Le Système à tuer les Peuples : Expulsion au nom de l'Hystérie Climatique, les Masaï de Tanzanie forcés de Quitter leurs Terres Ancestrales !
Filibert : Les Tyrans Mondialistes continuent leur travail de contrôle total des populations en voulant les parquer dans des villes 15 minutes dites "intelligentes" où il est possible de suivre toutes les activités de chacun !Le Climat et le CO2 sont utilisés pour justifier cet emprisonnement, empêchant les gens d'accéder à de vastes territoires "protégés" comme aux États-Unis où il est prévu que l'homme ne pourra pas aller dans 70% du territoire !
Une fois que tout le monde sera parqué dans des clapiers à surface minimale, avec la puce implantée, il sera possible d'imposer l'injection la prochaine soupe pangoline diabolique destinée à réduire drastiquement la population, sous peine de ne plus avoir accès à la nourriture !
Nos élites, sous l'emprise des reptiliens, travaillent à la dépopulation, et une fois cette tâche effectuée, les reptiliens se débarrasseront des élites pour prendre la planète pour eux !
Ces jours-ci, une variante particulièrement perverse du colonialisme moderne refait surface.
Ce qui se déroule en Tanzanie, en Afrique de l'Est, laisse sans voix et jette une lumière crue sur les zones d'ombre d'une prétendue noble lutte pour la protection du climat.
Car les certificats de CO2, eux, rapportent beaucoup d'argent.
Le gouvernement tanzanien a commencé à expulser plus de 110.000 membres du peuple Masaï hors de la zone protégée du Ngorongoro.
Le prétexte officiel: la protection de la nature.
La dure réalité : il s'agit de certificats de CO2 rentables et d'un tourisme de safari lucratif.
"Le gouvernement fait tout pour étouffer les communautés locales et tirer davantage de revenus du tourisme et de la chasse aux trophées", déclare Moloimet Olemoko, un berger masaï, au Telegraph britannique.
"Le gouvernement fait tout pour étouffer les communautés locales et tirer davantage de revenus du tourisme et de la chasse aux trophées", déclare Moloimet Olemoko, un berger masaï, au Telegraph britannique.
Ses paroles résonnent comme un cri désespéré contre le cynisme mêlant protection climatique et appât du gain.
Au sud de Ngorongoro, une entreprise nommée Carbon Tanzania vend déjà des certificats de CO2 sur environ 110.000 hectares de terres — précisément là où les Masaï font paître leurs troupeaux depuis des générations.
Au sud de Ngorongoro, une entreprise nommée Carbon Tanzania vend déjà des certificats de CO2 sur environ 110.000 hectares de terres — précisément là où les Masaï font paître leurs troupeaux depuis des générations.
En février, un autre accord de 120.000 dollars a été signé avec Kilombero North Safaris, interdisant aux Masaï l'accès à trois de leurs forêts ancestrales.
L'histoire se répète : dans les années 1950, les Masaï avaient déjà été chassés du Serengeti, à l'époque, sous prétexte de conservation de la nature classique.
Aujourd'hui, ce sont des projets climatiques "modernes" qui servent de justification à leur expulsion.
Ce schéma s'est généralisé : du Kenya à la Thaïlande, du Congo au Cambodge, des peuples autochtones sont expulsés de leurs terres au nom de la lutte contre le changement climatique.
Rob Williams, de l'Université d'Arizona, résume bien la situation : "Ces soi-disant projets de conservation sont principalement dirigés par des intérêts étrangers, avec peu de considération pour les droits des populations locales".
Ce que nous observons ici n'est rien d'autre qu'un colonialisme climatique à l'état pur.
Ce que nous observons ici n'est rien d'autre qu'un colonialisme climatique à l'état pur.
Tandis que l'Occident achète des certificats de CO2 pour apaiser sa conscience écologique, les populations locales sont privées de leurs moyens de subsistance.
Ironie du sort : ce sont précisément ces peuples, qui vivent depuis des siècles en harmonie avec la nature, qui sont aujourd'hui expulsés au nom de la protection de l'environnement.
Leur mode de vie traditionnel, transmis de génération en génération, est présenté comme une menace — tandis que les lodges de safari rentables et les projets de crédits carbone sont qualifiés de "durables".
Les Masaï résistent : des dizaines de milliers d'entre eux ont déjà bloqué les accès à la région de Ngorongoro.
Mais face à l'alliance malsaine entre le gouvernement, les multinationales et les prétendus défenseurs du climat, leur combat est difficile.
Leur sort est un avertissement, un exemple poignant de la façon dont la frénésie climatique peut devenir un outil d'oppression perverti.
Euro-Synbergies mar., 31 déc. 2024
https://fr.sott.net/article/44178-Le-systeme-a-tuer-les-peuples-expulsion-au-nom-de-l-hysterie-climatique-les-Masai-de-Tanzanie-forces-de-quitter-leurs-terres
Euro-Synbergies mar., 31 déc. 2024
https://fr.sott.net/article/44178-Le-systeme-a-tuer-les-peuples-expulsion-au-nom-de-l-hysterie-climatique-les-Masai-de-Tanzanie-forces-de-quitter-leurs-terres