samedi 29 mars 2025

Des Sénateurs Démocrates à Guantanamo !

Des Sénateurs Démocrates Traitres vont à Guantanamo pour Défendre les Membres des Cartels Criminels qui Ensanglantent les Villes Américaines ! 


L'armée de Trump possède des preuves les reliant à des cartels, à des ennemis étrangers et à des crimes contre l'Humanité ! 
Alors que les Américains saignent dans les rues, sont agressés, violés et assassinés par des envahisseurs étrangers, cinq sénateurs américains – Jack Reed, Jeanne Shaheen, Gary Peters, Alex Padilla et Angus King – ont décidé que leur priorité absolue était de défendre les droits des terroristes des cartels, couverts de sang, détenus à Guantanamo Bay. 
Ce ne sont pas des combattants de la liberté. 
Ce ne sont pas des prisonniers politiques. 
Ce sont des tueurs endurcis – des fantassins aguerris du Tren de Aragua, le syndicat de la mort vénézuélien qui a transformé notre frontière sud en zone de guerre paramilitaire. 
Et pourtant, ces Sénateurs Démocrates – aux côtés de leurs camarades radicaux au Congrès – se préoccupent davantage des "droits humains" de ces monstres étrangers que de la vie même des citoyens américains. 
Réfléchissons-y bien. 
Ils n'ont pas rendu visite aux vétérans mourant dans des hôpitaux sous-financés. 
Ils n'ont pas mis les pieds dans des quartiers décimés par le fentanyl et les violences sexuelles. Non. 
Ils ont traversé le monde pour se rendre à Cuba afin de protester contre l'arrestation de terroristes de cartels sanguinaires et de démanteler le dernier bouclier qui séparait le peuple américain de l'effondrement total : Guantanamo.

Ce qui s'est réellement passé le 28 mars 2025 !
Le vendredi 28 mars 2025, ces mêmes cinq sénateurs ont effectué un voyage inattendu et secret à Guantanamo sous le couvert ridicule d'une "surveillance du Congrès". 
Mais il ne s'agissait pas d'un contrôle de routine. 
Il s'agissait d'une mission désespérée : un pèlerinage inopiné à l'épicentre d'une opération militaire mondiale classifiée qui démantèle silencieusement l'État Profond depuis des années. 
Les médias grand public n'en parleront pas. 
Mais la vérité est simple : Guantanamo n'est plus seulement un lieu de détention : c'est le centre de commandement des tribunaux, des interrogatoires clandestins et du traitement des cibles de grande valeur, conformément aux protocoles de continuité du gouvernement, activés dès le retour au pouvoir du président Trump, le 20 janvier 2025. 
Ces sénateurs n’étaient pas là pour inspecter quoi que ce soit.
Ils étaient surveillés. 
Soyons clairs : Guantanamo a été massivement agrandi. 
Le budget militaire de Trump en temps de guerre comprenait des allocations confidentielles pour des chambres souterraines, des unités de détention biométriques améliorées par l'IA, des salles d'audience et des chambres fortes sécurisées conçues pour les prisonniers de haut rang. 
Les lanceurs d'alerte l'ont confirmé. 
Les images satellites l'ont prouvé. 
Et des fuites internes provenant d'initiés des opérations spéciales font état de l'arrestation systématique de traîtres, d'agents étrangers, de trafiquants d'enfants et de collaborateurs mondialistes. 

Le faux régime Biden a tenté de le cacher ! 
Durant l'occupation illégale de la Maison Blanche, le régime Biden a tout tenté pour stopper l'expansion de Guantanamo : coupes budgétaires, annulation de contrats, et même proposition de fermeture complète. 
Mais en coulisses, l'alliance militaire de Trump n'a jamais cessé. 
En utilisant le Manuel du droit de la guerre et le décret exécutif de 2018 réactivé sur l'ingérence étrangère, la véritable structure de commandement a continué à construire Guantanamo comme l'arrêt final pour ceux qui sont coupables de trahison et de guerre biologique contre le peuple américain. 
Alors, posez-vous à nouveau la question : pourquoi cinq sénateurs de haut rang, chacun lié à des années de sabotage, de corruption et d’obstruction, choisiraient-ils de visiter le site militaire le plus redouté de la planète au moment même où les tribunaux militaires sont activés ? 
C'est simple : ils seront les prochains ! 
Le Tren de Aragua n'a pas simplement franchi la frontière. 
Il a été importé – escorté – par des Agents Démocrates du DHS, du DOJ et des gouvernements des États sanctuaires. 
Ce cartel est un escadron de la mort paramilitaire, utilisé non seulement pour semer le chaos dans la rue, mais aussi pour le trafic d'êtres humains, le prélèvement d'organes et les opérations de lutte contre l'argent noir au profit des réseaux mondialistes. 
Et Guantanamo en a déjà la preuve. 
Les services de renseignement militaires ont intercepté des communications cryptées, documenté des transferts financiers et cartographié les réseaux de soutien logistique reliant le Tren de Aragua aux élus américains. 
Les mêmes démocrates qui crient au "droit de l'homme" sont les mêmes qui ont accepté l'argent des cartels, entravé la sécurité des frontières et dissimulé la mort de citoyens américains pour protéger leurs alliances obscures.

Pourquoi pensez-vous que Guantanamo dispose désormais d'une extension souterraine complète ? 
Car il ne s'agit pas seulement de quelques voyous en tenue de combat. 
Il s'agit de réseaux – dynasties politiques, milliardaires de la Big Tech, magnats de l'industrie pharmaceutique et barons des médias – démantelés en temps réel. 
Et lorsque les portes du tribunal s'ouvriront, ces sénateurs ne veulent pas se retrouver de l'autre côté de la vitre. 
Mais ils le sont déjà. 
Chaque nom est enregistré. 
Chaque crime est documenté. 
N'oublions pas : 
• Jack Reed (président des forces armées du Sénat) a eu accès à des données sensibles sur les mouvements de troupes et les a utilisées pour entraver les plans militaires soutenant Trump.
• Jeanne Shaheen est liée à des ONG financées par Soros qui mènent des campagnes d’influence étrangère sur le sol américain.
• Gary Peters a systématiquement bloqué le financement des mesures anti-cartel, alors même que son État se noie dans le fentanyl.
• Alex Padilla a légalisé les couloirs mêmes utilisés par le Tren de Aragua pour infiltrer la Californie.
• Angus King — se présentant comme "indépendant" — est un agent de l’ONU sous contrôle international. 
Ce ne sont pas que des politiciens. Ce sont des traîtres.

Le jugement est en route !
La Maison-Blanche de Trump et le nouveau Ministère de la Santé de RFK Jr. travaillent main dans la main avec l'armée pour exécuter les actes d'accusation scellés liés à des crimes biologiques, à la trahison et aux crimes contre l'humanité. RFK Jr. a déjà confirmé que des preuves classifiées d'armes biologiques datant de l'ancien régime ont été récupérées et sécurisées.  
Les transferts de sites secrets se multiplient. 
Les vols charters à destination de Guantanamo ont triplé. 
Des équipes des Forces Spéciales ont été déployées sous le commandement conjoint des opérations spéciales. 
Les opérations ne sont plus seulement imminentes, elles ont déjà lieu. 
Ces cinq sénateurs ne sont pas allés à Cuba pour une surveillance. 
Ils y sont allés pour gagner du temps. Pour plaider. Pour supplier. 
Parce que le Système de diffusion électronique (SDE) est prêt. 
Et les Dix Jours d'Obscurité – domination des communications militaires et black-out médiatique – commenceront dès le lancement du premier tribunal télévisé. 
Trump l'a très bien résumé : "Ils ne m'en veulent pas. Ils vous en veulent. Je suis juste un obstacle." 
Eh bien, maintenant, il ne nous gêne plus. 
Il est de retour. 
Et la phase de punition a officiellement commencé. 
Alors ne vous y trompez pas.
Il ne s'agit pas de "droits de l'homme".
Il s'agit de hauts fonctionnaires qui tentent d'échapper à la justice.
Mais il est trop tard. 
L'Amérique est réveillée. La vérité éclate. 
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