jeudi 25 septembre 2025

Le Wokisme en Suisse Gagne-t-il du Terrain ?

Une École Primaire en Valais, est devenue le Théâtre d’une Expérience Sociale aussi Intrusive qu’Inquiétante avec Des toilettes Mixtes imposées aux Élèves !  


Au nom de l’inclusivité, on sacrifie l’intimité des plus vulnérables : nos enfants.
En imposant des toilettes exclusivement non genrées à des enfants âgés de 4 à 12 ans, l’établissement sacrifie sans vergogne l’intimité des plus jeunes sur l’autel d’une inclusivité dogmatique. 
Ce dispositif, qui abolit toute séparation entre les sexes, ne répond à aucune demande des familles mais bien à une lubie idéologique importée des campus américains. 
Le spectacle consternant de petits garçons et de petites filles contraints de partager ces espaces intimes, à un âge où la pudeur se construit, soulève une légitime indignation. 
Des parents, soucieux du bien-être de leur progéniture, montent au créneau pour dénoncer une violation flagrante de leur innocence. 
Leur bon sens se heurte au mur d’un progressisme radical qui préfère dissoudre les repères naturels au nom d’un genre fluide et déconstructeur.

La Suisse plonge lentement dans le wokisme nocif et pervers : "Malaise autour des nouveaux WC non genrés à l'école primaire Flambant neuf, un établissement scolaire pour 4 à 12 ans ne comporte que des toilettes mixtes. 
Une rareté en Suisse. 
Des parents montent au front."  
Cette dérive ne saurait être isolée. 
Zurich a ouvert la marche dès 2022 en généralisant les sanitaires neutres dans un tiers de ses nouveaux bâtiments scolaires. 
Le Valais, à son tour, semble plier le genou devant ce nouveau diktat, envisageant d’étendre le modèle à ses administrations. 
Derrière les grands discours sur l’égalité se cache une négation inquiétante des réalités biologiques et psychologiques de l’enfance. 
Les toilettes séparées, loin d’être une relique obsolète, constituent une protection élémentaire contre les confusions et les risques que promet ce mélange forcé. 
La réaction sur les réseaux sociaux ne s’est pas fait attendre, des posts dénonçant ce "wokisme nocif" devenant viraux à juste titre. 
Alors que l’Europe affronte des défis autrement plus pressants – inflation, crise migratoire et économique, effritement des valeurs –, on choisit ici de mobiliser l’argent public pour satisfaire les exigences d’une minorité activiste. 
Cette entreprise de déconstruction systématique, qui s’en prend en priorité à l’institution scolaire, sape les fondements de notre civilisation : la famille, le respect des différences naturelles et la protection de la jeunesse. 
Une lueur d’espoir provient heureusement du canton de Vaud, où le Conseil d’État a intelligemment rejeté une proposition similaire, maintenant l’obligation de sanitaires distincts dans les lieux publics.