Décès d’un Élu Vendéen proche de Bruno Retailleau : Laurent Caillaud meurt lors d’une séance de Chemsex dans la Ville de Tours ! 
Laurent Caillaud, conseiller régional des Pays de la Loire et proche de Bruno Retailleau, a été retrouvé sans vie le 15 septembre 2025 dans un appartement tourangeau.
Le décès de cet élu de 56 ans, père de famille, serait survenu au cours d’une soirée chemsex, vraisemblablement des suites d’une overdose.
Le parquet de Tours a ouvert une enquête, privilégiant l’hypothèse d’une intoxication aiguë.
Derrière les hommages convenus, ce drame souligne une nouvelle fois les contradictions d’une classe politique prompte à moraliser – sauf quand il s’agit des siens.
Vers 3 heures du matin, les secours sont intervenus dans un immeuble du Vieux Tours pour tenter de réanimer Laurent Caillaud, déjà en arrêt cardio-respiratoire. En vain.
Deux autres hommes, présents sur les lieux, ont donné l’alerte.
La découverte de stupéfiants – GHB, méthamphétamine – confirme la piste d’une soirée chemsex.
Proche de Bruno Retailleau, l’élu vendéen siégeait depuis des années à la région.
Christelle Morançais a salué un collaborateur "dévoué". Circonstances obligent, l’éloge fut bref.
Cette mort n’est pas un accident isolé, mais le symptôme d’une pratique qui expose ses adeptes à des risques extrêmes : overdose, infections, dépendance.
Le décès de cet élu de 56 ans, père de famille, serait survenu au cours d’une soirée chemsex, vraisemblablement des suites d’une overdose.
Le parquet de Tours a ouvert une enquête, privilégiant l’hypothèse d’une intoxication aiguë.
Derrière les hommages convenus, ce drame souligne une nouvelle fois les contradictions d’une classe politique prompte à moraliser – sauf quand il s’agit des siens.
Vers 3 heures du matin, les secours sont intervenus dans un immeuble du Vieux Tours pour tenter de réanimer Laurent Caillaud, déjà en arrêt cardio-respiratoire. En vain.
Deux autres hommes, présents sur les lieux, ont donné l’alerte.
La découverte de stupéfiants – GHB, méthamphétamine – confirme la piste d’une soirée chemsex.
Proche de Bruno Retailleau, l’élu vendéen siégeait depuis des années à la région.
Christelle Morançais a salué un collaborateur "dévoué". Circonstances obligent, l’éloge fut bref.
Cette mort n’est pas un accident isolé, mais le symptôme d’une pratique qui expose ses adeptes à des risques extrêmes : overdose, infections, dépendance.
Le chemsex, ou la banalisation d’une pratique à haut risque !
Né dans les milieux gays britanniques des années 1990, le chemsex – contraction de *chemicals* et *sex* – désigne l’usage de produits psychoactifs pour potentialiser l’expérience sexuelle.
En France, son essor a été favorisé par les applications de rencontre et l’accès simplifié aux drogues de synthèse.
Pratiqué majoritairement par des HSH (hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes), il mobilise des substances comme le GHB, la méthamphétamine ou la méphédrone, qui augmentent autant la durée des ébats que les périls sanitaires : overdoses, déshydratation, transmission d’infections.
L’OFDT le qualifie de "fait social" à part entière, intégrant sexualité, produits psychoactifs et modes de vie queer.
En France, son essor a été favorisé par les applications de rencontre et l’accès simplifié aux drogues de synthèse.
Pratiqué majoritairement par des HSH (hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes), il mobilise des substances comme le GHB, la méthamphétamine ou la méphédrone, qui augmentent autant la durée des ébats que les périls sanitaires : overdoses, déshydratation, transmission d’infections.
L’OFDT le qualifie de "fait social" à part entière, intégrant sexualité, produits psychoactifs et modes de vie queer.
Des antécédents qui embarrassent l’échiquier politique !
Le chemsex n’en est pas à sa première victime parmi les personnalités publiques.
En juillet 2025, l’essayiste franc-maçon Laurent Kupferman a été retrouvé mort à Fontainebleau après une consommation de GHB et de 3-MMC.
En octobre 2024, le député LFI Andy Kerbrat était interpellé en possession de 3-MMC alors qu’il se rendait à une soirée du même type – lui qui avait signé, le jour même, une tribune contre cette pratique.
En mars 2023, Nicolas Jeanneté, des Centristes, était arrêté pour trafic de stupéfiants lors de soirées chemsex, avant d’être mis en examen pour consultation d’images pédopornographiques.
Preuve, s’il en fallait, que le phénomène transcende les étiquettes politiques.
En juillet 2025, l’essayiste franc-maçon Laurent Kupferman a été retrouvé mort à Fontainebleau après une consommation de GHB et de 3-MMC.
En octobre 2024, le député LFI Andy Kerbrat était interpellé en possession de 3-MMC alors qu’il se rendait à une soirée du même type – lui qui avait signé, le jour même, une tribune contre cette pratique.
En mars 2023, Nicolas Jeanneté, des Centristes, était arrêté pour trafic de stupéfiants lors de soirées chemsex, avant d’être mis en examen pour consultation d’images pédopornographiques.
Preuve, s’il en fallait, que le phénomène transcende les étiquettes politiques.
L’État face au chemsex : entre prévention tardive et hypocrisie persistante !
Reconnu comme enjeu de santé publique depuis le début des années 2020, le chemsex toucherait entre 100.000 et 200.000 personnes en France.
Les autorités ont mis en place des outils de prévention – drogues.gouv.fr, kits de réduction des risques – et des associations comme AIDES ou Sidaction agissent sur le terrain.
Le 31 mars 2025, l’Assemblée nationale a adopté une proposition de résolution appelant à une "stratégie nationale de prévention". Le ministre de la Santé a promis un plan dédié.
Mais dans les faits, la logique répressive prévaut toujours, et les moyens alloués restent dérisoires au regard de l’ampleur du phénomène.
On préfère souvent, dans les hautes sphères, feindre l’ignorance… jusqu’à ce qu’un drame vienne rappeler à tous la réalité de ces pratiques.
Les autorités ont mis en place des outils de prévention – drogues.gouv.fr, kits de réduction des risques – et des associations comme AIDES ou Sidaction agissent sur le terrain.
Le 31 mars 2025, l’Assemblée nationale a adopté une proposition de résolution appelant à une "stratégie nationale de prévention". Le ministre de la Santé a promis un plan dédié.
Mais dans les faits, la logique répressive prévaut toujours, et les moyens alloués restent dérisoires au regard de l’ampleur du phénomène.
On préfère souvent, dans les hautes sphères, feindre l’ignorance… jusqu’à ce qu’un drame vienne rappeler à tous la réalité de ces pratiques.