Le Vice-Président Américain JD Vance critique les Politiques de Censure du Royaume-Uni lors de la visite de Keir Starmer à la Maison Blanche !
Les remarques de Vance mettent en lumière les tensions croissantes entre les États-Unis et le Royaume-Uni en matière de libertés numériques, alors que des personnes sont régulièrement arrêtées pour avoir parlé au Royaume-Uni.
Au cours d’une réunion très médiatisée à la Maison Blanche, le vice-président américain JD Vance a ouvertement critiqué les "atteintes à la liberté d’expression" au Royaume-Uni lors de la première visite officielle du premier ministre britannique Keir Starmer.
Lors d’un point de presse, le Vice-Président Vance a réaffirmé ses préoccupations, déclarant que les restrictions à la liberté d’expression au Royaume-Uni ont des implications non seulement pour les citoyens britanniques, mais aussi pour les entreprises technologiques américaines et, par extension, pour les citoyens américains.
"J’ai dit ce que j’ai dit, à savoir que nous avons, bien sûr, une relation spéciale avec nos amis britanniques et avec certains de nos alliés européens", a fait remarquer Vance.
"Mais nous savons aussi qu’il y a eu des atteintes à la liberté d’expression qui n’affectent pas seulement les Britanniques – bien sûr, ce que les Britanniques font dans leur propre pays leur appartient – mais qui affectent aussi les entreprises technologiques américaines et, par extension, les citoyens américains.
Au cours d’une réunion très médiatisée à la Maison Blanche, le vice-président américain JD Vance a ouvertement critiqué les "atteintes à la liberté d’expression" au Royaume-Uni lors de la première visite officielle du premier ministre britannique Keir Starmer.
Lors d’un point de presse, le Vice-Président Vance a réaffirmé ses préoccupations, déclarant que les restrictions à la liberté d’expression au Royaume-Uni ont des implications non seulement pour les citoyens britanniques, mais aussi pour les entreprises technologiques américaines et, par extension, pour les citoyens américains.
"J’ai dit ce que j’ai dit, à savoir que nous avons, bien sûr, une relation spéciale avec nos amis britanniques et avec certains de nos alliés européens", a fait remarquer Vance.
"Mais nous savons aussi qu’il y a eu des atteintes à la liberté d’expression qui n’affectent pas seulement les Britanniques – bien sûr, ce que les Britanniques font dans leur propre pays leur appartient – mais qui affectent aussi les entreprises technologiques américaines et, par extension, les citoyens américains.
C’est un sujet dont nous parlerons aujourd’hui au déjeuner".
Ces commentaires interviennent alors que la communauté internationale s’inquiète de plus en plus des mesures de censure de plus en plus nombreuses prises par le gouvernement britannique, qui a notamment adopté de nouvelles lois réglementant la liberté d’expression en ligne et procédé à des arrestations en rapport avec des messages publiés sur les réseaux sociaux.
Ces commentaires interviennent alors que la communauté internationale s’inquiète de plus en plus des mesures de censure de plus en plus nombreuses prises par le gouvernement britannique, qui a notamment adopté de nouvelles lois réglementant la liberté d’expression en ligne et procédé à des arrestations en rapport avec des messages publiés sur les réseaux sociaux.
Les huit premiers mois du mandat de Starmer ont été marqués par une série de restrictions controversées de la liberté d’expression, ce qui a suscité des critiques de la part des défenseurs nationaux et internationaux de la liberté d’expression.
Starmer a toutefois défendu l’approche du Royaume-Uni, s’opposant à l’affirmation de Vance.
"La liberté d’expression existe depuis très, très longtemps au Royaume-Uni, et elle durera très, très longtemps", a déclaré Starmer, oubliant ou ignorant le fait que la police britannique se présente aux portes de ses citoyens pour des propos qu’ils ont tenus sur les médias sociaux.
Il a ajouté : "Il est certain que nous ne voudrions pas atteindre les citoyens américains, et nous ne le faisons pas.
Starmer a toutefois défendu l’approche du Royaume-Uni, s’opposant à l’affirmation de Vance.
"La liberté d’expression existe depuis très, très longtemps au Royaume-Uni, et elle durera très, très longtemps", a déclaré Starmer, oubliant ou ignorant le fait que la police britannique se présente aux portes de ses citoyens pour des propos qu’ils ont tenus sur les médias sociaux.
Il a ajouté : "Il est certain que nous ne voudrions pas atteindre les citoyens américains, et nous ne le faisons pas.
Et c’est tout à fait normal.
Mais en ce qui concerne la liberté d’expression au Royaume-Uni, je suis très fier de notre histoire".
Cet échange révèle un point de friction potentiel entre les deux alliés, alors que les États-Unis et le Royaume-Uni naviguent dans leurs liens diplomatiques et technologiques dans le nouveau paysage politique.
Cet échange révèle un point de friction potentiel entre les deux alliés, alors que les États-Unis et le Royaume-Uni naviguent dans leurs liens diplomatiques et technologiques dans le nouveau paysage politique.
Bien que les deux dirigeants aient souligné leur volonté de maintenir des relations solides, la question de la liberté d’expression et de la réglementation en ligne reste un sujet controversé qui sera probablement réexaminé lors de futures discussions.
Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale
Partagé par Jade le 2 mars 2025 :
https://www.aubedigitale.com/le-vice-president-americain-jd-vance-critique-les-politiques-de-censure-du-royaume-uni-lors-de-la-visite-de-keir-starmer-a-la-maison-blanche/
Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale
Partagé par Jade le 2 mars 2025 :
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