dimanche 19 janvier 2025

Les Hivers Glaciaux dus au Réchauffement ?

Les Climatologues affirment désormais que le Réchauffement Climatique provoque des Hivers Glaciaux et les Blizzards Neigeux, comme c'est Blizzard !


Par Baxter Dmitry

Le réchauffement climatique rendrait les hivers plus froids ? 
C'est l'affirmation farfelue que l'Associated Press et son propagandiste climatique Seth Borenstein veulent vous faire accepter.
"L'air glacial qui reste normalement piégé dans l'Arctique s'est échappé, plongeant profondément à l'intérieur des États-Unis pour une visite prolongée qui devrait provoquer des claquements de dents mais ne pas battre de records", a écrit Borenstein, dont les archives d'articles de l'AP sont jonchées de bonbons climatiques de gauche typiques que l'on attend des journalistes libéraux.
"Il s’agit d’une épidémie d’air froid qui, selon certains experts, se produit plus fréquemment et, paradoxalement, en raison du réchauffement climatique", poursuit Seth. 
L’affirmation selon laquelle les hivers plus froids et les vagues de froid fréquentes sont le résultat du réchauffement climatique n’est pas seulement contre-intuitive : elle est carrément absurde et non scientifique. 
Cela n’a pas empêché Borenstein d’écrire la même histoire, imputant la responsabilité du réchauffement climatique à chaque fois que les États-Unis connaissent un hiver plus froid que la moyenne. 


La cabale climatique cherche désespérément à faire perdurer ce récit orwellien, alors oublions les discours alarmistes et examinons de plus près pourquoi ce récit s'effondre sous le moindre examen.
1. Les événements de vortex polaire ne sont pas liés aux émissions ou au réchauffement !
Le concept du vortex polaire – une vaste zone de basse pression et d’air froid entourant les pôles – est bien documenté depuis des décennies. 
Bien que les perturbations du vortex polaire puissent provoquer des températures extrêmement froides dans certaines régions, ces événements ne sont pas le résultat des émissions humaines ou du réchauffement climatique. 
Comme le souligne JunkScience, il n’existe aucune preuve scientifique claire reliant ces phénomènes à la hausse des températures mondiales. Les tentatives de les associer ne sont qu’une propagande alarmiste menée par les médias grand public pour le compte de leurs commanditaires.

2. Le retournement de situation historique : un refroidissement dans les années 1970, un réchauffement aujourd'hui ! 
En 1978, le New York Times annonçait que le vortex polaire provoquerait un refroidissement climatique extrême. 
À la fin des années 1970, les médias grand public conditionnaient leur public à la crainte d'une ère glaciaire imminente. 
Cela contraste fortement avec le discours actuel, où le même phénomène est utilisé comme preuve du réchauffement climatique. 
De telles volte-faces révèlent comment le discours sur le climat a évolué au fil du temps pour s’adapter à des récits et des agendas, plutôt que d’adhérer à des normes scientifiques rigoureuses.

3. Liens financiers entre les fondations mondialistes et l'AP ! 
Les reportages de l’AP sur le climat sont largement financés par des fondations de gauche et mondialistes qui injectent des millions dans la promotion de récits alarmistes. 
Ces incitations financières remettent en question l’objectivité de la couverture climatique de l’AP. 
Lorsque le journalisme est soutenu par des organisations ayant un programme idéologique clair, il devient difficile de séparer les faits des récits lucratifs.  

Alarmisme commode ou science ? 
L’affirmation selon laquelle le réchauffement climatique entraînerait des épisodes de froid plus fréquents défie le bon sens et la cohérence scientifique. 
Elle reflète une tendance plus large selon laquelle tout événement météorologique extrême, chaud ou froid, est attribué au changement climatique, créant ainsi un récit infalsifiable et, par conséquent, non scientifique. 
La véritable science exige des preuves rigoureuses et une ouverture au débat, et non des explications pratiques qui évoluent au gré des vents politiques. 
Le scepticisme est une pierre angulaire de la recherche scientifique et il est essentiel pour aborder des sujets complexes comme le changement climatique. 
Le reportage de l'AP sur cette question nous rappelle que nous devons évaluer de manière critique les récits qui nous sont présentés, en particulier lorsqu'ils semblent motivés par des motivations idéologiques ou financières plutôt que par des preuves tangibles.