"Il n’y a pas d’urgence climatique !" selon plus de 1.900 Scientifiques qui remettent en question l’Alarmisme de l'Urgence Climatique utilisée pour faire Peur aux Populations !
Plus de 1.900 chercheurs mettent en garde contre une panique climatique motivée par des raisons politiques et appellent à un retour à une science sobre !
Un réseau international de plus de 1.900 scientifiques et experts, réunis sous l’égide du Global Climate Intelligence Group (CLINTEL), a publié un message clair : la politique climatique actuelle est basée sur des modèles exagérés et des drames sans fondement – et met en danger la prospérité et le bon sens par des mesures hâtives.
Changement climatique : naturel et complexe – pas seulement d’origine humaine !
La déclaration souligne que le climat de la Terre est soumis à des fluctuations naturelles depuis des millions d'années.
Le réchauffement actuel s'inscrit dans un cycle à long terme dont les origines remontent, entre autres, à la fin du Petit Âge glaciaire, vers 1850.
"Il n'est pas surprenant que nous traversions actuellement une phase de réchauffement", indique le document – une phase qui ne peut être attribuée exclusivement à l'activité humaine.
Les modèles sont erronés : la réalité est en retard sur les prévisions !
L'une des principales critiques adressées au groupe de recherche concerne les modèles climatiques du GIEC : ils sont trop sensibles aux effets du CO₂ et montrent régulièrement des tendances au réchauffement nettement plus fortes que celles mesurées dans la réalité.
Les modèles sont erronés : la réalité est en retard sur les prévisions !
L'une des principales critiques adressées au groupe de recherche concerne les modèles climatiques du GIEC : ils sont trop sensibles aux effets du CO₂ et montrent régulièrement des tendances au réchauffement nettement plus fortes que celles mesurées dans la réalité.
"L'écart entre le monde réel et le monde modélisé montre que nous ne comprenons pas suffisamment le changement climatique", affirment les auteurs.
Le CO₂ – la base de la vie, pas un gaz toxique !
Un point particulièrement controversé, mais scientifiquement prouvé : le dioxyde de carbone n'est pas un polluant, mais essentiel à la vie sur Terre. La photosynthèse, base de toute croissance végétale, bénéficie de concentrations plus élevées de CO₂, tout comme l'agriculture mondiale.
Le CO₂ – la base de la vie, pas un gaz toxique !
Un point particulièrement controversé, mais scientifiquement prouvé : le dioxyde de carbone n'est pas un polluant, mais essentiel à la vie sur Terre. La photosynthèse, base de toute croissance végétale, bénéficie de concentrations plus élevées de CO₂, tout comme l'agriculture mondiale.
Des études montrent que la végétation mondiale a augmenté ces dernières décennies en raison de niveaux plus élevés de CO₂.
Aucune preuve d’une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes !
Contrairement à l'idée reçue souvent répandue dans les médias, les chercheurs ne constatent "aucune preuve statistique" que les événements extrêmes tels que les ouragans, les sécheresses ou les inondations soient devenus plus fréquents ou plus intenses.
Aucune preuve d’une augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes !
Contrairement à l'idée reçue souvent répandue dans les médias, les chercheurs ne constatent "aucune preuve statistique" que les événements extrêmes tels que les ouragans, les sécheresses ou les inondations soient devenus plus fréquents ou plus intenses.
Les données réelles ne révèlent aucune tendance significative corroborant le discours sur les catastrophes.
Politique zéro émission nette : coûteuse, inefficace et dangereuse !
Les scientifiques critiquent vivement le programme mondial "zéro émission nette", qui vise à réduire drastiquement les émissions de CO₂ d'ici 2050.
Politique zéro émission nette : coûteuse, inefficace et dangereuse !
Les scientifiques critiquent vivement le programme mondial "zéro émission nette", qui vise à réduire drastiquement les émissions de CO₂ d'ici 2050.
Ils affirment que de tels objectifs politiques sont non seulement irréalistes et extrêmement coûteux, mais reposent également sur des bases scientifiques fragiles.
Il est nécessaire de prendre le temps de développer de meilleures technologies et de prendre des décisions rationnelles, plutôt que de construire des structures hâtives dans un climat d'alarmisme.
Conclusion : La science doit rester indépendante – la politique ne doit pas agir de manière idéologique !
La science climatique ne doit pas être biaisée par des objectifs politiques, exigent les signataires.
Conclusion : La science doit rester indépendante – la politique ne doit pas agir de manière idéologique !
La science climatique ne doit pas être biaisée par des objectifs politiques, exigent les signataires.
Les incertitudes doivent être abordées ouvertement, les prévisions des modèles examinées de manière critique et les données réelles doivent être placées au cœur du débat public.
C'est la seule façon de parvenir à une politique énergétique et environnementale durable, socialement acceptable et technologiquement viable.
La "Déclaration mondiale sur le climat" est un appel à un retour à une science transparente et fondée sur des faits – et un contrepoint clair à la politique climatique actuellement dominante.
https://uncutnews.ch/es-gibt-keinen-klimanotstand-knapp-2000-wissenschaftler-stellen-alarmismus-infrage/
La "Déclaration mondiale sur le climat" est un appel à un retour à une science transparente et fondée sur des faits – et un contrepoint clair à la politique climatique actuellement dominante.
https://uncutnews.ch/es-gibt-keinen-klimanotstand-knapp-2000-wissenschaftler-stellen-alarmismus-infrage/