Bill Gates convoqué devant un Tribunal aux Pays-Bas : les Victimes des Injections Diaboliques demandent Justice pour les Dommages qu'elles ont subis !
Mercredi, une audience provisoire s'est tenue devant le tribunal néerlandais de Leeuwarden, initiée par Bill Gates en réponse à la procédure principale intentée par les avocats Arno van Kessel et Peter Stassen au nom des personnes concernées par la vaccination.
Dans cette affaire, Gates est l’un des 17 accusés du projet "COVID-19 : The Great Reset".
Sept victimes du vaccin réclament justice pour le préjudice que leur a causé la vaccination.
L’un d’eux est décédé depuis.
Gates tente d'éviter la procédure et a donc demandé une déclaration orale au tribunal.
Gates tente d'éviter la procédure et a donc demandé une déclaration orale au tribunal.
Il est frappant qu'il n'ait pas été présent à l'audience car il estime que le tribunal de Leeuwarden n'est pas compétent.
Il est représenté par un avocat du cabinet d'avocats Pels Rijcken.
Selon les avocats des victimes, le tribunal Néerlandais est effectivement compétent pour condamner Gates.
Selon les avocats des victimes, le tribunal Néerlandais est effectivement compétent pour condamner Gates.
Ils invoquent l'article 6 du Code de procédure civile, qui précise : "Le tribunal Néerlandais est également compétent pour connaître des actions délictuelles si le fait dommageable s'est produit ou peut se produire aux Pays-Bas."
Après l'audition, une conférence de presse a eu lieu dans la soirée, au cours de laquelle la presse a pu poser des questions à MM. Van Kessel et Stassen.
Erica Krikke de Zebra Inspiratie s'est entretenue au tribunal avec l'ancien médecin généraliste Berber Pieksma, qui était également présent à l'audience.
Après l'audition, une conférence de presse a eu lieu dans la soirée, au cours de laquelle la presse a pu poser des questions à MM. Van Kessel et Stassen.
Erica Krikke de Zebra Inspiratie s'est entretenue au tribunal avec l'ancien médecin généraliste Berber Pieksma, qui était également présent à l'audience.
"Je pensais que le pire dans toute cette affaire était qu'ils ont osé douter dans leur réponse que les plaignants étaient vaccinés", a déclaré Pieksma.
"C'était vraiment sournois."
L’une des plaignantes, une femme de 50 ans, n’a jamais été vraiment malade avant la vaccination corona.
L’une des plaignantes, une femme de 50 ans, n’a jamais été vraiment malade avant la vaccination corona.
Maintenant, elle est très malade.
"C'était une histoire très émouvante", a déclaré Krikke.
Ses avocats ont déclaré que son histoire était importante pour montrer les liens.
Elle a également parlé au nom du plaignant décédé, qui a subi la même procédure d'injection mais est décédé six mois plus tôt.
Ses avocats ont déclaré que son histoire était importante pour montrer les liens.
Elle a également parlé au nom du plaignant décédé, qui a subi la même procédure d'injection mais est décédé six mois plus tôt.
"Sur les sept, il n’en reste que six.
Trois étaient trop malades pour venir et trois étaient présents !"
Au cours de l'audience, l'avocat de Gates a avancé toutes sortes d'arguments pour expliquer pourquoi il pensait que le juge n'avait pas compétence.
Au cours de l'audience, l'avocat de Gates a avancé toutes sortes d'arguments pour expliquer pourquoi il pensait que le juge n'avait pas compétence.
Finalement, l'avocat a déclaré : "Peut-être devrions-nous aller à Amsterdam ou à La Haye pour savoir si un tribunal Néerlandais est compétent".
Ils veulent vraiment que cela aille à Arnhem ou à La Haye, ce sont tous des tribunaux où il n’y a plus de jurisprudence", a déclaré Pieksma, ajoutant qu’ils faisaient "tous partie de la clique".
"C'était étrange de voir comment il affirmait que l'affaire devait être portée devant un autre tribunal", a souligné l'ancien médecin généraliste.
Le juge rendra sa décision dans quelques semaines.
https://uncutnews.ch/bill-gates-vor-gericht-in-den-niederlanden-impfgeschaedigte-fordern-gerechtigkeit-fuer-erlittene-schaeden/
Ils veulent vraiment que cela aille à Arnhem ou à La Haye, ce sont tous des tribunaux où il n’y a plus de jurisprudence", a déclaré Pieksma, ajoutant qu’ils faisaient "tous partie de la clique".
"C'était étrange de voir comment il affirmait que l'affaire devait être portée devant un autre tribunal", a souligné l'ancien médecin généraliste.
Le juge rendra sa décision dans quelques semaines.
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