La Banquise Arctique est Stable depuis 20 ans, et l’Hystérie Climatique continue de s’effondrer !

Une nouvelle étude scientifique menée par le Dr Mark England de l’Université d’Exeter confirme ce que de nombreux observateurs indépendants savent depuis des années : la banquise arctique est stable depuis près de deux décennies.
Cette découverte est en contradiction directe avec les scénarios apocalyptiques que les militants pour le climat et les médias grand public diffusent depuis des années.
Bien que les données satellite montrent que la glace n'a pas reculé davantage au cours d'aucun mois depuis 2007 environ, Sir David Attenborough a déclaré aux téléspectateurs de la BBC en 2022 que l'Arctique pourrait être libre de glace en été d'ici 2035. Al Gore s'est trompé encore plus grossièrement lorsqu'il a prédit en 2007 que la banquise arctique disparaîtrait complètement d'ici 2014.
Réalité scientifique contre agenda politique !
Les résultats de la nouvelle étude sont clairs :
- La banquise est stable depuis 2007.
- Des cycles de 70 à 80 ans déterminent la fluctuation naturelle de l’étendue de la glace.
- 1979 , souvent utilisée comme année de référence, a marqué un pic cyclique et non un niveau « normal ».
En fait, les observations historiques montrent que l’étendue de la glace était plus petite dans les années 1950 qu’elle ne l’est aujourd’hui. Néanmoins, des tentatives continuent de présenter chaque changement naturel comme un « effondrement climatique » d’origine humaine.
Le chercheur arctique Allan Astrup Jensen a récemment montré que le déclin supposément dramatique de la glace était principalement dû à un déclin naturel entre 1997 et 2007. Avant et après, les phases stables dominent.
Le rôle des modèles climatiques !
Au lieu d’admettre l’évidente stabilisation, les chercheurs sur le climat tentent désormais d’interpréter les modèles de telle sorte que la stagnation soit également considérée comme « confirmée ».
L'équipe du Dr England décrit la rupture actuelle des glaces comme « surprenante, mais pas inattendue » - une phrase qui illustre à quel point la modélisation climatique moderne est devenue flexible : quoi qu'il arrive, cela est interprété comme une preuve de sa propre thèse.
La manœuvre classique :
- Lorsque la glace fond, c’est le changement climatique.
- Lorsque la glace s’accumule ou stagne, il s’agit également d’un changement climatique – cette fois « masqué » par les fluctuations naturelles, mais supposément encore plus dangereux.
Cette interprétation absurde montre à quel point la science climatique s’est parfois éloignée des mesures objectives et est utilisée pour défendre des agendas idéologiques.
Propagande climatique contre science !
Les scientifiques comme le Dr England restent finalement fidèles au récit et tentent de vendre le plateau glaciaire actuel comme une confirmation des prédictions de leur modèle.
Mais il devient de plus en plus difficile de dissimuler l’écart entre les données réelles et l’hystérie du climat politique.
La réalité :
- Les prédictions catastrophiques de Gore, Attenborough et compagnie ne se sont pas réalisés.
- Les prétendus « points de basculement » n’ont pas eu lieu.
- Ces modèles ont échoué à plusieurs reprises, mais continuent d’être utilisés comme base pour des bouleversements politiques massifs.
La confiance dans les prévisions climatiques diminue – et avec elle, la confiance dans les élites qui veulent mettre en œuvre une politique de « zéro émission nette » fondée sur des hypothèses douteuses.
Conclusion :
La banquise arctique nous offre une leçon : le climat est cyclique, complexe et ne peut être appréhendé par des modèles linéaires.
Quiconque utilise la nature comme une arme pour imposer un programme politique joue non seulement avec la crédibilité scientifique, mais aussi avec la paix sociale.