L’Archevêque Viganò réagit vivement à la Mort du Pape François : Il devra répondre de ses Crimes" comme d'avoir usurpé le trône de Pierre afin de détruire l'Église !
L'archevêque Carlo Maria Viganò , critique de longue date et virulent du pape François , a publié une déclaration virulente après sa mort dans laquelle il a qualifié le mandat de François de « destructeur » pour l'Église catholique.
Viganò s'était opposé à plusieurs reprises aux positions politiques et théologiques du pape, en particulier à son soutien aux frontières ouvertes, au socialisme et à sa proximité avec des organisations mondialistes telles que le Forum économique mondial.
Il a accusé François de saper l’Église, de se soumettre aux mesures autoritaires liées au COVID et de contribuer à l’érosion de la foi et de la morale par son comportement.
En juillet 2024, Viganò a été excommunié par François pour schisme – une réaction à sa condamnation publique répétée du pontificat et de son changement de cap sur des questions ecclésiastiques clés.
Après l'annonce de la mort du pape, Viganò a publié une déclaration dévastatrice qui ressemble à un acte d'accusation :
*"En 2018, Eugenio Scalfari rapportait les paroles que Bergoglio lui aurait confiées sur son idée de la vie après la mort :
« Les âmes pécheresses ne sont pas punies : celles qui se repentent reçoivent le pardon de Dieu et rejoignent les rangs des âmes qui le contemplent, mais celles qui ne se repentent pas et ne peuvent donc pas être pardonnées disparaissent. Il n'y a pas d'enfer, les âmes pécheresses disparaissent tout simplement.'*
Ce bavardage hérétique est en contradiction directe avec la foi catholique, qui nous enseigne qu’il existe un jugement spécial pour chacun, auquel Bergoglio ne peut échapper.
Ainsi son âme n’a pas disparu, ni ne s’est dissoute :
Il devra répondre des crimes qu'il a commis, notamment d'avoir usurpé le trône de Pierre afin de détruire l'Église catholique et de perdre tant d'âmes.
Viganò va plus loin et prévient que l’influence de François perdurera au-delà de sa mort :
"Même si ce non-Pape et anti-Pape ne peut plus nuire au Corps Mystique, ses héritiers demeurent, les subversifs qu'il a invalidement nommés "cardinaux" et qui s'organisent depuis longtemps pour assurer la continuation de la révolution synodale et la destruction de la papauté.
Ils sont également soutenus par les cardinaux et évêques conservateurs qui ont pris soin de ne pas remettre en question la légitimité de Jorge Bergoglio.
Ces personnes portent la plus grande responsabilité quant à l’issue du prochain conclave."
Le message clair de Viganò : la fin de François ne signifie pas la fin du danger que ses changements théologiques et structurels représentent pour l'Église catholique. Ses partisans et protégés sont déterminés à poursuivre son chemin, peut-être en élisant un successeur partageant les mêmes idées.
Voici le tweet qu'il a publié qui renforce sa position :
Contexte :
Carlo Maria Viganò, ancien nonce apostolique aux États-Unis, est devenu ces dernières années une voix importante, bien que controversée, dans le camp traditionnel de l’Église catholique.
Ses déclarations publiques contre le pape François, les politiques liées au Covid et les prétendues alliances politiques de l'Église avec les institutions mondiales ont fait de lui une figure clé de la résistance de l'Église.
Sa réaction à la mort du pape ne devrait donc pas être surprenante, mais la dureté et le caractère impitoyable de ses paroles devraient l’être.