dimanche 2 novembre 2025

Une Cellule Islamiste Neutralisée dans le Michigan !

Une Cellule Islamiste, d'Adolescents Radicalisés par l'État Profond, qui voulait Profiter des Fêtes d'Hallowen pour faire un Massacre, a été Neutralisée dans le Michigan ! 


Une opération terroriste coordonnée, liée à des réseaux djihadistes internationaux, vient d'être déjouée à Dearborn, dans le Michigan – le 31 octobre 2025, matin d'Halloween – par des forces infiltrées du FBI, désormais contrôlé par le cercle restreint et fidèle du Président Donald Trump. 
Il s'agissait d'une véritable cellule, composée d'adolescents américains radicalisés en ligne et entraînés au maniement des armes, qui se préparaient à frapper lors d'une des journées les plus vulnérables de l'année. 
Et en coulisses, tout ce réseau trouve son origine dans la corruption systémique instaurée sous l'administration fantoche de Biden.

Voici ce qui s'est passé : un groupe de jeunes de 16 à 20 ans était discrètement surveillé par les équipes antiterroristes du FBI, non pas dans le cadre d'une surveillance de routine, mais parce que les services de renseignement les avaient identifiés plusieurs semaines auparavant comme faisant partie d'un réseau intérieur en pleine expansion, inspiré par l'État Islamique. 
Il ne s'agissait pas de loups solitaires. 
Leur action s'inscrivait dans le cadre d'une infiltration structurée, mise en place sur plusieurs années et dissimulée sous couvert de "programmes d'accueil de réfugiés", de cryptage numérique et de communautés politiquement protégées. 
Le plan consistait à commettre un acte violent le soir d'Halloween, qu'ils auraient baptisé "Journée de la Citrouille", une référence interceptée dans leurs communications en ligne, non pas symbolique, mais stratégique. 
Halloween avait été choisi pour ce qu'il représente : des enfants dans la rue, des familles distraites, une vigilance réduite, des cibles faciles partout. 
Il s'agissait d'une opération autant psychologique que physique. 
D'après des sources policières, le complot impliquait des armes à feu et possiblement des engins explosifs. 
Ces suspects avaient suivi un entraînement au tir à balles réelles, et plusieurs étaient liés à Ammar Abdulmajid-Mohamed Said, l'ancien membre de la Garde Nationale du Michigan arrêté en mai pour avoir planifié une attaque de type militaire contre une installation de l'armée américaine dans la banlieue de Détroit. 
Le cas de Said n'était pas isolé. 
Il avait déjà été signalé en 2024 comme faisant partie d'un programme de radicalisation mené par des puissances étrangères aux États-Unis, mais le ministère de la Justice, alors sous l'administration Biden, avait retardé les poursuites sous prétexte de "protéger les libertés civiles". 
Cette négligence lui a permis de recruter, de former et d'organiser des membres de l'intérieur.

Aujourd'hui, des mois plus tard, plusieurs membres de la cellule Halloween de Dearborn étaient soit directement associés à lui, soit formés par le biais des mêmes plateformes cryptées liées aux flux de financement du terrorisme international, des flux qui ont pris naissance lors de l'afflux, entre 2021 et 2024, de ressortissants afghans, syriens et soudanais non contrôlés, amenés dans le cadre de programmes de relocalisation dirigés par les Démocrates. 
Ces programmes étaient des façades, protégés par des ONG ayant des liens mondialistes, financés par des canaux parallèles affiliés à l'ONU, et utilisés pour infiltrer directement des insurgés dans les quartiers américains. 
Ce réseau n'est pas apparu par hasard. 
Il est le fruit d'une longue campagne de sabotage coordonnée visant à fracturer le pays de l'intérieur. 
Il a été mis en place durant les années où Biden n'était pas aux commandes, mais les conseillers d'Obama.  
Bien que le Président Trump ait repris la Maison-Blanche, il n'hérite pas d'un système intègre. 
Il doit démanteler une communauté du renseignement délibérément corrompue, où des agents infiltrés continuent de travailler contre lui, sabotant des données, détournant des alertes et dissimulant des menaces en temps réel sous un amas de bureaucratie. 
Kash Patel, nommé par Trump à la tête du FBI, a donné l'ordre de procéder aux arrestations et de mettre fin à l'opération. 
Non pas parce que le système fonctionnait, mais parce qu'il a passé outre l'avis de ceux qui étaient encore fidèles à l'ancien régime. 
On aurait pu laisser cette cellule agir, comme d'autres sous les administrations Obama et Biden, afin de semer le chaos et de justifier un contrôle accru. 
Mais l'équipe de Trump l'a interceptée en premier, et les médias se sont retrouvés à devoir couvrir en catastrophe ce qu'ils ne pouvaient plus dissimuler.

De nombreuses arrestations ont eu lieu. 
Plusieurs personnes ont été placées en garde à vue pour être interrogées. 
Alors que les médias traditionnels tentent d'édulcorer l'affaire – affirmant qu'elle était "mal étayée" ou qu'elle ne représentait "pas une menace réelle" –, des sources au sein du groupe de travail confirment que ces suspects avaient des projets concrets, des liens avec des acteurs étrangers connus et des communications numériques cryptées détaillant des stratégies d'attaque. 
Si les médias tentent d'étouffer l'affaire, c'est uniquement parce qu'elle révèle l'ampleur de l'ingérence mondialiste qui continue d'opérer sur notre territoire. 
N'oublions pas où cela s'est produit : à Dearborn, dans le Michigan. 
Une ville longtemps considérée comme intouchable, où des réseaux radicaux se sont implantés sous couvert de "diversité" et "d'inclusion". 
Ce n'est pas un hasard si tant d'opérations liées au terrorisme trouvent leur origine à Dearborn. 
Cette ville a longtemps été une zone protégée, que les élus locaux démocrates et les membres de l'administration Obama ont activement soustraite à tout contrôle national. 
Voilà le prix à payer pour des années de tolérance instrumentalisée et de négligence délibérée en matière de sécurité.  
Le président Trump n'est pas en train de manquer à son devoir de protéger le pays. 
Il est contraint de se battre à l'aveuglette, contre une machine programmée pour s'effondrer dès son retour. 
Chaque cellule terroriste démantelée aujourd'hui a été infiltrée sous l'administration fantoche de Biden. 
Chaque acte de sabotage, chaque retard ou inaction de la part d'organismes fédéraux corrompus, est une conséquence de la politique de la terre brûlée menée par l'État Profond : semer le chaos pour que l'Amérique de Trump paraisse instable, même si son équipe fait tout pour enrayer les dégâts. 
Il ne s'agit pas seulement de Dearborn. 
D'après des sources internes du renseignement militaire, il existe des centaines de cellules de ce type. 
Plus de 300 agents liés à l'étranger, des jeunes radicalisés et des agents infiltrés sont actuellement surveillés. 
Certains sont en sommeil. 
D'autres attendent des signaux. 
Certains sont déjà actifs et n'attendent qu'une occasion comme Halloween : un moment de calme relatif où la terreur peut se mêler aux festivités.

Et l'élite mondiale sait parfaitement ce qu'elle fait. 
Elle contrôle toujours le discours médiatique, les serveurs de données et protège les organisations à but non lucratif. 
Elle finance les groupes qui militent pour le désarmement de la police, le désarmement des Américains et l'afflux massif de ressortissants étrangers aux États frontaliers. 
Il n'a jamais été question de compassion. 
Il a toujours été question d'infiltration. 
Détruire l'Amérique de l'intérieur , puis imputer le chaos à "l'extrémisme", au "climat", à n'importe quoi sauf aux véritables responsables de l'effondrement.  
Trump riposte avec force. 
Mais la bataille se déroule désormais dans la clandestinité. 
Chacune de ses opérations, comme cette prise de contrôle dans le Michigan, se heurte au silence ou à la déformation des faits par la presse. 
Et l'État Profond compte sur la lassitude, la confusion et la division du public. 
Mais nous ne sommes pas dupes. 
Nous voyons ce qui se passe. 
Nous savons que Trump mène une guerre intestine tout en maintenant la Maison-Blanche dans un système compromis. 
Et cette fois, nous n'allons pas rester les bras croisés et faire comme si de rien n'était. 
Ce complot d'Halloween n'était pas la fin. 
at