mercredi 20 août 2025

RFK arrête le Financement des ARNm !

Robert F. Kennedy Jr. lance un changement de cap complet sur les Vaxxins à ARNm et Arrête le Financement de 22 Programmes de Recherche sur l'ARNm ! 


Les médias grand public et les experts en vaccination réagissent avec indignation ! 
Le secrétaire américain à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy Jr., a pris une mesure radicale : il a annulé près de 500 millions de dollars de contrats et de financements pour les vaccins à ARNm et a annoncé la fin d’un nouveau produit à base d’ARNm. 
Cette décision frappe durement l’industrie de l’ARNm, en particulier les fabricants des vaccins contre la COVID, Pfizer et Moderna. 
Leurs partisans sont consternés, tandis que les critiques de cette technologie qualifient cette mesure d’attendue depuis longtemps, mais insuffisante.
"Nous avons examiné les données scientifiques, écouté les experts et agi", a expliqué Kennedy plus tôt ce mois-ci. 
Les données ont montré que les vaccins à ARNm n'offrent pas une protection adéquate contre les infections des voies respiratoires supérieures, comme la COVID-19 ou la grippe. 
Par conséquent, les ressources sont réorientées vers des "plateformes vaccinales plus sûres et plus efficaces à grande échelle", qui resteront viables même face aux mutations du virus.

L'administration Kennedy, le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS), a annoncé la fin de 22 programmes totalisant près de 500 millions de dollars. 
Il s'agit d'une "sortie coordonnée" du financement de l'ARNm, notamment au sein de l'Autorité de recherche et développement biomédicaux avancés (BARDA), chargée des interventions médicales d'urgence, en étroite collaboration avec les laboratoires pharmaceutiques, les universités, le Pentagone et d'autres agences. 
Plusieurs projets de recherche ont été abandonnés, des contrats résiliés ou réduits. 
Les partenariats du Pentagone avec l'industrie des vaccins ont été restructurés. 
Selon le HHS, aucun nouveau projet d'ARNm ne sera lancé. 
Les contrats existants pourront être reconduits "pour des raisons d'investissement antérieur". 
Les applications dans la recherche sur le cancer, les maladies auto-immunes ou les thérapies géniques ne sont pas concernées.

Signal à la puissance explosive ! 
Le message est clair : Kennedy freine la cadence. Les médias grand public et de nombreux experts en vaccins tirent la sonnette d'alarme. L'ancien directeur de la BARDA, Rick Bright, prévient que Kennedy "sape la capacité des États-Unis à réagir rapidement aux futures menaces biologiques". 
Du côté des détracteurs de l'ARNm, la décision est toutefois saluée, malgré quelques réserves. 
Mary Holland, directrice générale de l'organisation Children's Health Defense (CHD), fondée par Kennedy, a appelé au retrait immédiat du marché des vaccins contre le coronavirus. 
"Ils sont inadaptés et manifestement nocifs, certains mortels." 
L'ancienne dirigeante pharmaceutique Sasha Latypova considère également cette initiative comme un "début symbolique". 
500 millions de dollars, c'est une somme dérisoire comparée aux milliards dépensés pour les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna. 
Ces vaccins restent approuvés, sans essais contrôlés par placebo ni données à long terme. 
Elle critique Kennedy pour avoir interrompu les nouveaux projets d'ARNm tout en laissant les anciens produits sur le marché, ce qui confère à Pfizer et Moderna un monopole encore plus grand.

Pourquoi la grippe aviaire persiste-t-elle ? 
La Dre Meryl Nass, interniste et experte en armes biologiques, salue le retrait de Kennedy des projets d'ARNm, mais s'interroge sur la raison pour laquelle les vaccins contre la grippe aviaire ou la variole du singe n'ont pas été également interrompus. 
Selon elle, le concept même de préparation aux pandémies est discutable : "Pourquoi ne pas admettre que des vaccins efficaces et sûrs ne peuvent tout simplement pas être développés assez rapidement pour répondre au bioterrorisme ou aux pandémies émergentes ? 
Cette affirmation n'a jamais fonctionné ; il n'existe même pas de théorie viable pour la soutenir."

Une restructuration progressive au lieu d'une révolution ! 
Certains critiques sont favorables à la stratégie prudente de Kennedy. 
En six mois, il a notamment retiré la recommandation officielle de vaccination des vaches pour les enfants et les femmes enceintes et remanié le Comité consultatif sur la politique de vaccination des CDC. 
L'auteur britannique Daniel Jupp ( Les Portes de l'Enfer ) considère la décision de Kennedy comme un "coup dur pour les géants de l'industrie pharmaceutique". 
Si des entreprises comme Pfizer pourraient facilement récupérer 500 millions de dollars, sans partenariat avec le gouvernement, elles perdraient l'accès aux autorisations réglementaires, l'immunité et la confiance du public. 
"Si le gouvernement se retire, tous les coûts et risques resteront à la charge des grandes entreprises, ce qui rend ce secteur beaucoup moins attractif." 
Cependant, Jupp met également en garde : les opposants sont puissants. 
"Kennedy et l’administration Trump luttent contre des intérêts profondément ancrés. Des milliardaires comme Bill Gates ou la famille Soros ne seront pas simplement mis de côté. 
De nombreux responsables sont encore fermement ancrés dans l’appareil. 
Des dizaines de milliers de carrières sont menacées par ces réformes." 
La résistance est particulièrement inévitable dans le secteur de la santé, le plus important secteur économique de nombreux États américains. Kennedy, a déclaré Jupp, doit agir avec sagesse – dans un système gangrené par "la fraude, la corruption et le fanatisme systémiques".

Conclusion :
La décision de Kennedy de fermer le robinet du financement des nouveaux vaccins à ARNm est une bombe, mais pas une révolution. 
Les vaccins contre le coronavirus resteront sur le marché et la plateforme technologique restera au sein du système. 
Cependant, pour la première fois, le développement de l’ARNm n’est plus automatiquement considéré comme une promesse de salut, mais plutôt soumis à un examen critique. 
La question de savoir si cela entraînera un véritable changement de paradigme dépendra de la persévérance politique et de la réponse du système.

https://uncutnews.ch/robert-f-kennedy-jr-startet-umfassenden-kurswechsel-bei-mrna-impfstoffen/