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Filibert
mardi 9 septembre 2025
Chute spectaculaire du Gouvernement et Après ?
François Bayrou a été éjecté par l’Assemblée Nationale lors du Vote de Confiance du 8 septembre, sans doute pour Démotiver les Manifestants du 10 septembre !
La date du 8 septembre 2025 pour cette motion de Confiance n'est pas anodine, juste avant les mobilisations du 10 septembre !
L'Assemblée nationale a renversé le gouvernement de François Bayrou par un vote de confiance historique (364 contre, 194 pour).
Démission demain, Macron nomme un successeur.
Opposition jubile, manifestations festives à Bordeaux et Nantes contre le "macronisme".
Bayrou éjecté comme un vieux meuble ! L’Assemblée l’a balayé avec 364 voix contre son budget foireux.Ah, quel spectacle ! L’Assemblée nationale vient de jouer les grands nettoyeurs en balayant d’un revers de main le gouvernement de François Bayrou. Ce vote de confiance, que le pauvre Bayrou avait lui-même réclamé il y a quinze jours pour valider son fameux plan budgétaire, s’est transformé en fiasco total. Résultat ? Le Premier ministre, ou plutôt l’ex-Premier ministre en sursis, ira présenter sa démission demain matin au palais de l’Élysée. On imagine déjà Emmanuel Macron, ce grand stratège des coulisses, en train de se gratter la tête pour dénicher un remplaçant dans les prochains jours. .
Les Chiffres qui font mal : 364 voix contre la confiance à Bayrou ! Plongeons dans les détails croustillants de ce scrutin historique. Pour la toute première fois sous la Ve République, un chef de gouvernement se fait renverser par un vote de confiance – un record dont Bayrou se serait bien passé, n’est-ce pas ? Sur les bancs de l’hémicycle, 364 députés ont crié "non" haut et fort, tandis que seulement 194 ont osé soutenir cette aventure budgétaire hasardeuse. Et pour couronner le tout, 25 élus ont préféré jouer les neutres en s’abstenant. Emmanuel Macron, fidèle à son style impérial, a simplement "pris acte" de cette déroute, comme s’il s’agissait d’une simple formalité administrative. On se demande bien ce qu’il mijote maintenant, ce président qui adore les rebondissements théâtraux.
Réactions Politiques : Mélenchon jubile et appelle au départ de Macron
Du côté de l’opposition, c’est la fête foraine. Jean-Luc Mélenchon, le leader des Insoumis, n’a pas perdu une seconde pour dégainer sur X :
"Bayrou a mordu la poussière. Victoire populaire et grand ouf de soulagement. Macron est maintenant en ligne de mire face à la nation. À lui de plier bagage !"
Et pour enfoncer le clou, ses troupes préparent une motion de destitution contre le président dès demain à l’Assemblée. Manuel Bompard, le coordinateur de La France insoumise, n’est pas en reste : il voit dans cette chute une opportunité en or pour "clore une bonne fois pour toutes le chapitre du macronisme". Ironique, non ? Comme si Bayrou n’était qu’un pion sacrifié sur l’échiquier d’un président qui commence à accumuler les faux pas. Fêtes de rue : Bordeaux et Nantes célèbrent la fin de l’Ère Bayrou sous la pluie Loin des dorures parisiennes, la joie populaire éclate un peu partout. À Bordeaux, malgré une averse qui trempe tout le monde, une centaine de manifestants ont improvisé un "pot de départ" pour Bayrou. Au micro, un activiste lance : "Bayrou fait-il partie du peuple ?" Et la foule de hurler "non !" avant d’entonner "À bas les bourgeois !" sous les rires et les applaudissements. Le tout se termine par une bière bien méritée – parce que, après tout, renverser un gouvernement, ça donne soif. À Nantes, l’ambiance est tout aussi euphorique : quelques centaines de personnes se massent devant la mairie avec sono, ballons, chips et bretzels.
En résumé, cette chute de Bayrou marque un tournant cocasse dans la saga macronienne. Le Premier ministre éphémère, avec son plan budgétaire bancal, n’aura tenu que le temps d’un feu de paille. Et Macron ? Il feint la sérénité, mais les fissures se multiplient. Reste à voir qui sera le prochain à endosser le costume de bouc émissaire dans cette comédie du pouvoir. Pour plus d’actualités sur la crise gouvernementale, le vote de confiance à l’Assemblée et les réactions contre Macron, restez connectés !
