mercredi 21 mai 2025

Indemnisation après Décès au Vaxx Covid !

Décès après vaccination contre la COVID-19 officiellement reconnu : l'Italie verse une indemnisation – un précédent qui a un effet de signal !  


Le 20 mai 2025, une affaire explosive a été publiée dans l' International Journal of Forensic Sciences, susceptible d'avoir des conséquences juridiques et politiques de grande envergure : les autorités sanitaires italiennes ont reconnu le décès d'un homme de 72 ans après avoir reçu le vaccin AstraZeneca comme étant lié au vaccin. 
La famille du défunt a reçu une indemnisation de l'État d'environ 100.000 euros en 2024. Il s'agit d'un précédent rare mais clairement documenté – et d'un moment décisif dans la question de la responsabilité vaccinale.

Le cas : vacciné en bonne santé, décédé après 43 jours ! 
Selon le rapport, l'homme était en « excellente condition physique » avant la vaccination, selon les dossiers médicaux. 
Deux semaines après la première dose du vaccin ChAdOx1 nCoV-19 (AstraZeneca), des symptômes graves sont apparus : éruptions cutanées, fièvre, essoufflement. 
À l’hôpital, son état s’est rapidement détérioré. Après 15 jours d'hospitalisation et un total de 43 jours après la vaccination, le patient est décédé. 
L'autopsie a révélé des résultats alarmants : une thrombose massive , notamment dans la microcirculation artérielle, a conduit à une défaillance multiviscérale à la suite d'une coagulopathie liée à la consommation. 
La commission médicale présente a conclu que le décès était une conséquence directe de la vaccination.

Pas un cas isolé – mais systématiquement rendu invisible ? 
Le cas n’est pas isolé. Des complications similaires – notamment le désormais bien connu syndrome VITT (thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin) – ont déjà été enregistrées dans plusieurs pays en 2021, notamment en Allemagne, en Grande-Bretagne et en Thaïlande. 
Mais rarement un lien de causalité aussi clair a été officiellement confirmé, et encore moins compensé. 
Dans ce cas, cependant, la pression était manifestement trop forte : le gouvernement italien a payé et la documentation scientifique a été rendue publique – même si dans des cas comparables, le silence et la désescalade médiatique étaient généralement préférés.

Indemnisation oui – Responsabilité non ? 
Ce qui reste est un point d’interrogation systémique : si un État reconnaît et indemnise de manière démontrable les décès liés aux vaccins, qui porte alors la responsabilité politique et médicale ? 
Où est le débat public sur l’évaluation des risques, l’éducation et le contrôle ? 
Au lieu de cela, il continue : "Un cas tragique et isolé." 
Presque aucun média grand public ne mentionne dans le même souffle que le vaccin AstraZeneca a finalement été retiré du marché par l’EMA en mai 2024.

L'autopsie comme vérité finale ! 
L'affaire le prouve une fois de plus : seule une autopsie permettra de faire éclater la vérité. 
Le fait que cette dernière forme d’information médicale ait été omise dans de nombreux pays pendant la pandémie jette une lumière sombre sur la manière dont les complications liées aux vaccins sont traitées – et sur la crédibilité des discours de santé publique.

Conclusion : 
La reconnaissance de ce décès lié au vaccin par une agence gouvernementale constitue un tournant – juridiquement, médicalement et socialement. 
Cela montre que même dans une campagne de vaccination hautement politisée, les vérités ne peuvent pas être étouffées indéfiniment. 
Il faut des pathologistes courageux, des experts indépendants et, surtout, un public attentif. 
Car si la mort d’un vieil homme est d’abord discrètement reconnue mais largement ignorée, la question demeure : combien de cas n’ont jamais été étudiés – ou délibérément jamais reconnus ?

https://uncutnews.ch/tod-nach-covid-impfung-offiziell-anerkannt-italien-zahlt-entschaedigung-ein-praezedenzfall-mit-signalwirkung/