fichiers, confirmés par le FBI en 2019 – et enterrés sur ordre direct des hauts gradés.

Le 14 octobre 2020, lorsque le New York Post a publié le rapport choc détaillant le contenu de ce disque dur, la panique a été immédiate au sein de la communauté du renseignement. 
En quelques heures, des agents du FBI ont imposé une ordonnance de confidentialité interne concernant l'affaire. 
Les journaux de discussion, désormais dévoilés par la commission judiciaire de la Chambre des représentants, montrent que le FBI avait donné l'ordre suivant : "Ne parlez pas de l'affaire Biden."  
Soyons clairs : il s’agissait d’ordres, et non de suggestions. 
Ils provenaient de personnalités comme Elvis Chan, Laura Dehmlow et Bradley Benavides, désormais démasqués comme des acteurs clés du complot d’ingérence électorale. 
Il ne s’agit pas d’agents aléatoires. 
Ce sont des outils de l’État Profond, activés pour neutraliser Trump et protéger Biden avant que la vérité ne se répande à travers le pays. 
Et maintenant, en avril 2025, avec Donald Trump rétabli comme commandant en chef légitime, le masque est arraché. 
Nous savons désormais que la CIA s'est directement coordonnée avec l'équipe de campagne de Biden pour propager le mensonge selon lequel l'ordinateur portable était une "désinformation Russe". 
Dans les derniers jours précédant l'élection de 2020, 51 anciens responsables du renseignement ont signé une lettre de diffamation coordonnée pour assurer une couverture médiatique et fournir aux géants du numérique un prétexte pour étouffer l'article du Washington Post. 
Ce récit était entièrement fabriqué de toutes pièces. Rien n'était vrai, et ils le savaient.

Comment le savons-nous ? 
Parce qu'au moins deux des signataires de la lettre – Michael Morell et l'ancien inspecteur général de la CIA David Buckley – étaient encore sous contrat avec la CIA à l'époque. 
Ils étaient actifs . Pas retraités. Pas ignorants. 
Des agents actifs ayant accès aux installations de la CIA , bénéficiant d'une habilitation spéciale de "carte verte" et d'une rémunération Fédérale. 
Pire encore : le Comité de révision de la classification des prépublications (PCRB) de la CIA, qui examine les déclarations d'anciens responsables du renseignement, savait que la lettre contenait des informations confidentielles. 
Il les a simplement effacées, a approuvé le reste et a laissé le mensonge se propager dans les médias.  
Ils ont tout coordonné de l'intérieur. 
Selon les documents, la directrice de la CIA de l'époque, Gina Haspel, et le directeur adjoint, Vaughn Bishop, ont été informés avant la publication de la lettre. 
Ils avaient toutes les chances de l'empêcher, et au lieu de cela, ils ont laissé sa publication comme un acte de guerre politique directe. 
Andrew Makridis, alors directeur des opérations de la CIA, a admis avoir personnellement informé la direction. 
Il ne s'agissait pas d'une activité malveillante. 
Il s'agissait d'une opération autorisée. 
Une attaque calculée contre un président en exercice, planifiée avec précision et exécutée par un réseau d'agents fédéraux corrompus, d'agents des services de renseignement, de faux journalistes et de milliardaires du secteur technologique. 
Entre-temps, le FBI était en possession de l'ordinateur portable depuis octobre 2019. 
Ils ont vérifié qu'il appartenait bien à Hunter en comparant son numéro de série à son identifiant iCloud Apple. 
Ils ne l'ont pas simplement gardé secret. 
Ils l'ont protégé, mis de côté, puis déployé des agents pour étouffer l'affaire dès qu'elle a éclaté dans les médias. 
Ils ont tous collaboré – la CIA, le FBI, le Comité national démocrate et les médias institutionnels – pour détourner la présidence. 
Ils se sont entendus pour enterrer les preuves qui auraient anéanti la campagne de Joe Biden et offert à Trump la victoire éclatante qu'il avait méritée.

Et qu'ont fait les médias ? 
Ils n'ont pas remis en question le mensonge. 
Ils l'ont répété, encore et encore. 
Kristen Welker de NBC a répété la fausse thèse de l'ingérence russe lors du dernier débat présidentiel. 
Elle n'était pas journaliste. 
C'était une porte-parole contrôlée. 
Elle ne s'est jamais corrigée. 
Elle n'aura jamais à rendre de comptes, à moins que la nouvelle administration Trump n'aille jusqu'au bout. 
Rappelons la séquence : 
• Octobre 2019 : le FBI récupère l'ordinateur portable et confirme qu'il appartient à Hunter.
• Mi-2020 : les Agences de renseignement entament des discussions avec la campagne Biden.
• Octobre 2020 : des sous-traitants de la CIA et des initiés de Biden coordonnent la fausse lettre.
• 14 octobre 2020 : Le NY Post révèle l'histoire. Le FBI impose des ordonnances de bâillonnement à ses Agents.
• 22 octobre 2020 : Le modérateur du débat utilise le mensonge scénarisé par la CIA à la télévision nationale.
• Novembre 2020 : L'élection par correspondance truquée se déroule sous un black-out médiatique total.

Ce n'est pas un hasard. 
Il s'agit d'une opération psychologique multi-agences ciblant l'électeur américain, falsifiant la perception et contrôlant la réalité elle-même. 
Et n'allez pas croire une seule seconde que tout s'est terminé avec l'ordinateur portable. 
Ces mêmes agents ont alimenté l'hystérie liée à la COVID pour manipuler les bulletins de vote par correspondance, censurer les partisans de Trump sur les réseaux sociaux, réaliser de faux sondages et déclarer Joe Biden vainqueur avant même qu'un seul tribunal ne puisse évaluer la fraude. 
C'était un coup d'État au vu et au su de tous, et nous en subissons encore les conséquences. 
Mais maintenant que la commission judiciaire de la Chambre des représentants et la division du renseignement militaire, fidèle à Trump, ont dévoilé les documents, le masque est tombé. 
Le marais n'a pas seulement perturbé une élection : il l'a dirigée. 
Il a choisi le vainqueur.

Aujourd'hui, en 2025, nous assistons à l'effondrement de leur château de cartes. 
Un lanceur d'alerte après l'autre. Un dossier déclassifié après l'autre. 
Les noms sont dévoilés. Les preuves sont irréfutables. 
Il ne s'agit pas seulement de Hunter Biden. 
Il s'agit du complexe militaro-industriel et de renseignement qui pensait pouvoir substituer la volonté du peuple par le chantage, la censure et le mensonge. 
Ils voulaient la démission de Trump parce qu'il était le seul invincible, le seul qu'ils ne pouvaient ni faire chanter ni réduire au silence. 
Et ils ont échoué. Trump est de retour. 
Les enquêtes s'étendent. Guantanamo est prêt. 
Et ceux qui ont orchestré le coup d'État des services de renseignement de 2020 vont affronter la tempête qu'ils ont tenté de déchaîner contre lui. 
Pas d'accord. Pas de pardon. Pas d'échappatoire. 
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