vendredi 28 mars 2025

Les Mondialistes veulent Contrôler votre Cuisine !

Après vouloir interdire les Potagers, la Cuisson et le Chauffage au Bois et au Gaz, ils veulent réglementer votre Cuisine, sans doute pour vous interdire de Cuisiner afin d'acheter des Plats Industriels ! 


Cuisiner sous le signe du climat : une étude américaine et les idées du Forum Économique Mondial en harmonie, bientôt une réglementation pour la cuisine ?  
Des fourneaux à l’hystérie ? 
Comment la cuisine est déclarée comme la prochaine crise des émissions ! 
Un rapport de recherche de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) américaine fait actuellement sensation : une étude récente répertorie la cuisine quotidienne à Los Angeles comme l'une des principales sources de pollution à l'ozone, au même titre que les combustibles fossiles. 
Ce qui, à première vue, semble être une observation scientifique neutre pourrait en fait être la prochaine étape d’un programme à long terme visant à guider le comportement et à contrôler la vie quotidienne.

Cuisiner = un péché climatique ? 
L’étude de la NOAA le précise clairement : la friture, le grillage et la friture produisent des composés organiques volatils (COV), qui contribuent à la formation d’ozone dans l’atmosphère. 
C’est peut-être scientifiquement correct, mais la conclusion est significative. 
Selon les calculs des chercheurs, les activités de cuisine sont déjà responsables d'environ un quart de la pollution à l'ozone due aux COV à Los Angeles, juste derrière la circulation et l'industrie. 
Un résultat surprenant qui risque de susciter de nouvelles convoitises politiques.

Le véritable danger : la réaction à l’étude ! 
L’étude elle-même ne contient aucune recommandation concrète, mais c’est précisément ce qui la rend dangereuse. 
À une époque où tout est centré sur la "protection du climat" et la "transformation", de tels chiffres suffisent souvent à légitimer des mesures politiques. 
Les options possibles seraient : 
• Des exigences plus strictes pour les établissements de restauration, telles que des exigences en matière de filtres ou des taxes sur les émissions
• Interdiction ou restriction des cuisinières à gaz, comme cela est déjà discuté dans certaines villes américaines
• Campagnes pour changer les habitudes de cuisson, comme la cuisson à la vapeur "à faibles émissions" ou la cuisson à froid ! 
• Subventionner les "technologies de cuisine durables" – Une cuisine intelligente plutôt qu'une poêle à frire !

Une vague roule – contrôlée ou aléatoire ? 
Ce n’est pas un hasard si, parallèlement à cette étude, des organisations comme le Forum économique mondial (WEF) émettent de plus en plus de recommandations qui interfèrent avec la vie privée des gens – depuis l’évitement de la viande jusqu’aux voyages à température ambiante. 
La cuisine a également été abordée par le WEF dans le passé, notamment en lien avec les technologies de cuisson solaire et la promotion de la "réduction des émissions comportementales". 
Bien que le WEF n’ait pas été directement impliqué dans l’étude de la NOAA, les bases idéologiques ont été posées : tout ce qui provoque du CO₂, de l’ozone ou des particules est de plus en plus présenté comme moralement discutable. Ici , ici , ici et ici. 
Ce qui suit est prévisible : ce n’est pas la voiture, ni l’industrie, mais les gens eux-mêmes qui sont déclarés comme étant la source du problème.

Critique de l'utilisation politique de la science ! 
La science doit éduquer, et non dicter. Mais dans le débat actuel sur le climat, il est de plus en plus utilisé comme un outil pour justifier des interventions autoritaires. 
Des études comme celles menées par la NOAA deviennent souvent – ​​intentionnellement ou non – la base de politiques qui ne se contentent plus du progrès technologique ou de l’innovation , mais s’appuient plutôt sur un changement de comportement par le biais de pressions et d’interdictions. 
Le danger est que les découvertes scientifiques soient utilisées de manière sélective à des fins politiques – chaque fois qu’elles correspondent au discours idéologique. 
Dans ce contexte, le fait que les émissions des cuisines soient désormais censées jouer un rôle central ressemble moins à de la protection de l’environnement qu’à du contrôle.

Conclusion : De la protection du climat à la réglementation quotidienne ! 
Cuisiner est un besoin fondamental, pas un crime climatique. 
Le fait que le poêle soit désormais dans le collimateur de la politique d’émissions montre à quel point cette pénétration dans la vie privée est devenue importante. 
Celui qui croit sérieusement que sauver la planète passe par la refonte de nos cuisines se préoccupe peut-être moins du climat que des gens eux-mêmes – de leurs habitudes, de leur liberté, de leur mode de vie. 
Il est grand temps d’examiner de manière critique ces évolutions – avant qu’un simple tribunal ne devienne un problème politique. 
Car ce qui sent la torréfaction aujourd’hui pourrait justifier la prochaine interdiction demain. 

https://uncutnews.ch/kochen-unter-klimaverdacht-us-studie-und-wef-ideen-im-einklang-bald-vorschriften-fuer-die-kueche/