Macron a Refusé l'Indépendance Énergétique de la France, que voulait mettre en place le PDG d'EDF, Luc Rémont, en le virant sur Ordre des Mondialistes !

Ce qui vient de se passer en France n'est pas un incident interne.
Il ne s'agit pas de la carrière d'un PDG ni d'un conflit politique mineur.
Ce qui est arrivé à Luc Rémont, PDG d'EDF, le plus grand fournisseur Français d'énergie nucléaire, aujourd'hui exécuté, s'inscrit dans le cadre d'une opération de démantèlement coordonnée, orchestrée non seulement par le régime autoritaire de Macron, mais aussi par le même réseau mondialiste de l'État Profond qui infecte les démocraties occidentales depuis des décennies.
Nous assistons à la poursuite d’une opération de sabotage transatlantique, qui a débuté sous Obama, s’est métastasée sous Biden et qui maintenant – même après que leur marionnette a été retirée de la Maison Blanche en janvier 2025 par le retour légitime du président Trump – est maintenue en vie grâce à leurs actifs étrangers comme Emmanuel Macron.
Il ne s'agit pas seulement d'une lutte de pouvoir politique.
Nous assistons à la poursuite d’une opération de sabotage transatlantique, qui a débuté sous Obama, s’est métastasée sous Biden et qui maintenant – même après que leur marionnette a été retirée de la Maison Blanche en janvier 2025 par le retour légitime du président Trump – est maintenue en vie grâce à leurs actifs étrangers comme Emmanuel Macron.
Il ne s'agit pas seulement d'une lutte de pouvoir politique.
Il s'agit de l'occupation silencieuse de l'infrastructure la plus vitale de la France – son réseau nucléaire – par la même cabale qui a tenté d'asservir les États-Unis par la dépendance énergétique, la tyrannie médicale et la surveillance numérique.
Et Macron est leur chouchou en Europe.
Soyons brutalement clairs : Rémont a été purgé parce qu’il faisait obstacle à un État de surveillance basé sur l’énergie – un État conçu et financé par l’État Profond américain, mis en œuvre par la technocratie de l’UE et appliqué par des traîtres au sein des gouvernements nationaux.
EDF était le dernier bastion — Rémont voulait la souveraineté, pas la soumission !
Luc Rémont ne se contentait pas de diriger un service public.
Soyons brutalement clairs : Rémont a été purgé parce qu’il faisait obstacle à un État de surveillance basé sur l’énergie – un État conçu et financé par l’État Profond américain, mis en œuvre par la technocratie de l’UE et appliqué par des traîtres au sein des gouvernements nationaux.
EDF était le dernier bastion — Rémont voulait la souveraineté, pas la soumission !
Luc Rémont ne se contentait pas de diriger un service public.
Il s'efforçait de mener une renaissance souveraine de l'indépendance énergétique de la France.
Il refusait de confier l'avenir d'EDF aux technocrates de Klaus Schwab, au cartel ESG de Larry Fink ou aux survivants de Biden encore ancrés dans les structures de commandement de l'UE et de l'OTAN.
N'oublions pas : EDF contrôle 70% de la production d'électricité française, presque entièrement nucléaire.
N'oublions pas : EDF contrôle 70% de la production d'électricité française, presque entièrement nucléaire.
C'est un pouvoir stratégique.
Et c'est ce pouvoir stratégique que convoite le plus l'État Profond.
Macron, ancien banquier Rothschild, a été installé pour maintenir la France soumise au système mondialiste.
Macron, ancien banquier Rothschild, a été installé pour maintenir la France soumise au système mondialiste.
Il ne représente pas le peuple français.
Il représente Davos.
Il obéit au même cartel fantôme qui nous a donné des guerres sans fin, des confinements, l'eugénisme de Big Pharma et des élections volées.
Rémont échappait à leur contrôle sur EDF, établissant des ponts avec la Pologne, l'Italie, la Suède et la République tchèque.
Rémont échappait à leur contrôle sur EDF, établissant des ponts avec la Pologne, l'Italie, la Suède et la République tchèque.
Il formait une nouvelle alliance nucléaire entre nations souveraines.
Ce genre d'initiative terrifie la cabale mondialiste.
Car il ne s'agissait pas seulement d'énergie.
Il s'agissait d'indépendance.
Indépendance vis-à-vis de l'UE.
Indépendance vis-à-vis de l'UE.
Indépendance vis-à-vis des quotas énergétiques de l'OTAN.
Et surtout, indépendance vis-à-vis du réseau de contrôle de l'État Profond Américain, fondé sur les identités numériques, les crédits carbone et le contrôle centralisé de l'électricité.
Pourquoi l'État Profond américain n'a pas permis à Rémont de réussir !
Alors que le Président Trump continue de démanteler l'État Profond depuis l'intérieur des États-Unis – gelant les agences anticonstitutionnelles, vidant le cartel du renseignement et rétablissant le pouvoir constitutionnel au peuple – les mondialistes s'accrochent à leurs derniers bastions en Europe. Et la France, sous Macron, en est l'épicentre.
Ce qu'ils craignent le plus actuellement, c'est un effet domino : la propagation des modèles énergétiques souverains et leur alignement sur la doctrine de Trump, fondée sur la domination énergétique et le nationalisme économique.
Alors que le Président Trump continue de démanteler l'État Profond depuis l'intérieur des États-Unis – gelant les agences anticonstitutionnelles, vidant le cartel du renseignement et rétablissant le pouvoir constitutionnel au peuple – les mondialistes s'accrochent à leurs derniers bastions en Europe. Et la France, sous Macron, en est l'épicentre.
Ce qu'ils craignent le plus actuellement, c'est un effet domino : la propagation des modèles énergétiques souverains et leur alignement sur la doctrine de Trump, fondée sur la domination énergétique et le nationalisme économique.
Rémont a été l'un des premiers à adopter cette philosophie en Europe.
Il souhaitait qu'EDF finance son propre développement.
Il voulait des prix de marché équitables, et non des subventions énergétiques aux grandes entreprises.
Il a refusé d'alimenter le monstre ESG.
Et pire encore — de leur point de vue — Rémont commençait à collaborer discrètement avec des technocrates américains alignés sur le mouvement de restauration de Trump.
Oui, il y avait des rumeurs de discussions en coulisses.
Et pire encore — de leur point de vue — Rémont commençait à collaborer discrètement avec des technocrates américains alignés sur le mouvement de restauration de Trump.
Oui, il y avait des rumeurs de discussions en coulisses.
Des développeurs d'énergie quantique basés aux États-Unis.
Des chercheurs nucléaires français résistant aux restrictions de l'UE.
Des visites secrètes d'ingénieurs américains travaillant hors de la juridiction du Département de l'Énergie de Biden, aujourd'hui disparu.
L'État Profond ne pouvait se permettre de laisser ce réseau s'implanter. C'est pourquoi Macron a reçu de nouveaux ordres de Bruxelles et de Langley.
L'État Profond ne pouvait se permettre de laisser ce réseau s'implanter. C'est pourquoi Macron a reçu de nouveaux ordres de Bruxelles et de Langley.
Rémont devait être démis de ses fonctions.
L'échange Framatome Macron-Fontana : une installation de type cheval de Troie !
Ils ont maintenant installé Bernard Fontana, un dirigeant de Framatome connu pour ses liens avec l'Atlantic Council, le Forum Économique Mondial et les lobbies nucléaires liés à Raytheon.
Ils ont maintenant installé Bernard Fontana, un dirigeant de Framatome connu pour ses liens avec l'Atlantic Council, le Forum Économique Mondial et les lobbies nucléaires liés à Raytheon.
Il ne s'agit pas seulement d'un bureaucrate français.
Il s'agit d'un agent transnational, choisi avec soin pour intégrer EDF dans la matrice de surveillance.
Fontana finalisera ce à quoi Rémont a résisté :
Fontana finalisera ce à quoi Rémont a résisté :
• Lier l'énergie domestique aux scores carbone numériques
• Lancement d'un pilote d'accès utilitaire biométrique à Lyon (prévu pour juin 2025)
• Forcer l’industrie française à signer des "contrats de fidélité climatique" qui ne récompensent que les entreprises qui s’alignent sur les critères de la politique numérique de l’UE — des critères rédigés avec la participation directe de l’État profond américain
Il ne s'agit plus de la France.
• Lancement d'un pilote d'accès utilitaire biométrique à Lyon (prévu pour juin 2025)
• Forcer l’industrie française à signer des "contrats de fidélité climatique" qui ne récompensent que les entreprises qui s’alignent sur les critères de la politique numérique de l’UE — des critères rédigés avec la participation directe de l’État profond américain
Il ne s'agit plus de la France.
Il s'agit de créer un prototype de régime énergétique exportable et imposé à tous les pays de l'OTAN – un système où vos lumières, votre chauffage et vos appareils ne s'allumeront que si votre comportement numérique est acceptable.
Et tout a commencé avec l’exécution de Rémont.
Et tout a commencé avec l’exécution de Rémont.
Chronologie d'un coup d'État : soutenu par Biden, mis en œuvre par Macron !
Nous savons que la chute de la direction indépendante d’EDF était planifiée bien avant la réunion de mars 2025 du Conseil de politique nucléaire restreint de Macron.
Des sources internes confirment que, depuis fin 2023, des réunions entre les attachés énergétiques de Biden et les responsables de la transition numérique de Macron ont commencé à esquisser le cadre de "protocoles énergétiques euro-américains harmonisés".
Nous savons que la chute de la direction indépendante d’EDF était planifiée bien avant la réunion de mars 2025 du Conseil de politique nucléaire restreint de Macron.
Des sources internes confirment que, depuis fin 2023, des réunions entre les attachés énergétiques de Biden et les responsables de la transition numérique de Macron ont commencé à esquisser le cadre de "protocoles énergétiques euro-américains harmonisés".
Les documents sont là. Les financements sont là.
Certaines des entreprises impliquées sont les mêmes entrepreneurs qui ont promu le projet de loi sur les infrastructures de Biden en 2021 – et elles travaillent désormais au sein de ministères français.
Il s’agissait d’un coup d’État silencieux, financé par des initiatives climatiques, déguisé en décarbonisation, mais conçu pour l’autoritarisme numérique.
Le retard du projet de réacteur national d'EDF ?
Il s’agissait d’un coup d’État silencieux, financé par des initiatives climatiques, déguisé en décarbonisation, mais conçu pour l’autoritarisme numérique.
Le retard du projet de réacteur national d'EDF ?
C'était un écran de fumée.
Il n'a jamais été question de délais.
Il s'agissait de créer une crise artificielle pour justifier une purge.
Le scénario classique de l'État Profond : créer le problème, désigner sa cible comme la cause, puis proposer sa marionnette comme la solution.
La fin de partie de Macron : un alignement total sur le réseau numérique post-nation !
Aujourd'hui, le régime de Macron avance à toute vitesse avec son vaccin énergétique pour la souveraineté nationale : l'intégration d'EDF dans le Réseau de contrôle numérique européen — une infrastructure hybride d'intelligence énergétique qui :
Aujourd'hui, le régime de Macron avance à toute vitesse avec son vaccin énergétique pour la souveraineté nationale : l'intégration d'EDF dans le Réseau de contrôle numérique européen — une infrastructure hybride d'intelligence énergétique qui :
• Enfermez chaque foyer français dans des compteurs intelligents à reconnaissance faciale
• Appliquer des limites de consommation pendant les "poussées de crise" liées aux niveaux de préparation de l'OTAN
• Pénaliser les entreprises non conformes avec des rétrogradations automatiques du réseau
• Suivre, tracer et restreindre la production d’énergie indépendante (en particulier dans les zones rurales alignées sur les mouvements anti-mondialistes)
Il ne s'agit pas d'hypothèses.
• Appliquer des limites de consommation pendant les "poussées de crise" liées aux niveaux de préparation de l'OTAN
• Pénaliser les entreprises non conformes avec des rétrogradations automatiques du réseau
• Suivre, tracer et restreindre la production d’énergie indépendante (en particulier dans les zones rurales alignées sur les mouvements anti-mondialistes)
Il ne s'agit pas d'hypothèses.
Il s'agit de projets publiés dans la loi européenne sur la résilience numérique 2025, adoptée début février avec le soutien sans réserve de Macron et d'Ursula von der Leyen.
Et quel était le seul obstacle restant ?
Luc Rémont.
Et quel était le seul obstacle restant ?
Luc Rémont.