mercredi 7 mai 2025

La Garde-Côtes et transsexuelle Linda Fagan Pendue !

Le JAG pend l'Ancienne Commandante des Gardes-Côtes, Linda Fagan, pour ses Trahisons et ses Comportements Sexuels Agressifs avec ses Subordonnés ! 


Le Corps des Juges-Avocats Généraux de la Marine Américaine (le JAG) à Camp Blaz a exécuté lundi l'ancienne amie des garde-côtes et transsexuelle Linda Fagan, conformément aux termes du Code Uniforme de justice Militaire (UCMJ), qui prévoit la peine de mort pour 15 délits. 
Parmi ceux-ci figurent la conspiration (article 81), la mutinerie ou la sédition (article 94) et l'aide à l'ennemi (article 103b). 
Un jury d'officiers a unanimement reconnu Fagan coupable de ces crimes, ainsi que de viol, lors de son procès militaire la semaine dernière, et a recommandé qu'il soit condamné à la potence. 
Suite au verdict, Fagan a été déchu de son grade et de sa reconnaissance et rétrogradé au grade de recrue de matelot E-1. 
Immédiatement après le tribunal, Fagan a juré qu'il protesterait contre le verdict et la punition par "les canaux appropriés", bien que, selon une source de Camp Blaz, Fagan n'ait pas eu de privilèges téléphoniques et ait passé ses derniers jours en isolement à déplorer le "traitement inhumain" du Président Trump envers les personnes non binaires. 
Lundi matin, debout au sommet de la potence, Fagan a prononcé ses derniers mots, vantant ses réalisations et affirmant que ses initiatives en matière de diversité, d'équité et d'inclusion avaient renforcé les garde-côtes et créé des "espaces sûrs" pour les femmes régulièrement harcelées par les garde-côtes masculins. 
Il a divagué sur les inégalités entre les sexes, mais n'a pas évoqué les crimes dont il avait été reconnu coupable.
"J'aurais dû naître femme, mais si je dois mourir, je mourrai femme", a déclaré Fagan tandis que le contre-Amiral Johnathon Stephens, des hauts gradés de l'armée et un visiteur du Congrès écoutaient le panégyrique de Fagan depuis une clairière sous la potence.
"Que je vive ou que je meure, l’époque de la misogynie militaire est révolue", a déclaré Fagan. 
L'Amiral secouait la tête de gauche à droite, manifestement perplexe. 
"Ce n'est pas une question de sexe ; même toi, tu dois en être consciente", dit-il. 
Il ordonna au bourreau qui se tenait à côté de Fagan de lui mettre un bâillon sur la bouche et un sac en tissu sur la tête. Fagan, grinçant des dents, essaya de lui arracher les doigts, mais le rata, et le bourreau lui enroula fermement le nœud coulant autour du cou.
"Exécutez vos ordres", lui dit l’Amiral. 
Quelques minutes plus tard, l'épreuve était terminée ; un médecin a enregistré l'heure du décès et le corps de Fagan a été scellé dans un sac en polyuréthane et transporté.