
L'Ouest atteint son pic de mortalité, l'Est se situe dans la fourchette normale !
Rapport basé sur la vidéo du Dr John Campbell "Excess Mortality 2025" : https://www.youtube.com/watch?v=OlBvymt5bAs
Cinq ans après le début de la pandémie mondiale de coronavirus, de nombreux pays occidentaux continuent d’enregistrer une mortalité en forte hausse – et personne ne semble en mesure de l’expliquer ou d’y apporter des éclaircissements.
Dans une nouvelle vidéo convaincante, le Dr John Campbell, scientifique britannique spécialisé dans la santé, présente des données détaillées sur la surmortalité actuelle et soulève des questions inconfortables sur le rôle de la politique de vaccination, du déni des données et de l'ignorance systématique.
"Le nombre de décès continue d'être plus élevé que prévu dans la plupart des pays occidentaux, mais pas en Europe de l'Est. Quelle est la différence ?" – Dr John Campbell
Pays occidentaux : une mortalité en constante augmentation !
Campbell s'appuie sur les données de la plateforme Our World in Data et montre que dans des pays comme les États-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, les Pays-Bas, l'Irlande, l'Allemagne, la France, Israël, la Corée du Sud, le Japon, Taïwan et Singapour, la surmortalité est constamment supérieure à la normale depuis des années, souvent de l'ordre de 10 à 20%, et au Japon parfois supérieure à 27%.
La situation est d’autant plus alarmante qu’une baisse du nombre de décès aurait été attendue après la pandémie.
De nombreuses personnes particulièrement vulnérables étaient déjà décédées en 2020, par exemple à cause d’un surtraitement au midazolam ou d’autres facteurs liés à la lutte contre la pandémie.
Au lieu de cela, la mortalité reste à un "niveau inexplicablement élevé".
Europe de l'Est et Russie : un tableau contrasté !
En revanche , la Russie, la Roumanie, l’Arménie, la Géorgie et le Kazakhstan ont signalé une mortalité plus faible que prévu – exactement ce à quoi on pourrait s’attendre après une pandémie.
Thèse centrale de Campbell : ces pays se sont abstenus d’utiliser à grande échelle les vaccins à ARNm , qui pourraient jouer un rôle décisif. Une corrélation est clairement visible – et elle ne doit pas être écartée par réflexe.
"La corrélation n’est pas la causalité" ? – Mais parfois
Campbell rejette explicitement l’objection la plus courante : "Corrélation ne signifie pas causalité."
Il nous rappelle que les liens entre le tabagisme et le cancer du poumon, l’amiante et le mésothéliome, ou le sucre et l’obésité n’étaient initialement que des corrélations – jusqu’à ce que la recherche confirme la causalité.
"On ne peut pas rejeter les corrélations avec arrogance. Il faut les prendre au sérieux et les étudier scientifiquement."
Échec scientifique et Lumières réprimées !
Campbell critique particulièrement le fait qu’au Royaume-Uni, par exemple, le National Office for Health Data ne publie plus de ventilations détaillées – par exemple, sur la répartition par âge des décès.
Dans des pays comme les États-Unis, l’enquête démarre lentement, mais au Royaume-Uni, l’indifférence politique règne face à des millions de décès potentiellement évitables.
Il rappelle les critères de Bradford Hill, qui peuvent être utilisés pour identifier les relations causales en épidémiologie – plusieurs de ces critères sont remplis dans le cas d’une surmortalité :
- Données cohérentes spécifiques à chaque pays
- Mécanismes biologiques plausibles dans les dommages causés par les vaccins à ARNm
- Relation temporelle entre cause et effet
- Relations dose-réponse
- Confirmation par la recherche fondamentale
- Réversibilité partielle
"Tout est là. Et pourtant, les autorités l'ignorent."
Conclusion : Une crise sanitaire ignorée !
L’appel du Dr Campbell est clair : la surmortalité persistante dans les pays occidentaux n’est pas une coïncidence, mais un signal d’alarme épidémiologique – qui est systématiquement supprimé . Les gouvernements doivent enfin examiner sérieusement le rôle des vaccins, la gestion de la pandémie et d’autres facteurs.
"Peut-être que la vie humaine n'a plus d'importance. Peut-être y a-t-il des choses plus importantes. Mais j'aurais pensé que des millions de morts inutiles auraient de l'importance pour quelqu'un."