Tulsi Gabbard Révoque les Habilitations de Sécurité de 37 anciens Responsables du Renseignement qui avaient créés de Fausses Accusations d'Ingérence Russe !
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| La directrice du Renseignement National, Tulsi Gabbard, arrive à un événement à la Maison Blanche le jeudi 7 août. |
La directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, a révoqué les habilitations de sécurité de 37 anciens responsables du renseignement, la dernière mesure de l'administration Trump contre les responsables de l'ère Obama que la Maison Blanche accuse de saper l'administration Trump.
Cette décision intervient alors que son bureau a intensifié sa surveillance sur les responsables de l'administration Obama impliqués dans une enquête sur l'ingérence russe dans les élections.
Dans une note publiée mardi sur les réseaux sociaux, Gabbard a ordonné aux responsables de plusieurs agences de sécurité nationale de révoquer immédiatement les autorisations des responsables, sur ordre du président, alléguant qu'ils ont politisé ou utilisé des renseignements à des fins personnelles ou partisanes.
"Il est rappelé à tous les membres du personnel que détenir une habilitation est un privilège, et non un droit, et que ce privilège est conditionné au respect continu des principes et des responsabilités de notre profession", a écrit Gabbard dans la note.
"Il est rappelé à tous les membres du personnel que détenir une habilitation est un privilège, et non un droit, et que ce privilège est conditionné au respect continu des principes et des responsabilités de notre profession", a écrit Gabbard dans la note.
"Tout manquement à ces normes compromet non seulement notre mission, mais aussi la sécurité du peuple américain."
Plusieurs des responsables visés occupaient des postes de direction au sein du Département d'État, de la CIA, de la NSA, du ministère de la Défense et du Conseil national de sécurité.
Plusieurs des responsables visés occupaient des postes de direction au sein du Département d'État, de la CIA, de la NSA, du ministère de la Défense et du Conseil national de sécurité.
Parmi eux figurent plusieurs responsables du renseignement qui ont conseillé le vice-président de l'époque, Joe Biden, et certains responsables ayant travaillé sur une enquête concernant une possible ingérence Russe dans l'élection présidentielle de 2016.
Cette enquête, qui a conclu que le Kremlin cherchait à influencer l'élection en faveur de Trump, a été la cible de critiques de la part de l'administration Trump, Gabbard ayant renvoyé plusieurs responsables ayant travaillé sur l'enquête au Ministère de la Justice pour des poursuites pénales le mois dernier.
Un porte-parole de l'ancien président Barack Obama a répondu aux attaques le mois dernier, qualifiant les allégations de Gabbard de "ridicules et de faible tentative de diversion".
L'évaluation de la communauté du renseignement à l'époque a été confirmée par une enquête de trois ans menée par la commission du renseignement du Sénat dirigée par les républicains.
La commission bipartite a soulevé des inquiétudes en matière de sécurité nationale concernant les contacts de l'équipe de campagne de Trump avec des responsables Russes, mais n'a pas conclu à une collusion délibérée entre les alliés du président et le Kremlin.
Cette enquête, qui a conclu que le Kremlin cherchait à influencer l'élection en faveur de Trump, a été la cible de critiques de la part de l'administration Trump, Gabbard ayant renvoyé plusieurs responsables ayant travaillé sur l'enquête au Ministère de la Justice pour des poursuites pénales le mois dernier.
Un porte-parole de l'ancien président Barack Obama a répondu aux attaques le mois dernier, qualifiant les allégations de Gabbard de "ridicules et de faible tentative de diversion".
L'évaluation de la communauté du renseignement à l'époque a été confirmée par une enquête de trois ans menée par la commission du renseignement du Sénat dirigée par les républicains.
La commission bipartite a soulevé des inquiétudes en matière de sécurité nationale concernant les contacts de l'équipe de campagne de Trump avec des responsables Russes, mais n'a pas conclu à une collusion délibérée entre les alliés du président et le Kremlin.
Son rapport a été approuvé à l'époque par le sénateur Marco Rubio (Républicain de Floride), ancien Président de la Commission Sénatoriale du Renseignement et aujourd'hui Secrétaire d'État de Trump.
https://www.politico.com/news/2025/08/19/gabbard-security-clearance-00515195
https://www.politico.com/news/2025/08/19/gabbard-security-clearance-00515195