Les Injections à ARNm, "Sûres et efficaces", déclencheraient, entre autre, un Diabète de Type 1 Fulminant, suite à l'Arrêt de la Production de l'Insuline par le Pancréas !

Un homme jeune et en bonne santé – sans antécédents médicaux ni prédisposition génétique. Une seule différence : il avait reçu sa troisième dose du vaccin à ARNm Moderna 16 jours plus tôt.
Puis est arrivée la nouvelle qui a fait peur : une pancréatite aiguë, suivie d’une des maladies auto-immunes les plus graves connues : un diabète de type 1 fulminant.
De la coercition à l'approbation, du silence à la répression : l'histoire du vaccin à ARNm contre la COVID-19 est de plus en plus dépassée par les réalités cliniques.
Un nouveau rapport de cas réalisé par des médecins japonais, publié dans la revue Internal Medicine , est plus qu'une simple observation médicale isolée : il constitue un signe avant-coureur de l'échec de toute une stratégie de vaccination.
La vérité clinique derrière les promesses !
Le patient de 31 ans est arrivé à l'hôpital avec de la fièvre et des douleurs abdominales.
Ce qui semblait initialement être une pancréatite s'est révélé quelques jours plus tard être un diabète de type 1 fulminant, une maladie pouvant conduire au coma sans intervention rapide.
La production d'insuline était pratiquement nulle, le peptide C était indétectable et la glycémie était à 320 mg/dl.
L'organisme avait arrêté son propre pancréas, alimenté par un déchaînement immunitaire.
La cause ? Les médecins soupçonnent le vaccin à ARNm.
Non pas par conviction politique, mais en raison du contexte temporel, du profil immunologique et de la fréquence de signalements similaires dans le monde.
Il ne s’agit pas d’un cas isolé, mais d’une tendance !
Plusieurs autres cas ont déjà été documentés dans la littérature : des réactions auto-immunes graves, parfois irréversibles, surviennent quelques jours à quelques semaines après les injections d'ARNm.
Parmi celles-ci, on peut citer :
- diabète de type 1
- hépatite auto-immune
- Inflammation de la thyroïde
- syndrome de Guillain-Barré
Et ce ne sont là que des cas documentés : les experts ont longtemps supposé que le nombre réel pourrait être bien plus élevé.
Pourquoi personne n'a prévenu ?
L'aspect le plus troublant de ce cas est peut-être que le jeune homme ne présentait aucun facteur de risque génétique.
Les types HLA utilisés n'avaient jamais été associés à cette maladie.
Cela suggère également que la vaccination était le principal facteur déclenchant.
Et pourtant, les autorités sont restées silencieuses, les médias ont minimisé la situation et les critiques ont été censurées.
Des millions de personnes ont été contraintes à une soi-disant "vaccination obligatoire" – avec la promesse que la technologie de l'ARNm était sûre.
Nous en savons désormais plus.
La seule question est : combien de personnes ont dû tomber malades avant que les gens n'écoutent ?
« Sûr et efficace » – ou préjudice systématique ?
Le vaccin est censé protéger. Mais que se passerait-il s'il avait l'effet inverse sur une partie de la population ?
Et si, au lieu de sauver des vies, la campagne de vaccination ouvrait la voie à des maladies chroniques, voire à la mort, pour certains ?
Dans un monde juste, de tels cas ne seraient pas considérés comme des "incidents isolés regrettables". On y regarderait de plus près. Les causes seraient étudiées. Les responsabilités seraient reconnues.
Mais jusqu’à présent, c’est le contraire qui se produit : la plateforme d’ARNm est en cours d’expansion, les autorités réglementaires éludent la question – et des personnes comme ce jeune patient restent dépendantes de l’insuline à vie.
Conclusion : Le prix du silence
Ce n'était ni un complotiste, ni un anti-vaccin, ni un blogueur, mais une équipe de médecins spécialistes japonais qui ont documenté ce cas.
Et ils ont clairement affirmé : "La vaccination a très probablement été le déclencheur."
La campagne de vaccination ne sera pas inversée.
Mais nous pouvons exiger des éclaircissements – une science réelle, indépendante et non contrôlée politiquement.
Tant que cela fera défaut, ce cas ne restera pas un incident tragique et isolé, mais un signe avant-coureur de ce que beaucoup redoutaient :
Que nous avons vécu une intervention médicale de masse dont nous ne comprenons toujours pas aujourd’hui les conséquences à long terme.
https://www.jstage.jst.go.jp/article/internalmedicine/64/11/64_5053-24/_pdf/-char/en