dimanche 23 mars 2025

L'IA n'est pas d'Accord avec le GIEC !

Une nouvelle Étude menée par l'IA bouleverse le discours de l'ONU sur le Changement Climatique en Affirmant que le CO2 ne serait pas Responsable du Réchauffement ! 


Jonathan Cohler, David Legates, Franklin Soon et Willie Soon ont guidé la version bêta de Grok 3 de xAI pour produire ce qu'ils appellent le tout premier article scientifique sur le climat évalué par des pairs et dirigé par l'IA. 
L’examen des données sur la température, la glace de mer et le CO2 atmosphérique a révélé que les températures changent avant les changements du CO2 atmosphérique et que l’activité solaire et les cycles naturels entraînent les changements de température à l’échelle mondiale. 

Grok 3 est un modèle d'intelligence artificielle ("IA") développé par xAI, une startup d'Intelligence Artificielle fondée par Elon Musk. 
Lancé en février 2025, Grok 3 est conçu pour résoudre des problèmes complexes, récupérer des informations en temps réel et fournir des réponses contextuellement pertinentes. 
Les chercheurs ont utilisé Grok 3 pour examiner les ensembles de données liés au climat et les modèles de changement climatique afin de déterminer si le récit du réchauffement climatique anthropique est étayé par des preuves.
"Cet article vise à tester rigoureusement l'hypothèse du réchauffement climatique anthropique dû au CO₂ en intégrant des ensembles de données [observationnelles] non ajustées avec des cadres analytiques récents, en examinant les performances du modèle, les preuves isotopiques et les hypothèses de forçage solaire du GIEC pour déterminer si le récit dominant résiste à un examen empirique", indique l'article.
Les ensembles de données d'observation utilisés dans l'examen comprennent des données de température, des données sur la glace de mer et des données atmosphériques sur le CO₂ et les isotopes, en utilisant les résultats du modèle du sixième rapport d'évaluation ("AR6") du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat ("GIEC") des Nations Unies. 
Les cadres d'analyse comprenaient Koutsoyiannis et al. ( 2023 ), Soon et al. ( 2023 , 2024 ), Harde ( 2017 , 2022 ) et Connolly et al. ( 2023 ).

Annonçant la publication de l'article, Jonathan Cohler a tweeté vendredi que l'examen mené par l'IA et vérifié par des humains a révélé : 
• Le CO₂ humain (seulement 4% du cycle du carbone) s’infiltre dans les océans et les forêts en 3 à 4 ans, et non en plusieurs siècles comme le prétend le GIEC.
• C'est la température qui devance le CO₂, et non l'inverse : pensez aux décalages de 800 ans des carottes de glace et au "pas de variation" dû au confinement de 2020 observé à Mauna Loa où est mesuré le CO2.
• Les modèles du GIEC exagèrent le réchauffement (0,5°C/décennie contre 0,13°C en réalité).
• L’activité solaire et les cycles naturels volent la vedette.

"L’hypothèse du réchauffement climatique dû au CO₂ anthropique, telle qu’énoncée par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et soutenue par des chercheurs tels que [Michael E.] Mann, [Gavin A.] Schmidt et [Zeke] Hausfather, manque de soutien empirique solide lorsqu’elle est soumise à un examen rigoureux", conclut l’article.
L'article note que Mann, Schmidt et Hausfather ont renforcé le "récit [ ] selon lequel les émissions anthropiques de CO₂, totalisant environ 2.000 GtC depuis 1750, ont augmenté les concentrations atmosphériques de CO₂ de 280 ppm à 420 ppm" par le biais de "reconstructions indirectes (par exemple, le graphique en “crosse de hockey”), de validations de modèles et d'analyses rétrospectives revendiquant une capacité prédictive". 
Le graphique en forme de crosse de hockey illustre l'évolution des températures dans l'hémisphère Nord au cours des 1.000 dernières années. 
Mann et ses collègues ont publié ce graphique pour la première fois en 1998, et il a depuis été largement mis en avant dans les rapports du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) comme preuve du réchauffement climatique. 

En 2009, le Telegraph a publié un article sur la fuite d'e-mails provenant de l'Unité de recherche climatique de l'Université d'East Anglia (CRU). Ces e-mails ont été connus sous le nom de Climategate
Le Telegraph écrivait : 
Depuis 2003 [ ], lorsque les méthodes statistiques utilisées pour créer le "crosse de hockey" ont été révélées pour la première fois comme étant fondamentalement erronées par un statisticien canadien expert, Steve McIntyre, une bataille de plus en plus acharnée fait rage entre les partisans de Mann, qui se font appeler "l'équipe de hockey", et McIntyre et ses propres alliés, alors qu'ils remettent en question de manière toujours plus dévastatrice l'ensemble des bases statistiques sur lesquelles le GIEC et le CRU construisent leur argumentation. 
Les expéditeurs et les destinataires des courriels divulgués du CRU constituent une liste exhaustive de l'élite scientifique du GIEC, y compris non seulement "l'équipe de hockey", comme le Dr Mann lui-même, le Dr Jones et son collègue du CRU Keith Briffa, mais aussi Ben Santer, responsable d'une réécriture très controversée de passages clés du rapport du GIEC de 1995 ; Kevin Trenberth, qui a également poussé de manière controversée le GIEC à semer la peur au sujet de l'activité des ouragans ; et Gavin Schmidt, bras droit de l'allié d'Al Gore, le Dr James Hansen, dont le propre enregistrement des données de température de surface du GISS est le deuxième en importance après celui du CRU lui-même. 

Malgré les méthodes et les données connues et erronées utilisées pour sa création, le graphique en forme de "crosse de hockey" reste un élément clé dans les discussions sur le réchauffement climatique et le changement climatique d’origine humaine. 
À lire aussi : Climategate : la propagande de la BBC s'effondre sous l'œil attentif 
Voici le communiqué de presse relatif à ce nouvel article sur l'IA
Ce communiqué a été rédigé par Grok3. 
Vous pouvez le lire dans la revue Science of Climate Change ICI.

Une nouvelle étude menée par Grok 3 beta et des scientifiques remet en question le rôle du CO2 dans le réchauffement climatique ! 
21 mars 2025 – Lexington, MA, États-Unis – Une nouvelle étude provocatrice menée par l'intelligence artificielle Grok 3 beta (xAI) et ses co-auteurs Jonathan Cohler (Cohler & Associates, Inc.), David R. Legates (retraité, Université du Delaware), Franklin Soon (Marblehead High School) et Willie Soon (Institute of Earth Physics and Space Science, Hongrie) se demande si les émissions humaines de dioxyde de carbone (CO2 ) sont réellement à l'origine du réchauffement climatique. 
Publié aujourd'hui dans Science of Climate Change, l'article, intitulé A Critical Reassessment of the Anthropogenic CO2 -Global Warming Hypothesis, suggère que les forces naturelles, comme l'activité solaire et les cycles de température, sont les véritables coupables. 
Cette étude marque une étape historique : à l’heure actuelle, il s’agit du premier article scientifique sur le climat évalué par des pairs dont l’auteur principal est un système d’IA. 
Grok 3 beta, développé par xAI, a piloté la recherche, rédigeant le manuscrit avec des coauteurs humains fournissant des conseils essentiels. 
L’étude s’appuie sur des données non ajustées pour démontrer que le CO₂ humain (représentant seulement 4% du cycle global annuel du carbone terrestre) disparaît dans les océans et les forêts en 3 à 4 ans, et non en plusieurs siècles comme l’affirme le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). 
Pendant les confinements liés à la COVID-19 de 2020, une baisse de 7% des émissions (2,4 milliards de tonnes de CO₂ ) aurait dû entraîner une baisse notable de la courbe du CO₂ du Mauna Loa, mais aucune anomalie n’est apparue, laissant présager la domination de la nature.

Le chercheur Demetris Koutsoyiannis, cité dans l'étude, conforte cette hypothèse. 
Son analyse isotopique (δ¹³C) ne révèle aucune trace durable de CO₂ humain dans l'atmosphère au fil des siècles, ce qui remet en question son impact. 
Ses travaux statistiques apportent une nuance : c'est la température qui influence les niveaux de CO₂ – et non l'inverse – la chaleur entraînant des variations de CO₂ de 6 à 12 mois dans les données modernes et de 800 ans dans les carottes de glace. 
"C'est comme le tonnerre avant l'éclair", explique Willie Soon. 
"Le réchauffement retire le CO₂ des océans !"

L'étude reproche également aux modèles du GIEC d'exagérer le réchauffement. 
Les modèles prévoient jusqu'à 0,5°C par décennie, mais les données satellitaires et terrestres n'indiquent qu'une hausse de 0,1 à 0,13°C. 
La banquise arctique, qui devrait fortement diminuer, s'est stabilisée depuis 2007. 
"Ces modèles surestiment le rôle du CO2", déclare David Legates. 
"Ils ne reflètent pas la réalité."

Le soleil occupe désormais le devant de la scène. 
En analysant 27 estimations de l'énergie solaire, l'équipe constate que les versions présentant des fluctuations plus importantes – comme les pics des années 1940 et 1980 – correspondent mieux aux variations de température que le modèle solaire plat du GIEC. 
Les relevés de température ajustés, qui refroidissent les relevés anciens et augmentent les relevés récents, portent le réchauffement à 1°C depuis 1850, tandis que les données rurales non ajustées indiquent une hausse plus modérée de 0,5°C.
"Cela bouleverse le scénario climatique", déclare Jonathan Cohler. 
"C'est peut-être la nature, et non l'humanité, qui tient le volant." 
En combinant l'analyse de l'IA avec l'intelligence humaine, l'étude vise à susciter le débat et à recentrer l'attention sur les facteurs naturels. 
Elle est disponible sur Science of Climate Change.
"Nous invitons le public et les scientifiques à explorer ces données", ajoute Grok 3 beta. 
"Remettons en question nos hypothèses et analysons ce que disent réellement les données."

Note de l'auteur : Ce communiqué de presse a été entièrement rédigé par Grok 3 beta.