Près de la moitié des Canadiens non Malades en phase terminale qui choisissent l’Euthanasie disent qu’ils se sentent trop seuls !
Sur les 662 personnes qui n’étaient pas en danger de mort mais qui ont succombé à l’aide médicale à mourir l’année dernière, 47,1% ont cité comme raison de leur désir de mourir "l’isolement ou la solitude".
OTTAWA, Ontario – Les données officielles du gouvernement montrent qu’environ la moitié des Canadiens qui ne sont pas en phase terminale mais qui voulaient mettre fin à leur vie par le biais d’un suicide assisté sanctionné par l’État l’ont fait l’année dernière parce qu’ils se disaient seuls.
Selon les données publiées par Santé Canada le 11 décembre dans son cinquième rapport annuel sur l’aide médicale à mourir (AMM), 15.342 personnes ont vu leur demande d’euthanasie approuvée et sont décédées en 2023.
Au total, 14.721 de ces décès ont eu lieu dans des cas où la maladie ou l’invalidité étaient probables ou considérées comme "raisonnablement prévisibles".
C’est ce qu’on appelle les décès de la voie 1 de la MAiD (Mort Médicalement Assistée).
Cependant, 662 décès concernaient des personnes qui n’étaient pas en train de mourir.
Cependant, 662 décès concernaient des personnes qui n’étaient pas en train de mourir.
Parmi ces décès de la voie 2, 47,1% ont cité comme raison de leur désir de mourir "l’isolement ou la solitude".
À titre de comparaison, environ 21,1% des personnes décédées dans le cadre de la voie 1 ont fait état des mêmes sentiments pour expliquer leur désir de mourir par un suicide dirigé par un médecin.
Le rapport indique que "l’isolement social et la solitude ont un impact sérieux sur la santé physique et mentale, la qualité de vie et la longévité".
Parmi les décès de la voie 2, 35,7% vivaient seuls, contre 30,2% pour les décès de la voie 1.
Le rapport indique que "l’isolement social et la solitude ont un impact sérieux sur la santé physique et mentale, la qualité de vie et la longévité".
Parmi les décès de la voie 2, 35,7% vivaient seuls, contre 30,2% pour les décès de la voie 1.
L’âge moyen des personnes décédées dans le cadre du volet 1 était de 77,7 ans.
L’âge moyen des décès de la voie 2 était de 75 ans.
Il convient de noter que le rapport de Santé Canada de cette année sur la MAiD est le premier à considérer comme officielles les demandes dites "verbales" des individus.
Il convient de noter que le rapport de Santé Canada de cette année sur la MAiD est le premier à considérer comme officielles les demandes dites "verbales" des individus.
Auparavant, les personnes souhaitant mourir par suicide assisté devaient soumettre un formulaire à Santé Canada pour que leur demande soit officiellement enregistrée.
Sous le Premier ministre Justin Trudeau, dont le gouvernement libéral a légalisé le MAiD en 2016, le programme mortel a continué à assouplir ses règles sur les personnes éligibles à la mort.
Comme le rapporte LifeSiteNews, 1 décès canadien sur 20 en 2023 est dû au suicide assisté.
Les cas de personnes à qui l’on propose le MAiD comme solution à leurs problèmes de santé sont devenus monnaie courante au Canada, comme le rapporte LifeSiteNews.
La semaine dernière, LifeSiteNews a rapporté qu’un couple de seniors canadiens avait déclaré qu’un centre de soins palliatifs avait proposé l’euthanasie à l’un d’entre eux parce qu’ils ne pouvaient pas faire face à l’augmentation des coûts des soins avec leurs revenus fixes.
Les leaders pro-vie canadiens ont critiqué les efforts continus du gouvernement Trudeau pour étendre la MAiD.
En effet, la plupart des Canadiens craignent que le régime d’euthanasie du pays ne cible injustement les personnes financièrement et socialement vulnérables, tout en soutenant la pratique immorale en général.
En 2021, le programme a été élargi, passant de l’euthanasie des patients en phase terminale à l’euthanasie des malades chroniques.
Sous le Premier ministre Justin Trudeau, dont le gouvernement libéral a légalisé le MAiD en 2016, le programme mortel a continué à assouplir ses règles sur les personnes éligibles à la mort.
Comme le rapporte LifeSiteNews, 1 décès canadien sur 20 en 2023 est dû au suicide assisté.
Les cas de personnes à qui l’on propose le MAiD comme solution à leurs problèmes de santé sont devenus monnaie courante au Canada, comme le rapporte LifeSiteNews.
La semaine dernière, LifeSiteNews a rapporté qu’un couple de seniors canadiens avait déclaré qu’un centre de soins palliatifs avait proposé l’euthanasie à l’un d’entre eux parce qu’ils ne pouvaient pas faire face à l’augmentation des coûts des soins avec leurs revenus fixes.
Les leaders pro-vie canadiens ont critiqué les efforts continus du gouvernement Trudeau pour étendre la MAiD.
En effet, la plupart des Canadiens craignent que le régime d’euthanasie du pays ne cible injustement les personnes financièrement et socialement vulnérables, tout en soutenant la pratique immorale en général.
En 2021, le programme a été élargi, passant de l’euthanasie des patients en phase terminale à l’euthanasie des malades chroniques.
Depuis lors, le gouvernement a cherché à inclure les personnes souffrant uniquement de maladies mentales.
Le nombre de Canadiens tués par injection létale dans le cadre du programme MAiD depuis 2016 s’élève à près de 65.000, et l’on estime à 16.000 le nombre de décès pour la seule année 2023.
Le nombre de Canadiens tués par injection létale dans le cadre du programme MAiD depuis 2016 s’élève à près de 65.000, et l’on estime à 16.000 le nombre de décès pour la seule année 2023.
Nombreux sont ceux qui craignent que les statistiques officielles soient manipulées et que ce chiffre soit encore plus élevé.
Le Canada a enregistré environ 15.280 décès par euthanasie en 2023.
Traduction de LifeSite par Aube Digitale
Partagé par Jade · Publié 22 décembre 2024 :
https://www.aubedigitale.com/pres-de-la-moitie-des-canadiens-non-malades-en-phase-terminale-qui-choisissent-leuthanasie-disent-quils-se-sentent-seuls/
Le Canada a enregistré environ 15.280 décès par euthanasie en 2023.
Traduction de LifeSite par Aube Digitale
Partagé par Jade · Publié 22 décembre 2024 :
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