vendredi 8 août 2025

La Fable de la Disparition des Coraux s'Évapore !

Encore un pilier du Dogme du Réchauffement Climatique qui s'écroule face aux Observations dans l'Océan de la Grande Barrière de Corail d'Australie ! 


Les coraux de la Grande Barrière de corail atteignent leur cinquième niveau le plus élevé depuis le début des relevés, mais les médias grand public continuent de diffuser le récit du "point de basculement". 

Par Chris Morrison
La population corallienne reste élevée malgré le blanchissement ! 
Malgré des signes de rétablissement ces derniers mois, les coraux de la Grande Barrière de Corail (GBR) sont loin d'avoir atteint leur quatrième record annuel. 
Malheureusement, la couverture corallienne n'atteint aujourd'hui que son cinquième niveau le plus élevé depuis le début de la surveillance continue il y a près de 40 ans. 
Un blanchissement important en 2024, probablement causé par des pics de température de l'eau dus à une forte oscillation océanique El Niño, a entraîné un déclin sur l'ensemble du récif, en particulier dans les eaux plus froides du sud. 
Cependant, la couverture corallienne reste supérieure à la moyenne à long terme – la couverture dans la région centrale est de 28,6% contre une moyenne à long terme de 19,8% – selon la dernière étude 2024-2025 de l'Institut australien des sciences marines (AIMS). 
Avec le retour des températures de l'eau à leurs niveaux antérieurs, le rétablissement semble bien engagé. 
Les études récif par récif de l'AIMS, achevées en mars 2025, montrent que le blanchissement est "élevé" sur un récif, "moyen" sur sept récifs et "faible" sur 38 récifs. 
À la fin du mois de mai, ces valeurs étaient respectivement tombées à 0,0 et 30.

Rapport actuel : Aucun nouveau blanchissement détecté ! 
Dans son dernier rapport sur la santé de la Grande Barrière de corail, l'Autorité des récifs a constaté une légère hausse des températures de l'eau autour du récif en juillet, mais trop basse pour causer un stress temporaire aux coraux. 
Elle a indiqué qu'entre le 1er juin et le 20 juillet de cette année, 338 études de santé individuelles ont été menées sur 44 récifs dans les régions nord, centre et sud du parc marin. 
« Aucun blanchissement corallien n'a été observé durant cette période », indique le rapport.

L'ignorance des médias quant aux évolutions positives ! 
Inutile de préciser que la joie des militants qui écrivaient l'article pour la BBC et le Guardian était sans bornes. 
En général, ils ne rapportent pas de bonnes nouvelles sur la Grande Brèche, car cela pourrait contrevenir aux directives de "faux bilan" qui soutiennent le fantasme de la neutralité carbone. 
Les dernières années de croissance record ont sans aucun doute été une grande déception, voire une catastrophe, car dans des services climatiques pléthoriques comme celui de la BBC, cela aurait facilement pu faire craindre des licenciements. 
Cette année est un véritable boom, et déjà à la mi-saison, la BBC a signalé que l'habitat pourrait avoir atteint un « point de bascule ». 
Cette absurdité a également été relevée par le Guardian, qui a ajouté que les scientifiques observent des zones qu'ils appellent des « cimetières de coraux ». 
Le journal affirme que le blanchissement généralisé a été observé pour la première fois en 1998 (par qui ?) et s'est répété en 2002, 2016, 2017, 2020, 2022, 2024 et 2025. 
Selon les chiffres réels du graphique ci-dessous, les quatre derniers événements se sont produits pendant une période de croissance corallienne quasi stupéfiante, ponctuée par le déclin de 2025. 


Peter Ridd contredit le récit de la catastrophe climatique ! 
Le Dr Peter Ridd, l'une des principales autorités scientifiques de la Grande Barrière de corail, a écrit dans l'Australian que la couverture corallienne normalisée était passée d'un niveau record à 0,29, mais que ce chiffre représentait encore le double de celui de 2012. 
"Le nombre brut de couverture corallienne a été plus élevé ces cinq dernières années que jamais depuis le début des relevés en 1985", a-t-il souligné. 
Compte tenu de la marge d'incertitude, les chiffres actuels ne diffèrent pas significativement de ceux de nombreuses années précédentes. 
Le récif se porte toujours bien, a-t-il poursuivi, malgré six épisodes de blanchissement corallien catastrophiques signalés au cours de la dernière décennie. 
"Si ces informations étaient vraies, il ne devrait plus rester de corail du tout", a-t-il ajouté.

Les coraux se rétablissent depuis des millions d'années ! 
La régénération des coraux au cours des quatre dernières années est étonnante, notamment parce qu'elle témoigne de forces entièrement naturelles à l'œuvre. 
Pendant des centaines de millions d'années, les coraux tropicaux ont poussé dans des eaux dont la température se situait entre 24°C et 32°C. 
À des températures plus élevées, leur croissance semble plus rapide. 
Ils blanchissent en réponse à des pics de température soudains, mais un nombre croissant de recherches suggèrent qu'ils se rétablissent très rapidement de ce stress temporaire. 
Au cours des 20 dernières années, les militants ont étroitement lié les épisodes de blanchissement à l'influence humaine, malgré l'absence de preuves scientifiques étayant les affirmations selon lesquelles l'homme serait à l'origine de pics de température temporaires dans de petites zones océaniques. 
Néanmoins, l'AIMS note que "le régime de perturbations prévu dans le cadre du changement climatique se caractérise par des vagues de chaleur marines de plus en plus fréquentes, intenses et prolongées". 
La solution, bien sûr, réside dans notre vieil ami politique, le Net Zero : "Pour que les récifs coralliens survivent à ces conditions, une combinaison de réductions mondiales des gaz à effet de serre pour stabiliser les températures est nécessaire." 
Excellente politique, honte à la science opiniâtre. 
Mais c'est l'AIMS qui commence son rapport en affirmant que les peuples autochtones qui chassaient et se rassemblaient autour du récif étaient "les premiers scientifiques d'Australie".

https://uncutnews.ch/korallen-am-great-barrier-reef-auf-dem-fuenfthoechsten-stand-seit-beginn-der-aufzeichnungen-aber-die-mainstream-medien-spinnen-immer-noch-das-narrativ-vom-wendepunkt/