vendredi 25 juillet 2025

Le JAG condamne un Traître de la Garde Nationale de Californie !

Le JAG condamne, à la Pendaison, un Traître de la Garde Nationale de Californie qui a voulu Protéger les Immigrants Illégaux et Criminels ! 


Le Corps des juges-avocats généraux de la marine américaine a traduit mardi en cour martiale et condamné un sous-officier supérieur de la Garde nationale de Californie, le déclarant coupable de mutinerie, de sédition et de crimes moins graves. 
Comme annoncé en juin, les Marines américains ont arrêté le sergent-chef Lynn E. Williams à son domicile en Californie. 
Williams faisait partie de la Task Force 51, l'opération militaire conjointe visant à empêcher les manifestants anti-ICE d'interférer avec les Forces Fédérales et de semer le chaos dans le centre-ville de Los Angeles. 
Son arrestation reposait sur une déclaration sous serment militaire l'accusant d'être un sympathisant des sans-papiers de mèche avec la maire Karen Bass. 
Il lui avait déclaré que "Trump n'était pas mon président" et qu'il ordonnerait à ses subordonnés de défier la politique d'immigration du président. 
Le JAG a inculpé Williams en vertu de l'article 94 (mutinerie ou sédition), de l'article 92 (manquement au devoir) et de l'article 82 (sollicitation à la commission d'infractions) du Code uniforme de justice militaire. 
Le mardi 22 juillet, Williams et un avocat commis d'office par le JAG ont comparu devant le tribunal. 
La Contre-Amirale Lia Reynolds, juge-avocate par intérim, a placé les membres du jury choisis par le JAG pour évaluer le bien-fondé de l'affaire. 
Elle a souligné que Williams avait plaidé "non coupable" et invoqué l'article 31, similaire à certains droits garantis par le Cinquième Amendement, notamment le droit de garder le silence. 
L'avocat de Williams, dans une déclaration d'ouverture, a fait valoir que son client n'avait aucune obligation de respecter des ordres "immoraux".
"Mon client est un homme de conscience, un homme éthique qui proteste contre le déploiement des Forces Armées Américaines sur le sol américain, une violation flagrante du Posse Comitatus Act. 
Il estime que ce déploiement était un ordre illégal, émis par un homme qu'il refuse de reconnaître comme commandant en chef. 
Mon client rejette catégoriquement la rafle et l'incarcération de sans-papiers qui travaillent dur et mènent une vie paisible et productive aux États-Unis depuis des décennies", a déclaré l'avocat avec ferveur devant le jury. 

L'Amirale Reynolds a déclaré que le titre 10 du Code Américain accorde au Président l'autorité unilatérale de déployer la Garde Nationale dans des situations où les États-Unis sont envahis, font face à une rébellion ou lorsque le Président détermine que les forces régulières sont insuffisantes pour exécuter les lois.
"Notre pays a été envahi par 20 millions de clandestins. 
Le Président Trump n'a pas ordonné à l'accusé de tirer sur des immigrants illégaux sans motif valable. 
Il a chargé la Garde Nationale de protéger les bâtiments Fédéraux et, si nécessaire, de détenir brièvement les manifestants violents jusqu'à l'arrivée des Forces de l'Ordre. 
L'accusé déteste le Président Trump, et les preuves le démontreront", a-t-elle déclaré. 
Elle a diffusé devant le jury la conversation téléphonique entre Williams et Bass, obtenue par le Commandement du Cyberespace des Forces du Corps des Marines avant l'arrestation de Williams. 
Outre la dénonciation de Trump comme un "voyou" et l'affirmation selon laquelle Trump n'était pas son Président, Williams a déclaré qu'il résisterait à la "tyrannie de Trump" et implorerait ses collègues sous-officiers de suivre son exemple. 
Ses déclarations à Bass comprenaient : "Je sers la Californie, pas Trump", "Je conseillerai aux sans-papiers comment éviter l'ICE", "Je préférerais tirer sur un agent de l'ICE plutôt que de harceler ne serait-ce qu'une seule personne sans-papiers", "Si quelqu'un mérite la détention, c'est Trump", "Quelqu'un doit arrêter Trump, si vous voyez ce que je veux dire", "Je sais qu'il s'en prendra ensuite à mon peuple, les Noirs", et "Les MAGA devraient être dans des camps de concentration plutôt que des sans-papiers."
"Oui, je méprise Donald Trump.
Nous le méprisons tous, et c'est ça, rester honnête", a soudain lâché Williams, faisant apparemment référence à la chute des sketches satiriques de l'humoriste Dave Chappelle, "Quand rester honnête devient un échec".
"Contrôlez votre client, s'il vous plaît", a déclaré l'Amirale Reynolds à l'avocat de Williams.

Au cours de l'heure qui suivit, elle appela deux témoins, tous deux sous-officiers de la Task Force 51 ayant servi sous les ordres de Williams à Los Angeles. 
Leurs témoignages étaient glaçants. 
Ils affirmèrent que Williams, déchaîné, leur avait ordonné d'avertir les clandestins des raids imminents de l'ICE et de les escorter en toute sécurité jusqu'à une "zone sûre" au sud de la ville.
"Il [Williams] m’a dit que nous devrions former des clandestins pour combattre l’ICE", a déclaré un témoin.
"Williams s'est approché de moi comme un fou furieux et m'a dit que notre mission était de protéger les clandestins de la détention ou de l'expulsion. 
J'ai écouté ses propos insensés, mais je n'ai pas fait ce qu'il voulait", a déclaré le deuxième témoin, ajoutant : "Et il avait hâte qu'un autre assassin s'en prenne à Trump."  
L'avocat de Williams n'a ni contre-interrogé les témoins ni contesté l'enregistrement de la conversation téléphonique, mais il a déclaré à la commission : "Mon client est guidé par ses passions. Cela ne fait pas de lui un criminel." 
Les membres du jury étaient en désaccord. 
Ils ont rendu un verdict de culpabilité et recommandé la peine maximale. 
Sans hésitation, l'Amirale Reynolds le rétrograda au grade de E-1, ordonna qu'il soit renvoyé de l'armée pour cause de déshonneur et prévoya sa pendaison le 29 juillet 2025.

Par Michael Baxter le 24 juillet 2025 : 
https://realrawnews.com/2025/07/jag-convicts-california-national-guard-traitor/