Le Juge de l'État Profond, Arthur Engoron, a été pendu le 23 décembre à Guantanamo, pour ses Trahisons et des Jugements Partisans non Équitables !
Le juge de l'État Profond Arthur Engoron s’était fait surnommer "la Faucheuse", le porteur de la mort, en raison de son visage marqué par les piqûres et de ses traits macabres.
La nuit, seul dans une cellule, il hurlait comme une banshee, jurant de se venger de ses geôliers, accusant le Président Trump de ses malheurs.
Il avait dit au JAG qu’il y aurait des conséquences et qu’il avait des amis haut placés – "le sommet de la chaîne alimentaire" – et avait juré qu’il poursuivrait personnellement tout officier du JAG qui encouragerait la "croisade illégale" du Président Trump.
Engoron avait audacieusement déclaré qu’il se justifierait devant un tribunal militaire.
Il n’a jamais eu cette chance.
Il n’a jamais eu cette chance.
L’après-midi du 23 décembre 2024, un officier du JAG et deux policiers militaires sont entrés dans la cellule d’Engoron et lui ont dit que le Vice-Amiral Christopher French avait décrété qu’Engoron serait pendu à cette heure-ci.
Furieux, Engoron a exigé une explication et a fait valoir que toutes les personnes, coupables et innocentes, accusées de crimes méritaient une chance de se défendre contre "des mensonges spécieux et des allégations fallacieuses" et a exigé qu’il soit autorisé à parler au Vice-Amiral Crandall pour plaider sa cause.
Informé que l'Amiral Crandall avait pris sa retraite et que c'était l'Amiral French qui prenait désormais les décisions, Engoron a déclaré : "Qui est-ce ? Je n'ai jamais entendu parler de lui."
"C'est l'Amiral qui a ordonné votre pendaison aujourd'hui", a répondu l'officier du JAG.
Informé que l'Amiral Crandall avait pris sa retraite et que c'était l'Amiral French qui prenait désormais les décisions, Engoron a déclaré : "Qui est-ce ? Je n'ai jamais entendu parler de lui."
"C'est l'Amiral qui a ordonné votre pendaison aujourd'hui", a répondu l'officier du JAG.
"Nous venons d'exécuter Merchan, et vous êtes le prochain."
"J’ai besoin d’un téléphone pour passer des appels", a déclaré Engoron.
"Personne ne peut vous aider maintenant", a déclaré l’officier du JAG.
Les policiers ont menotté Engoron et l'ont escorté du quartier pénitentiaire jusqu'à un Humvee. Pendant le bref trajet jusqu'à la potence, Engoron a continué à clamer son innocence et a même dit à ses accompagnateurs qu'il avait une réserve d'argent liquide qui pourrait leur revenir s'ils obtenaient sa libération.
L'officier du JAG dans le Hummer sourit.
"J’ai besoin d’un téléphone pour passer des appels", a déclaré Engoron.
"Personne ne peut vous aider maintenant", a déclaré l’officier du JAG.
Les policiers ont menotté Engoron et l'ont escorté du quartier pénitentiaire jusqu'à un Humvee. Pendant le bref trajet jusqu'à la potence, Engoron a continué à clamer son innocence et a même dit à ses accompagnateurs qu'il avait une réserve d'argent liquide qui pourrait leur revenir s'ils obtenaient sa libération.
L'officier du JAG dans le Hummer sourit.
"Les innocents n'ont pas besoin de soudoyer les gens."
La potence avait été remise en place et le corps de Merchan avait été retiré de la scène lorsque le Hummer s'est arrêté dans la clairière où l'Amiral French, quelques autres officiers et un sénateur Républicain anonyme attendaient.
La potence avait été remise en place et le corps de Merchan avait été retiré de la scène lorsque le Hummer s'est arrêté dans la clairière où l'Amiral French, quelques autres officiers et un sénateur Républicain anonyme attendaient.
Ils sont restés silencieux pendant que l'un des policiers militaires conduisait le prisonnier terrifié jusqu'à la plate-forme, au sommet de laquelle se trouvaient le bourreau et un aumônier de la Marine qui a demandé à Engoron s'il voulait des mots de réconfort.
"À moins que Trump ne soit mort, rien ne me réconfortera", a déclaré Engoron.
"À moins que Trump ne soit mort, rien ne me réconfortera", a déclaré Engoron.
"Où est l’amiral Crandall ? J’aimerais beaucoup lui parler ?"
"À la retraite", a crié l’amiral French sans détour.
"À la retraite", a crié l’amiral French sans détour.
"Et nous ne sommes pas ici pour répondre à vos questions."
L'Amiral ordonna au bourreau d'accomplir sa tâche.
L'Amiral ordonna au bourreau d'accomplir sa tâche.
Après avoir bâillonné et enfermé Engoron et passé le nœud coulant autour de son cou, le bourreau dit à l'amiral French qu'il était prêt à actionner l'interrupteur qui enverrait l'Agent de l'État Profond vers sa perte.
"Exécutez le prisonnier", a déclaré l’Amiral French.
Une fraction de seconde plus tard, le corps sans vie d'Engoron ondulait dans la brise de l'après-midi, et un médecin de la Marine a enregistré l'heure de son décès - 13h14 - avant qu'une paire de paramédicaux ne range le cadavre d'Engoron dans un sac mortuaire.
Par Michael Baxter le 3 janvier 2025 :
https://realrawnews.com/2025/01/deep-state-judge-arthur-engoron-hanged-at-gitmo/
"Exécutez le prisonnier", a déclaré l’Amiral French.
Une fraction de seconde plus tard, le corps sans vie d'Engoron ondulait dans la brise de l'après-midi, et un médecin de la Marine a enregistré l'heure de son décès - 13h14 - avant qu'une paire de paramédicaux ne range le cadavre d'Engoron dans un sac mortuaire.
Par Michael Baxter le 3 janvier 2025 :
https://realrawnews.com/2025/01/deep-state-judge-arthur-engoron-hanged-at-gitmo/