mercredi 1 janvier 2025

Le CO2 sauve la planète au lieu de la détruire !

Bien que les preuves scientifiques démontrent que le CO2 est essentiel à la Vie sur Terre et son Augmentation améliore la Production Alimentaire pour l'Homme ! 


De nouvelles preuves scientifiques remettent en cause le discours selon lequel le dioxyde de carbone (CO 2 ) est nocif, soulignant son rôle dans le verdissement mondial, l’augmentation des rendements agricoles et la restauration de la biodiversité. 
Des études indiquent que l'atmosphère est déjà saturée de CO2, ce qui rend les émissions supplémentaires négligeables dans l'augmentation de la température mondiale, ce qui contredit les prévisions du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat ("GIEC") des Nations Unies concernant un réchauffement catastrophique. 
Les recherches montrent que l’augmentation des niveaux de CO2 (par exemple, de 100 à 400 ppm) entraîne des augmentations de température minimes (par exemple, 0,3°C), sans réchauffement supplémentaire au-delà de 400 ppm. 
Le CO2 stimule la photosynthèse et la croissance des plantes. Les données satellite montrent une augmentation de 20 à 30% du verdissement mondial depuis 1982, en particulier dans des régions comme l’Inde et le Sahel. 
Malgré les preuves scientifiques, les médias grand public et les agendas politiques continuent de promouvoir des politiques de zéro émission nette, ignorant les bienfaits du CO2 pour la vie et son impact environnemental positif.


Par Willow Tohi tel que publié par Natural News le 30 décembre 2024

À l’ère de l’alarmisme climatique et de la pression incessante en faveur de politiques de neutralité carbone, un nombre croissant de preuves scientifiques remettent en cause le discours selon lequel le dioxyde de carbone (CO2) est un méchant planétaire. 
Des études évaluées par des pairs et des scientifiques reconnus révèlent aujourd’hui que le CO2 est non seulement inoffensif, mais qu’il est en réalité bénéfique pour la Terre, en provoquant un phénomène de verdissement mondial qui nourrit la planète et restaure la biodiversité. Pourtant, ces recherches révolutionnaires sont systématiquement ignorées par les médias grand public, qui restent attachés à un programme climatique à motivation politique. 
Des études récentes publiées par la CO2 Coalition et d’autres groupes scientifiques indépendants ont montré que la hausse des niveaux de CO2 ne constitue pas la menace existentielle qu’on prétend être. 
En fait, l’atmosphère est déjà "saturée " de CO2, ce qui signifie que les émissions supplémentaires ont un impact négligeable sur les températures mondiales. 
Cet effet de saturation, longtemps mis en avant par les climato-sceptiques, explique pourquoi les niveaux historiques de CO2, 10 à 15 fois plus élevés qu’aujourd’hui, n’ont pas conduit à un réchauffement climatique incontrôlable. 
Au contraire, le CO2 s’avère être une bénédiction pour la vie végétale, favorisant une "révolution verte" qui augmente les rendements agricoles et verdit de vastes pans de la planète.

L’une des conclusions les plus convaincantes est celle d’une équipe de scientifiques taïwanais dirigée par le professeur Peng-Sheng Wei. 
Leurs recherches, publiées dans un article récent, ont montré que l’augmentation des niveaux de CO2 de 100 à 400 parties par million ("ppm") n’entraînait qu’une hausse de 0,3 °C de la température du sol – un chiffre si faible qu’il se situe dans la marge d’erreur. 
Plus frappant encore, l’étude n’a constaté aucun réchauffement supplémentaire lorsque les niveaux de CO2 ont atteint 400 ppm. 
Cela contredit directement l’affirmation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ("GIEC") selon laquelle le doublement des niveaux de CO2 entraînerait une augmentation catastrophique de la température de 3°C. 
De même, des scientifiques autrichiens ont conclu que doubler les concentrations de CO2 à 800 ppm entraînerait un réchauffement de 0,5 °C au maximum, sans augmentation de l’absorption infrarouge aux longueurs d’onde clés. 
Ces conclusions, ainsi que celles de chercheurs polonais et canadiens, suggèrent que la sensibilité du climat au CO2 a été largement surestimée. 
Le Dr Jan Kubicki et son équipe soutiennent qu’au-delà de 400 ppm, le CO2 "ne peut plus provoquer d’augmentation de la température", tandis que le professeur Yi Huang de l’Université McGill note que l’absorption du CO2 est déjà saturée, ce qui rend les émissions supplémentaires largement sans rapport avec le réchauffement.

Le dioxyde de carbone est essentiel à la vie sur Terre ! 
Les bienfaits du CO2 vont bien au-delà de son impact minime sur la température. Ce gaz est un nutriment essentiel à la vie végétale, qui stimule la photosynthèse et favorise la croissance. 
Selon la CO2 Coalition , des niveaux plus élevés de CO2 améliorent la végétation mondiale, les données satellite montrant une augmentation de 20 à 30% du verdissement entre 1982 et 2012 dans des régions comme l’Inde, l’Australie occidentale et le Sahel. 
Cet effet de verdissement s’est accéléré au cours des dernières décennies, le CO2 étant identifié comme le principal facteur. 
Les conséquences sur l’agriculture sont profondes. 
Des études menées par Charles Taylor et Wolfram Schlenker révèlent qu’une augmentation de 1 ppm de CO2 augmente les rendements des cultures de 0,4% pour le maïs, de 0,6% pour le soja et de 1% pour le blé. 
Cet "effet fertilisant" contribue à nourrir une population mondiale croissante, ce qui contredit les prédictions malthusiennes de pénurie alimentaire qui hantent depuis longtemps le discours environnemental.

Le regretté physicien Freeman Dyson, figure emblématique de la science du XXe siècle, a été l’un des premiers à reconnaître les bienfaits du CO2. 
Dans une interview de 2015, il expliquait que la Terre devenait plus verte" en raison de la hausse des niveaux de CO2, qui accroît les rendements agricoles, étend les forêts et renforce la biodiversité. 
Il affirmait que ces effets positifs étaient "plus importants et plus certains que les effets sur le climat". 
Il critiquait également les modèles climatiques, qu’il considérait comme des outils peu fiables pour prédire le réchauffement futur, notant qu’ils ne tenaient pas compte de la dynamique complexe et non linéaire de l’atmosphère.

Malgré ces preuves de plus en plus nombreuses, les médias et les élites politiques continuent de promouvoir le programme "zéro émission nette", en ignorant les données scientifiques qui contredisent leur discours. 
La CO2 Coalition, une fondation éducative qui se consacre à la promotion des faits sur le CO2, a été à l’avant-garde de cet effort, en soulignant le rôle vital du gaz dans l’environnement. 
Ses travaux, soutenus par des scientifiques de renom comme le professeur William Happer et le lauréat du prix Nobel Dr John Clauser, soulignent l’importance du CO2 dans le maintien de la vie sur Terre. 
La vérité est claire : le CO2 n’est pas un polluant, mais un gaz vital qui rend la planète plus verte, plus productive et plus résiliente. 
L’alarmisme climatique qui domine le discours public depuis des décennies repose sur des fondements scientifiques fragiles et sert avant tout à faire avancer un programme politique. 
Alors que les preuves continuent de s’accumuler, il est temps de rejeter les alarmistes et d’accepter la réalité : le CO2 est bon pour la planète et bon pour nous.

Les sources incluent :