mardi 20 mai 2025

Le JAG pend l'Ancien Général 4 étoiles, James Slife !

Le JAG pend l'Ancien Général 4 étoiles de l'État Profond, James Slife, pour ses Trahisons et avoir lancé une Mutinerie et Insurection dans l'Armée !  


Le bureau des Juges-Avocats Généraaux de la Marine Américaine (le JAG) a exécuté le 13 mai l'ancien vice-chef d'état-major de l'armée de l'air James C. "Jim" Slife, que les membres du jury de son tribunal militaire ont reconnu coupable de mutinerie et d'insurrection le 8 mai
Mardi matin, Slife s'est vu offrir un dernier repas, qu'il a refusé, et il a été extrait de sa cellule pour un bref examen médical avant d'être conduit à la potence. 
Le JAG enregistre généralement la taille et le poids des condamnés afin de garantir l'exactitude des mesures de corde et de minimiser les risques de strangulation douloureuse plutôt que de mort instantanée. 
Comme à l'accoutumée, le JAG a demandé à Slife s'il souhaitait qu'un aumônier administre les derniers sacrements. 
Comme le font souvent les membres de l'État Profond, il a refusé, affirmant qu'il n'avait aucune excuse à présenter et qu'il avait toujours obéi à son commandant en chef – en l'occurrence, le Seigneur des Ténèbres Barack Hussein Obama – conformément à ses obligations constitutionnelles et au Code uniforme de justice militaire. 
À 10 heures, Slife, la corde au cou, se tenait au sommet de la potence et prononçait ses derniers mots, tandis que la contre-amirale et patriote Lia Reynolds, ainsi qu'un groupe de hauts gradés, se tenaient en demi-cercle devant la potence et écoutaient son long monologue soulignant ses prétendus exploits. 
Il passa 15 minutes à disserter sur les circonstances de chaque médaille et distinction ornant l'uniforme qu'il avait porté en "officier fidèle". 
À la potence, il portait une combinaison orange, des menottes et des chaussures de détenu en toile. 
Il a eu l’audace de dire qu’il lui fallait au moins deux heures pour citer ses réalisations.
"Nous n'avons pas le temps pour ça, et nous nous plierons à tous vos fantasmes", lui dit l'Amirale Reynolds. 
"Laissez-nous vous mettre en route." 
Sur ordre de l'Amirale, le bourreau appuya sur le bouton qui ouvrit la porte sous l'exploit de Slife, et il haleta et mourut, son corps ondulant dans la brise matinale. 
Un médecin a confirmé que Slife était mort avant de mettre le corps dans un sac en plastique.