Le Tribunal Militaire a Condamné Antony Blinken à la Pendaison pour ses Complots pour Assassiner Trump, ses Viols d'Enfants et sa Dépendance à l'Adrénochrome !
La conclusion du tribunal militaire d'Antony Blinken, le 23 mai, s'est soldée par une condamnation et une peine de mort après que la contre-Amirale Lia Reynolds a présenté des preuves établissant que Blinken était un accro à l'Adrénochrome qui avait eu des relations sexuelles avec des mineurs au Département d'État et à la Maison Blanche pendant ses mandats de secrétaire d'État adjoint d'Obama de 2015 à 2017 et de Secrétaire d'État de Biden de 2021 à 2025.
L'Amirale Reynolds avait appelé à la barre l'ancienne secrétaire d'État adjointe à la Gestion et aux Ressources, Heather Higginbottom.
Cette dernière, fonctionnaire de 2009 à 2017, avait témoigné avoir eu des contacts sporadiques avec Blinken en 2015-2016.
Elle a raconté qu'en mars 2016, Blinken l'avait convoquée dans son bureau pour lui présenter une proposition qu'elle avait rédigée et qui détaillait la distribution des fonds d'aide étrangère.
Elle a raconté qu'en mars 2016, Blinken l'avait convoquée dans son bureau pour lui présenter une proposition qu'elle avait rédigée et qui détaillait la distribution des fonds d'aide étrangère.
Higginbottom a raconté à la commission qu'en entrant dans le bureau de Blinken, elle avait vu une aiguille hypodermique sur son bureau et un garrot élastique serré autour de son bras droit.
Il s'était clairement injecté quelque chose dans les veines.
Les yeux de Blinken, a-t-elle dit, étaient vitreux et papillonnaient follement tandis qu'il souriait et lui faisait signe de s'asseoir.
Selon elle, Blinken était moins intéressé par sa proposition que par l'idée de lui faire découvrir les "joies de l'Adrénochrome".
"Il m'a dit que ça me détendrait", a-t-elle raconté au jury.
"Il m'a dit que ça me détendrait", a-t-elle raconté au jury.
"Que tout le monde le faisait.
Il a dit…" Higginbottom s'est étranglée et des larmes ont coulé sur son visage "…que je perdrais mes inhibitions et que j'apprécierais les rapports sexuels avec des enfants.
Il m'a montré des photos dégoûtantes de lui – de lui en train de faire l'amour avec une très jeune fille en costume de ballerine.
Puis il m'a fait regarder un épisode de South Park intitulé "Madame prof baise un garçon", où l'on voit une enseignante adulte coucher avec un très, très jeune garçon.
Oui, c'était un dessin animé, mais…"
"Pourquoi n'êtes-vous pas parti ?" interrompit l'Amirale Reynolds.
"Je me sentais piégée", a déclaré Higginbottom.
"Pourquoi n'êtes-vous pas parti ?" interrompit l'Amirale Reynolds.
"Je me sentais piégée", a déclaré Higginbottom.
"Il ne menaçait pas les hommes, mais j'avais le pressentiment que si je partais ou essayais de partir, je finirais dans un fossé quelque part."
"Avez-vous déjà essayé l’Adrénochrome ?" demanda l’Amirale.
"Non. J'ai échappé au piège. Je souffre d'eczéma atopique, d'un déficit immunitaire, et je lui ai dit que je ne pouvais pas prendre de médicaments qui pourraient aggraver mon état ou me conduire à l'hôpital.
"Avez-vous déjà essayé l’Adrénochrome ?" demanda l’Amirale.
"Non. J'ai échappé au piège. Je souffre d'eczéma atopique, d'un déficit immunitaire, et je lui ai dit que je ne pouvais pas prendre de médicaments qui pourraient aggraver mon état ou me conduire à l'hôpital.
Il n'a pas contesté, mais a dit qu'il prenait de l'Adrénochrome depuis des années.
"C'était hallucinant, époustouflant !", m'a-t-il dit.
"L’accusé Blinken vous a-t-il dit directement comment il a obtenu l’Adrénochrome ou les enfants qu’il aurait agressés sexuellement ?" a demandé l’Amirale Reynolds.
"Non, et je n’allais certainement pas demander", répondit-elle.
À ce stade, l'avocat de Blinken a objecté, accusant le témoin d'avoir inventé des fables visant à mettre en doute la crédibilité et la moralité de son client.
"L’accusé Blinken vous a-t-il dit directement comment il a obtenu l’Adrénochrome ou les enfants qu’il aurait agressés sexuellement ?" a demandé l’Amirale Reynolds.
"Non, et je n’allais certainement pas demander", répondit-elle.
À ce stade, l'avocat de Blinken a objecté, accusant le témoin d'avoir inventé des fables visant à mettre en doute la crédibilité et la moralité de son client.
Il a exigé des preuves des accusations de Higginbottom et a accusé le Bureau des commissions militaires de tenter de faire taire son client sur la base d'allégations fragiles et de preuves invisibles.
"Amirale, sauf votre respect, votre témoin ne peut prouver que mon client a utilisé de l'Adrénochrome ou s'est comporté de manière inappropriée avec des mineurs.
"Amirale, sauf votre respect, votre témoin ne peut prouver que mon client a utilisé de l'Adrénochrome ou s'est comporté de manière inappropriée avec des mineurs.
Elle prétend, de manière absurde, avoir vu des photos.
Où sont-elles ?
Elle prétend avoir vu mon client s'injecter.
Où sont ces preuves ?
Nous n'avons que les paroles d'une femme mécontente."
"Ce témoin ne peut pas prouver, au-delà de sa parole, que l'accusé Blinken est coupable d'agressions sexuelles sur mineurs.
Mais la preuve qu'il avait pris de l'Adrénochrome dans les 30 jours suivant son arrestation ne fait aucun doute", a déclaré l'Amirale Reynolds.
Elle a présenté à la défense les résultats des analyses sanguines, urinaires et des follicules pileux que les techniciens de laboratoire de l'hôpital naval de Guantanamo avaient effectués sur Blinken peu après son arrivée.
Elle a présenté à la défense les résultats des analyses sanguines, urinaires et des follicules pileux que les techniciens de laboratoire de l'hôpital naval de Guantanamo avaient effectués sur Blinken peu après son arrivée.
Il avait été testé positif à l'Adrénochrome.
"Et, sans surprise, il n’était pas vacciné !", a noté l’Amirale Reynolds.
L'usage de drogues et l'hésitation à se faire vacciner, a soutenu l'avocat de Blinken, ne correspondent guère à la définition de trahison, alors que l'Amirale Reynolds a insisté sur le fait que le JAG avait, sur la base de témoignages antérieurs et de preuves matérielles, démontré de manière concluante que Blinken était un traître et méritait la peine applicable la plus sévère.
Elle a cependant ajouté qu'elle avait un autre témoin à apporter.
Apparaissant via un flux vidéo, le frère d'Antony Blinken, Alan Blinken, âgé de 87 ans et qui a été ambassadeur du président William Jefferson Clinton en Belgique de 1993 à 1997, est apparu à l'écran et a juré qu'il dirait la vérité, toute la vérité et rien que la vérité, que Dieu lui vienne en aide.
Quand Antony Blinken a vu le visage de son frère, il s'est levé de son siège et a crié : "Vraiment toi ?" et a dit, à tort, que les frères et sœurs ne peuvent pas témoigner les uns contre les autres.
L'Amirale Reynolds a déclaré : "Personne n'a contraint votre frère à comparaître aujourd'hui. Il est venu nous voir."
L'avocat de Blinken a déclaré : "Nous n'avons pas été informés de la présence de ce témoin et je ne suis pas prêt à le contre-interroger."
"Si vous n'avez pas examiné la liste révisée que nous avons envoyée à votre bureau il y a deux semaines, c'est de votre faute", a déclaré l'Amirale Reynolds.
L’avocat de Blinken a parcouru un panthéon de documents et a déclaré : "Oh, merde."
Au cours de l’heure qui a suivi, Alan Blinken a déclaré sans détour au tribunal que son frère était un accro à l’Adrénochrome et un pédophile prolifique.
"Il a essayé de me faire prendre de l'Adrénochrome pendant dix ans pour que je vive plus longtemps et que je ne sois pas impuissant", a témoigné Alan Blinken.
"Et, sans surprise, il n’était pas vacciné !", a noté l’Amirale Reynolds.
L'usage de drogues et l'hésitation à se faire vacciner, a soutenu l'avocat de Blinken, ne correspondent guère à la définition de trahison, alors que l'Amirale Reynolds a insisté sur le fait que le JAG avait, sur la base de témoignages antérieurs et de preuves matérielles, démontré de manière concluante que Blinken était un traître et méritait la peine applicable la plus sévère.
Elle a cependant ajouté qu'elle avait un autre témoin à apporter.
Apparaissant via un flux vidéo, le frère d'Antony Blinken, Alan Blinken, âgé de 87 ans et qui a été ambassadeur du président William Jefferson Clinton en Belgique de 1993 à 1997, est apparu à l'écran et a juré qu'il dirait la vérité, toute la vérité et rien que la vérité, que Dieu lui vienne en aide.
Quand Antony Blinken a vu le visage de son frère, il s'est levé de son siège et a crié : "Vraiment toi ?" et a dit, à tort, que les frères et sœurs ne peuvent pas témoigner les uns contre les autres.
L'Amirale Reynolds a déclaré : "Personne n'a contraint votre frère à comparaître aujourd'hui. Il est venu nous voir."
L'avocat de Blinken a déclaré : "Nous n'avons pas été informés de la présence de ce témoin et je ne suis pas prêt à le contre-interroger."
"Si vous n'avez pas examiné la liste révisée que nous avons envoyée à votre bureau il y a deux semaines, c'est de votre faute", a déclaré l'Amirale Reynolds.
L’avocat de Blinken a parcouru un panthéon de documents et a déclaré : "Oh, merde."
Au cours de l’heure qui a suivi, Alan Blinken a déclaré sans détour au tribunal que son frère était un accro à l’Adrénochrome et un pédophile prolifique.
"Il a essayé de me faire prendre de l'Adrénochrome pendant dix ans pour que je vive plus longtemps et que je ne sois pas impuissant", a témoigné Alan Blinken.
"Non, non, il ne l'a jamais fait, mais ça ne l'a pas empêché de m'envoyer des photos de lui avec son cul à la figure d'un gamin.
C'est mon frère, mais il fallait que ça cesse.
Je t'aime parce que tu es mon frère, Antony, mais tu es malade"
"S'il vous plaît, ne vous adressez pas à l'accusé !", lui dit l'Amirale Reynolds.
"Ce sont des images numériques, que nous avons authentifiées comme étant réelles, que l'accusé Blinken a envoyées par courrier électronique au témoin", a-t-elle déclaré au jury.
Les images grotesques montraient le phallus de Blinken dans la bouche d'un jeune garçon et à l'intérieur du rectum d'un garçon encore plus jeune.
"Il m’a dit que son amour pour les enfants n’avait d’égal que son désir d’assassiner Donald Trump", a déclaré Alan Blinken.
"L'accusation a terminé !", a déclaré l'Amirale Reynolds.
"S'il vous plaît, ne vous adressez pas à l'accusé !", lui dit l'Amirale Reynolds.
"Ce sont des images numériques, que nous avons authentifiées comme étant réelles, que l'accusé Blinken a envoyées par courrier électronique au témoin", a-t-elle déclaré au jury.
Les images grotesques montraient le phallus de Blinken dans la bouche d'un jeune garçon et à l'intérieur du rectum d'un garçon encore plus jeune.
"Il m’a dit que son amour pour les enfants n’avait d’égal que son désir d’assassiner Donald Trump", a déclaré Alan Blinken.
"L'accusation a terminé !", a déclaré l'Amirale Reynolds.
"La défense souhaite-t-elle contre-interroger ou présenter ses propres témoins ?"
L'avocat de Blinken s'est mis au garde-à-vous.
L'avocat de Blinken s'est mis au garde-à-vous.
"Non, Madame, je n'ai rien pour réfuter les propos de ce témoin ni les photos qu'il a montrées au tribunal."
Blinken baissa la tête et cacha son visage dans les paumes de ses mains.
Le jury a rendu un verdict immédiat : coupable. coupable. coupable.
Blinken baissa la tête et cacha son visage dans les paumes de ses mains.
Le jury a rendu un verdict immédiat : coupable. coupable. coupable.
Mort par pendaison.
Comme cela arrive souvent, l'amiral a approuvé la décision du jury et a condamné Blinken à la pendaison le 5 juin 2025.
Nous publierons une mise à jour dès que nous aurons reçu des nouvelles.
Par Michael Baxter le 2 juin 2025 :
https://realrawnews.com/2025/06/antony-blinken-miltary-tribunal-conclusion/
Comme cela arrive souvent, l'amiral a approuvé la décision du jury et a condamné Blinken à la pendaison le 5 juin 2025.
Nous publierons une mise à jour dès que nous aurons reçu des nouvelles.
Par Michael Baxter le 2 juin 2025 :
https://realrawnews.com/2025/06/antony-blinken-miltary-tribunal-conclusion/