jeudi 11 septembre 2025

Biden n'était qu'une Marionnette des Élites !

Kamala Harris dénonce, dans ses mémoires divulguées, la Manipulation des Médias et admet que des Agents Mondialistes Dirigeaient Secrètement la Maison Blanche ! 


Kamala Harris vient de confirmer ce que beaucoup savaient déjà, mais que peu osaient admettre publiquement : le régime Biden n'a jamais eu pour objectif de servir l'Amérique, mais de servir l'élite mondiale, de protéger ses structures de pouvoir et de sacrifier quiconque se mettait en travers de son chemin. 
Ses mémoires à paraître, 107 jours, parus le 10 septembre 2025, ne sont pas seulement un livre, mais une confession, une fuite accidentelle de la corruption interne de la machine démocrate. 
Selon ses propres termes, Harris qualifie la décision de Biden de briguer un second mandat "d'imprudente". 
Elle ne l'embellit pas. 
Elle n'enrobe rien. 
Elle admet la vérité : cette décision n'était pas une question de démocratie, ni d'Amérique, mais une question d'ego. 
C'est le langage de la cabale. 
Lorsqu'une marionnette ne sert plus à rien, on la maintient en vie, même si elle est en train de s'effondrer mentalement, car son élimination révélerait toute l'opération.

Le second mandat de Biden n’était pas seulement un mauvais jugement : c’était un chaos orchestré, poussé par les élites pour gagner du temps alors que le projet mondialiste s’effondrait sous le retour de Trump.  
Harris elle-même révèle le mantra du lavage de cerveau à la Maison-Blanche : "C’est la décision de Joe et Jill." 
Elle admet qu’ils l’ont répété comme hypnotisés. 
Ce n’était pas de la politique, c’était de la programmation. 
Un scénario psychologique écrit par des manipulateurs et murmuré à l’oreille de tout l’entourage de Biden. 
Elle demande même : "Était-ce de la grâce, ou de l’imprudence ?" et répond : "Avec le recul, je pense que c’était de l’imprudence." 
Ce n’est pas seulement du regret, c’est une tentative de se détacher de l’effondrement d’un régime qu’elle a contribué à instaurer. 
Mais la vérité profonde est plus sombre. 
Biden n'a jamais eu le contrôle. 
Jill Biden n'a jamais eu le contrôle. 
Le cercle restreint évoqué par Harris – l'équipe de communication et le personnel fantôme – ne lui était pas fidèle, car ils ne travaillaient ni pour elle, ni même pour Biden. 
Ils travaillaient pour les mêmes intérêts offshore qui avaient initialement installé la marionnette Biden. 
Harris écrit : "Ils avaient une équipe de communication colossale… mais obtenir des commentaires positifs sur mon travail… était quasiment impossible." 
Pourquoi ? 
Parce qu'elle n'était pas membre du club. 
Parce que les architectes de l'opération ne lui faisaient pas entièrement confiance. 
Parce que le plan était de l'utiliser comme remplaçante, puis de la jeter une fois son utilité épuisée.

Regardez le timing. 
Nous sommes en septembre 2025. 
Trump est de retour à la présidence. 
Les élites paniquent, leur couverture est dévoilée. 
Et soudain, Harris sort un livre dans lequel elle admet avoir été réduite au silence, sabotée et réprimée ? 
Ce n'est pas une coïncidence. 
C'est une question de survie. 
Elle tente de rejeter la faute sur les autres avant que les tribunaux ne fouillent plus profondément dans les réseaux Biden-Obama et les élites qui ont tiré les ficelles à Bruxelles, Genève et Davos.  
Soyons sérieux. Harris déclare : "On aurait dit qu'ils avaient décidé de me rabaisser un peu plus." 
Il ne s'agit pas de politique de bureau informelle, mais de destruction systématique. 
Lorsqu'elle parle de "personne ne plaide, donnez-lui quelque chose avec quoi elle peut gagner", elle expose le fonctionnement du système : les gens sont délibérément sabotés pour garder le contrôle. 
C'est la même tactique utilisée par l'élite mondiale depuis des décennies. Ils élèvent, puis détruisent. 
Ils opposent leurs pions les uns aux autres, laissant chacun trop faible pour défier le pouvoir en coulisses. 
Le régime Biden n'était pas seulement dysfonctionnel, il était le résultat d'un chaos orchestré. 
Le témoignage de Harris concorde avec ce que des sources internes de l'armée divulguent depuis 2022 : la Maison-Blanche était envahie d'intérêts étrangers, d'agents de renseignement et d'ONG déguisés en "conseillers". 
De quelle équipe de communication se plaint Harris ? 
Elle était dirigée par des sous-traitants liés aux programmes du Forum économique mondial. 
Karine Jean-Pierre n'était pas seulement une attachée de presse : c'était un porte-parole pré-écrit, délivrant des messages testés et approuvés par des groupes de réflexion internationaux. 
Harris n'était pas ignorée parce qu'elle avait échoué, mais parce qu'on ne lui faisait pas confiance pour respecter le programme.

Et maintenant, avec le retour de Trump dans le Bureau ovale, tout le récit est en train d'imploser. 
Le livre de Harris n'est pas un livre de bravoure, mais de désespoir. 
Elle voit les murs se refermer. 
Elle sait que les crimes de la famille Biden se défont, que les réseaux financiers de Hunter sont exposés et que des comptes offshore sont liés à des sociétés écrans du PCC. 
Elle sait que le réseau fantôme d'Obama est sous surveillance. 
Elle sait que les tribunaux de Guantanamo ne sont plus des rumeurs, mais actifs et en pleine expansion. 
Les élites voulaient que Biden entraîne l'Amérique dans quatre années supplémentaires d'effondrement contrôlé. 
Elles voulaient une guerre avec la Russie, une guerre avec l'Iran, le déploiement d'une monnaie numérique et la destruction définitive de la souveraineté américaine. 
Le retour de Trump a stoppé net ce processus. 
Harris se démène désormais pour se positionner comme la "lanceuse d'alerte" au sein du régime Biden, mais il est trop tard. 
Ses aveux prouvent ce que les patriotes savaient déjà : la machine Démocrate n'a jamais été loyale à l'Amérique, jamais loyale à ses propres intérêts, et toujours loyale uniquement à la structure du pouvoir mondial. 
Notez bien ceci : le 10 septembre 2025, les fuites concernant Harris sont les premières fissures dans le barrage. 
Le reste viendra. Les mêmes élites qui l'ont réduite au silence sont désormais celles-là mêmes qui sont traînées au grand jour par les tribunaux militaires de Trump. 
La saga Biden-Harris n'était pas seulement une affaire d'incompétence : c'était un effondrement orchestré depuis le sommet de la pyramide mondiale. Harris vient de le confirmer de sa propre plume.

https://gazetteller.com/bombshell-kamala-harris-confirms-in-leaked-memoir-biden-was-just-a-puppet-for-the-elites-she-exposes-media-manipulation-and-admits-globalist-handlers-secretly-ran-the-white-house/