Un Groupe Sud-Africain réfute la Déclaration de l'OMS d'une Urgence liée au Mpox et met en Garde le Public contre les Risques liés aux Vaxxins Préconisés !
Le groupe d'étude médico-légal sur les blessures causées par les "vaccins" en Afrique du Sud ("SAVIMS") a publié un communiqué de presse indiquant qu'il ne soutient pas la déclaration du CDC africain et de l'Organisation mondiale de la santé concernant une urgence sanitaire mondiale pour la variole du singe, désormais connue sous le nom de mpox.
De plus, ils ont mis en garde contre les vaccins à virus vivants recommandés, Jynneos et ACAM2000 : ces vaccins sont utilisés à titre expérimental contre la variole du singe, car ils étaient initialement destinés à la variole ; des effets indésirables graves ont été signalés ; et ils contiennent des souches virales vivantes, qui peuvent potentiellement provoquer une résurgence du virus de la variole éradiqué.
"Nous avertissons le public des risques inhérents à la prise de tout vaccin, y compris ceux proposés pour le mpox, dont l’efficacité et la sécurité n’ont pas été déterminées de manière fiable… Rien ne peut justifier un vaccin dont les effets indésirables sont inconnus", déclare SAVIMS.
En outre, le SAVIMS souligne la nécessité d’un audit indépendant des données collectées sur la variole du singe en République démocratique du Congo ("RDC") et dans d’autres pays africains, telles que fournies par l’OMS, afin de garantir l’exactitude et la fiabilité des statistiques et des analyses.
SAVIMS est une association multidisciplinaire bénévole dont le but est de suivre les preuves, d'acquérir et de communiquer des connaissances sur les blessures causées par les vaccins.
Ses objectifs sont de promouvoir la santé humaine et les droits de l'homme tels qu'ils sont consacrés dans la Déclaration des droits de la Constitution de la République d'Afrique du Sud.
Le site Web de SAVIMS n'est pas encore en ligne.
Hier, James Roguski a publié le communiqué de presse ci-dessous de SAVIMS.
Johannesburg, Afrique du Sud le 18 août 2024
Communiqué pour une Diffusion Immédiate : Déclaration sur le déploiement d'urgence proposé d'un programme de vaccination contre la variole du singe en Afrique !
Nous sommes profondément préoccupés par les récentes annonces faites par le directeur général du CDC Afrique, Jean Kaseya, le 13 août 2024, et par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, le 14 août 2024.
Johannesburg, Afrique du Sud le 18 août 2024
Communiqué pour une Diffusion Immédiate : Déclaration sur le déploiement d'urgence proposé d'un programme de vaccination contre la variole du singe en Afrique !
Nous sommes profondément préoccupés par les récentes annonces faites par le directeur général du CDC Afrique, Jean Kaseya, le 13 août 2024, et par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, le 14 août 2024.
Dans ses déclarations, le directeur général Jean Kaseya a déclaré à propos des vaccins contre la variole du singe : "Nous avons un plan clair pour garantir plus de 10 millions de doses en Afrique, en commençant par 3 millions de doses en 2024."
Nous, du SAVIMS, souhaitons attirer l'attention des institutions et autres organismes concernés sur certains faits pertinents :
1. Il n’existe pas de vaccin prescrit contre la variole du singe, dont l’efficacité est scientifiquement prouvée de niveau 1. Les vaccins à virus vivants actuellement recommandés par l’OMS, Jynneos et ACAM2000, sont (a) destinés à la variole et sont donc expérimentaux pour la variole du singe ; (b) ont fait état d’effets indésirables graves et (c) contiennent des souches virales vivantes qui peuvent provoquer une résurgence du virus de la variole éradiqué.
2. L’utilisation potentielle des vaccins à ARNm. Il n’existe aucune preuve scientifique justifiant l’utilisation d’un quelconque vaccin à ARNm pour prévenir ou atténuer une quelconque maladie infectieuse. Les données observées sur les effets indésirables des vaccins à ARNm expérimentaux dépassent de loin tout bénéfice.
3. Le consentement éclairé est un concept éthique codifié dans la loi et utilisé quotidiennement dans tous les établissements de santé. Trois critères fondamentaux sont nécessaires pour obtenir un consentement éclairé clinique : le patient doit être compétent, correctement informé et ne pas avoir été contraint. Il n’est pas possible pour un receveur de ces vaccins de recevoir un consentement éclairé légitime sur la base des recherches actuelles.
4. L'article d'Allan-Blitz et al., « A position statement on Mpox as a Sexually Transmitted Disease », conclut que la variole du singe est une maladie sexuellement transmissible. Les mesures préventives pour ce scénario devraient nécessiter et susciter des initiatives cliniques et de soins de santé primaires et d'éducation appropriées destinées au groupe à haut risque. Il n'y a aucun mérite à recommander des vaccins expérimentaux à la population générale.
5. Les statistiques et les analyses concernant les données recueillies par l’OMS sur la variole du singe en RDC et dans d’autres pays d’Afrique méritent d’être approfondies et doivent faire l’objet d’un audit indépendant. Les domaines dans lesquels les statistiques les plus élevées ont été recueillies doivent détailler les critères de dépistage, les procédures de dépistage, la sensibilité et la spécificité des équipements, les compétences du personnel, les scénarios cliniques et la provocation pour tester ces communautés spécifiques. Quels tests ont été effectués pour enquêter sur d’autres maladies et les exclure, y compris les maladies transmissibles ?
6. Aucun rapport d'autopsie n'a été publié sur les décès liés à la variole du singe. L'absence d'autopsie formelle documentée, le manque d'informations sur les sensibilités et spécificités des tests effectués sur les équipements et le manque d'informations sur les procédures de validation de la collecte aléatoire de données réduisent et invalident encore davantage l'authenticité des statistiques.
Déclaration de position du SAVIMS concernant le déploiement d'urgence du vaccin contre la variole du singe en Afrique :
Nous avons examiné la littérature et analysé les données sur la variole du singe, ainsi que son étiopathogénie. Sur la base de notre compréhension de cette maladie :
A. Nous ne soutenons pas la déclaration du CDC Afrique et de l’OMS concernant une urgence sanitaire mondiale concernant la variole du singe.
B. Il est établi que la variole du singe est une maladie essentiellement auto-limitante. Cela ne justifie pas une intervention vaccinale.
C. Nous nous opposons fermement, sur la base de preuves scientifiques, au déploiement "d’urgence" de vaccins contre la variole reconvertis ou de tout autre vaccin contre la variole du singe proposé aux populations africaines.
D. Nous remettons en question l’authenticité du nombre de décès associés à la variole du singe, tel que rapporté par le CDC Afrique, à moins qu’il puisse être vérifié par autopsie.
E, Nous avertissons le public des risques inhérents à la prise de tout vaccin, y compris ceux proposés pour le mpox, dont l'efficacité et la sécurité n'ont pas été déterminées de manière fiable par des essais cliniques de niveau 1. Rien ne peut justifier un vaccin dont les effets indésirables sont inconnus.
F. Nous exhortons le public à exercer ses droits humains inhérents en refusant de donner son consentement à toute intervention médicale avec laquelle il ne se sent pas à l’aise.
Nous sommes ouverts au dialogue et à la discussion avec l'Africa CDC sur les questions soulevées ci-dessus et sur toutes les questions de santé et de bien-être concernant la population africaine.
Conseil d'administration de SAVIMS
Contact : Dr Edeling, président
Pour plus d'informations, envoyez un e-mail à : savims@savims.org.za
Références à l'appui :
Nous, du SAVIMS, souhaitons attirer l'attention des institutions et autres organismes concernés sur certains faits pertinents :
1. Il n’existe pas de vaccin prescrit contre la variole du singe, dont l’efficacité est scientifiquement prouvée de niveau 1. Les vaccins à virus vivants actuellement recommandés par l’OMS, Jynneos et ACAM2000, sont (a) destinés à la variole et sont donc expérimentaux pour la variole du singe ; (b) ont fait état d’effets indésirables graves et (c) contiennent des souches virales vivantes qui peuvent provoquer une résurgence du virus de la variole éradiqué.
2. L’utilisation potentielle des vaccins à ARNm. Il n’existe aucune preuve scientifique justifiant l’utilisation d’un quelconque vaccin à ARNm pour prévenir ou atténuer une quelconque maladie infectieuse. Les données observées sur les effets indésirables des vaccins à ARNm expérimentaux dépassent de loin tout bénéfice.
3. Le consentement éclairé est un concept éthique codifié dans la loi et utilisé quotidiennement dans tous les établissements de santé. Trois critères fondamentaux sont nécessaires pour obtenir un consentement éclairé clinique : le patient doit être compétent, correctement informé et ne pas avoir été contraint. Il n’est pas possible pour un receveur de ces vaccins de recevoir un consentement éclairé légitime sur la base des recherches actuelles.
4. L'article d'Allan-Blitz et al., « A position statement on Mpox as a Sexually Transmitted Disease », conclut que la variole du singe est une maladie sexuellement transmissible. Les mesures préventives pour ce scénario devraient nécessiter et susciter des initiatives cliniques et de soins de santé primaires et d'éducation appropriées destinées au groupe à haut risque. Il n'y a aucun mérite à recommander des vaccins expérimentaux à la population générale.
5. Les statistiques et les analyses concernant les données recueillies par l’OMS sur la variole du singe en RDC et dans d’autres pays d’Afrique méritent d’être approfondies et doivent faire l’objet d’un audit indépendant. Les domaines dans lesquels les statistiques les plus élevées ont été recueillies doivent détailler les critères de dépistage, les procédures de dépistage, la sensibilité et la spécificité des équipements, les compétences du personnel, les scénarios cliniques et la provocation pour tester ces communautés spécifiques. Quels tests ont été effectués pour enquêter sur d’autres maladies et les exclure, y compris les maladies transmissibles ?
6. Aucun rapport d'autopsie n'a été publié sur les décès liés à la variole du singe. L'absence d'autopsie formelle documentée, le manque d'informations sur les sensibilités et spécificités des tests effectués sur les équipements et le manque d'informations sur les procédures de validation de la collecte aléatoire de données réduisent et invalident encore davantage l'authenticité des statistiques.
Déclaration de position du SAVIMS concernant le déploiement d'urgence du vaccin contre la variole du singe en Afrique :
Nous avons examiné la littérature et analysé les données sur la variole du singe, ainsi que son étiopathogénie. Sur la base de notre compréhension de cette maladie :
A. Nous ne soutenons pas la déclaration du CDC Afrique et de l’OMS concernant une urgence sanitaire mondiale concernant la variole du singe.
B. Il est établi que la variole du singe est une maladie essentiellement auto-limitante. Cela ne justifie pas une intervention vaccinale.
C. Nous nous opposons fermement, sur la base de preuves scientifiques, au déploiement "d’urgence" de vaccins contre la variole reconvertis ou de tout autre vaccin contre la variole du singe proposé aux populations africaines.
D. Nous remettons en question l’authenticité du nombre de décès associés à la variole du singe, tel que rapporté par le CDC Afrique, à moins qu’il puisse être vérifié par autopsie.
E, Nous avertissons le public des risques inhérents à la prise de tout vaccin, y compris ceux proposés pour le mpox, dont l'efficacité et la sécurité n'ont pas été déterminées de manière fiable par des essais cliniques de niveau 1. Rien ne peut justifier un vaccin dont les effets indésirables sont inconnus.
F. Nous exhortons le public à exercer ses droits humains inhérents en refusant de donner son consentement à toute intervention médicale avec laquelle il ne se sent pas à l’aise.
Nous sommes ouverts au dialogue et à la discussion avec l'Africa CDC sur les questions soulevées ci-dessus et sur toutes les questions de santé et de bien-être concernant la population africaine.
Conseil d'administration de SAVIMS
Contact : Dr Edeling, président
Pour plus d'informations, envoyez un e-mail à : savims@savims.org.za
Références à l'appui :
• Allan-Blitz LT, et al. Déclaration de position sur la Mpox en tant que maladie sexuellement transmissible. Clin Infect Dis. 17 avril 2023 ;76(8) :1508-1512
• Bloch DA. Comparaison de deux tests diagnostiques par rapport au même « gold standard » dans le même échantillon. Biometrics. 1997 mars;53(1):73-85. Erratum dans : Biometrics 1998 mars;54(1):399.
• Cocanour CS. Consentement éclairé : c'est plus qu'une signature sur un bout de papier. Am J Surg. 2017 déc.;214(6):993-997.
• Grady C. Défis persistants et émergents du consentement éclairé. N Engl J Med. 2015 26 février ;372(9):855-62.
https://africacdc.org/news-item/speech-of-the-director-general-africa-cdc-on-the-declaration-of-mpox-as-a-public-health-emergency-of-continental- sécurité-phecs/
https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-ihr-emergency-committee-meeting-regarding-the-upsurge-of- mpox-2024—14-août-2024
https://www.who.int/health-topics/smallpox
https://www.cdc.gov/poxvirus/mpox/interim-considerations/overview.html
https://jynneos.com/
https://www.who.int/publications/m/item/multi-country-outbreak-of-mpox–external-situation-report-35–12-august-2024
https://clinicaltrials.gov/study/NCT05988203?term=NCT05988203&rank=1
https://clinicaltrials.gov/search?term=mrna%20vaccine
• Ogoina D, et al. Revue clinique du mpox humain. Clin Microbiol Infect. 2023 déc.;29(12):1493-1501.
• Zidan M, et al. Ce qu'il faut savoir sur les statistiques, partie II : fiabilité des tests de diagnostic et de dépistage. Pediatr Radiol. 2015 mars;45(3):317-28.
• Bloch DA. Comparaison de deux tests diagnostiques par rapport au même « gold standard » dans le même échantillon. Biometrics. 1997 mars;53(1):73-85. Erratum dans : Biometrics 1998 mars;54(1):399.
• Cocanour CS. Consentement éclairé : c'est plus qu'une signature sur un bout de papier. Am J Surg. 2017 déc.;214(6):993-997.
• Grady C. Défis persistants et émergents du consentement éclairé. N Engl J Med. 2015 26 février ;372(9):855-62.
https://africacdc.org/news-item/speech-of-the-director-general-africa-cdc-on-the-declaration-of-mpox-as-a-public-health-emergency-of-continental- sécurité-phecs/
https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-ihr-emergency-committee-meeting-regarding-the-upsurge-of- mpox-2024—14-août-2024
https://www.who.int/health-topics/smallpox
https://www.cdc.gov/poxvirus/mpox/interim-considerations/overview.html
https://jynneos.com/
https://www.who.int/publications/m/item/multi-country-outbreak-of-mpox–external-situation-report-35–12-august-2024
https://clinicaltrials.gov/study/NCT05988203?term=NCT05988203&rank=1
https://clinicaltrials.gov/search?term=mrna%20vaccine
• Ogoina D, et al. Revue clinique du mpox humain. Clin Microbiol Infect. 2023 déc.;29(12):1493-1501.
• Zidan M, et al. Ce qu'il faut savoir sur les statistiques, partie II : fiabilité des tests de diagnostic et de dépistage. Pediatr Radiol. 2015 mars;45(3):317-28.