L’Armée Américaine met fin à ses Programmes de Lutte contre le Changement Climatique après une Décennie d’Investissements Coûteux et de Résultats Minimes !

L’Armée Américaine met fin à une décennie d’initiatives en matière de changement climatique et se concentre désormais sur la préparation à la Guerre !
Le secrétaire à la Défense Pete Hegseth a annoncé un retour aux priorités militaires fondamentales, déclarant que le DoD se concentrera désormais sur "l’entraînement et la guerre".
Les initiatives de la Grande flotte verte de la marine et du carburant d’aviation durable (SAF) de l’armée de l’air se sont révélées coûteuses et inefficaces.
La marine a dépensé 57 milliards de dollars en biocarburants, mais 99% de sa flotte fonctionne toujours au pétrole, tandis que le carburant d’aviation durable reste coûteux et n’offre aucun avantage en termes de réduction des émissions de CO2 dans la pratique.
Le plan de l’armée de terre visant à électrifier les véhicules tactiques d’ici 2027 n’est pas adapté aux conditions du champ de bataille, et la dépendance de l’armée de l’air à l’égard du carburant d’aviation durable est entravée par des coûts élevés et des limites techniques.
Les avions électriques restent irréalisables en raison des lacunes de la densité énergétique des batteries.
L’Académie de la Garde côtière a retiré le "changement climatique" de son programme, signalant une évolution vers des mesures de résilience pratiques (par exemple, des barrières anti-inondation) plutôt que des politiques axées sur le climat sans avantage militaire mesurable.
La nouvelle politique donne la priorité aux capacités opérationnelles plutôt qu’à l’idéologie climatique, en réorientant les fonds vers les besoins de la guerre.
Alors que les débats environnementaux se poursuivent, l’armée met désormais l’accent sur des priorités de défense tangibles plutôt que sur des initiatives écologiques non éprouvées.
Après une décennie de dépenses importantes et de résultats minimes, l‘armée américaine met officiellement fin à ses initiatives en matière de changement climatique.
Ce changement intervient alors que le secrétaire à la Défense Pete Hegseth a déclaré : "Le ministère de la Défense ne s’occupe pas de conneries sur le changement climatique. Nous nous occupons de l’entraînement et de la guerre."
Cette décision marque un revirement politique important, en réorientant les fonds de ce que les critiques appellent des programmes inutiles vers l’amélioration de la préparation militaire et des capacités opérationnelles.
Une décennie de dépenses inutiles ?
Depuis plus de dix ans, l’armée américaine a mené divers programmes liés au changement climatique, notamment la Great Green Fleet de la marine et le recours de l’armée de l’air au carburant d’aviation durable (Sustainable Aviation Fuel, SAF).
Ces initiatives visaient à réduire les émissions de dioxyde de carbone (CO2) et à passer aux sources d’énergie renouvelables. Cependant, les résultats ont été décevants, avec des milliards de dollars dépensés et peu de résultats en termes d’avantages environnementaux tangibles.
La Great Green Fleet de la marine américaine, lancée en 2011 sous la direction du secrétaire Ray Mabus, visait à alimenter les navires en biocarburants.
Le secrétaire à la Défense Pete Hegseth a annoncé un retour aux priorités militaires fondamentales, déclarant que le DoD se concentrera désormais sur "l’entraînement et la guerre".
Les initiatives de la Grande flotte verte de la marine et du carburant d’aviation durable (SAF) de l’armée de l’air se sont révélées coûteuses et inefficaces.
La marine a dépensé 57 milliards de dollars en biocarburants, mais 99% de sa flotte fonctionne toujours au pétrole, tandis que le carburant d’aviation durable reste coûteux et n’offre aucun avantage en termes de réduction des émissions de CO2 dans la pratique.
Le plan de l’armée de terre visant à électrifier les véhicules tactiques d’ici 2027 n’est pas adapté aux conditions du champ de bataille, et la dépendance de l’armée de l’air à l’égard du carburant d’aviation durable est entravée par des coûts élevés et des limites techniques.
Les avions électriques restent irréalisables en raison des lacunes de la densité énergétique des batteries.
L’Académie de la Garde côtière a retiré le "changement climatique" de son programme, signalant une évolution vers des mesures de résilience pratiques (par exemple, des barrières anti-inondation) plutôt que des politiques axées sur le climat sans avantage militaire mesurable.
La nouvelle politique donne la priorité aux capacités opérationnelles plutôt qu’à l’idéologie climatique, en réorientant les fonds vers les besoins de la guerre.
Alors que les débats environnementaux se poursuivent, l’armée met désormais l’accent sur des priorités de défense tangibles plutôt que sur des initiatives écologiques non éprouvées.
Après une décennie de dépenses importantes et de résultats minimes, l‘armée américaine met officiellement fin à ses initiatives en matière de changement climatique.
Ce changement intervient alors que le secrétaire à la Défense Pete Hegseth a déclaré : "Le ministère de la Défense ne s’occupe pas de conneries sur le changement climatique. Nous nous occupons de l’entraînement et de la guerre."
Cette décision marque un revirement politique important, en réorientant les fonds de ce que les critiques appellent des programmes inutiles vers l’amélioration de la préparation militaire et des capacités opérationnelles.
Une décennie de dépenses inutiles ?
Depuis plus de dix ans, l’armée américaine a mené divers programmes liés au changement climatique, notamment la Great Green Fleet de la marine et le recours de l’armée de l’air au carburant d’aviation durable (Sustainable Aviation Fuel, SAF).
Ces initiatives visaient à réduire les émissions de dioxyde de carbone (CO2) et à passer aux sources d’énergie renouvelables. Cependant, les résultats ont été décevants, avec des milliards de dollars dépensés et peu de résultats en termes d’avantages environnementaux tangibles.
La Great Green Fleet de la marine américaine, lancée en 2011 sous la direction du secrétaire Ray Mabus, visait à alimenter les navires en biocarburants.
En 2016, la marine a déployé un groupe aéronaval utilisant un mélange de carburant composé à 90% de diesel et à 10% de biocarburants.
Le coût du biocarburant s’élevait à environ 14 dollars par gallon, soit sept fois le coût du diesel.
Le programme a également rencontré des difficultés logistiques, car les biocarburants n’étaient pas largement disponibles dans les ports d’outre-mer, ce qui a nécessité l’utilisation continue du diesel traditionnel.
En 2017, la marine avait dépensé 57 milliards de dollars pour des programmes de carburants verts, mais 99% de sa flotte dépendait toujours du pétrole.
L’armée de l’air et la SAF : coûteux et inefficace !
L’armée de l’air, qui représente 56% des émissions du ministère de la Défense (DoD), s’est concentrée sur la réduction des émissions des avions. Cependant, les défis sont importants.
Les avions en mission longue produisent du CO2 équivalent à leur poids, et la densité énergétique des moteurs à carburant est 20 fois supérieure à celle des batteries, ce qui rend les avions électriques peu pratiques.
Les plans climatiques de l’armée de l’air reposaient fortement sur le SAF, qui est fabriqué à partir de biomasse ou de déchets et dont on prétend qu’il émet moins de CO2.
Cependant, le SAF est coûteux, peu disponible et pourrait ne pas réduire les émissions de CO2 aussi efficacement qu’annoncé.
Le coût du biocarburant s’élevait à environ 14 dollars par gallon, soit sept fois le coût du diesel.
Le programme a également rencontré des difficultés logistiques, car les biocarburants n’étaient pas largement disponibles dans les ports d’outre-mer, ce qui a nécessité l’utilisation continue du diesel traditionnel.
En 2017, la marine avait dépensé 57 milliards de dollars pour des programmes de carburants verts, mais 99% de sa flotte dépendait toujours du pétrole.
L’armée de l’air et la SAF : coûteux et inefficace !
L’armée de l’air, qui représente 56% des émissions du ministère de la Défense (DoD), s’est concentrée sur la réduction des émissions des avions. Cependant, les défis sont importants.
Les avions en mission longue produisent du CO2 équivalent à leur poids, et la densité énergétique des moteurs à carburant est 20 fois supérieure à celle des batteries, ce qui rend les avions électriques peu pratiques.
Les plans climatiques de l’armée de l’air reposaient fortement sur le SAF, qui est fabriqué à partir de biomasse ou de déchets et dont on prétend qu’il émet moins de CO2.
Cependant, le SAF est coûteux, peu disponible et pourrait ne pas réduire les émissions de CO2 aussi efficacement qu’annoncé.
Lorsqu’il est brûlé, le SAF émet la même quantité de CO2 que le carburant conventionnel pour avions à réaction, soit 3,16 tonnes de CO2 par tonne de carburant.
L’utilisation de SAF n’apporte aucune valeur militaire, ce qui a conduit le secrétaire Hegseth à fermer probablement tous les programmes de SAF.
Stratégie climatique de l’armée : irréalisable et coûteuse !
La stratégie climatique de l’armée, annoncée en février 2022, prévoit la transition de son parc de véhicules non tactiques vers des véhicules électriques (VE) d’ici l’exercice 2027, avec une dépense annuelle d’environ 2 milliards de dollars.
Le plan proposait également d’électrifier les véhicules tactiques légers, moyens et lourds d’ici 2027, ainsi que de développer des "chargeurs de champ de bataille".
L’utilisation de SAF n’apporte aucune valeur militaire, ce qui a conduit le secrétaire Hegseth à fermer probablement tous les programmes de SAF.
Stratégie climatique de l’armée : irréalisable et coûteuse !
La stratégie climatique de l’armée, annoncée en février 2022, prévoit la transition de son parc de véhicules non tactiques vers des véhicules électriques (VE) d’ici l’exercice 2027, avec une dépense annuelle d’environ 2 milliards de dollars.
Le plan proposait également d’électrifier les véhicules tactiques légers, moyens et lourds d’ici 2027, ainsi que de développer des "chargeurs de champ de bataille".
Cependant, il n’est pas pratique de recharger des chars électriques sur le champ de bataille et cela n’offre aucun avantage militaire.
La Garde côtière et les mesures d’adaptation !
L’Académie de la Garde côtière a récemment retiré le "changement climatique" de son programme d’études, reflétant un abandon plus large des politiques axées sur le climat.
Si les mesures d’adaptation telles que la construction de digues et d’ouvrages de protection contre les inondations sont judicieuses pour renforcer la résilience aux événements météorologiques, elles ne sont pas liées à une atténuation mesurable du changement climatique.
Ces efforts sont pragmatiques mais ne s’inscrivent pas dans le programme plus large, souvent idéologique, de lutte contre le changement climatique.
Une nouvelle ère de réalisme militaire !
Les politiques militaires climatiques de l’administration Biden, même si elles étaient pleinement mises en œuvre, n’auraient pas eu d’effet mesurable sur les températures mondiales.
Au lieu de cela, elles auraient continué à gaspiller des centaines de milliards de dollars de l’argent des contribuables.
La Garde côtière et les mesures d’adaptation !
L’Académie de la Garde côtière a récemment retiré le "changement climatique" de son programme d’études, reflétant un abandon plus large des politiques axées sur le climat.
Si les mesures d’adaptation telles que la construction de digues et d’ouvrages de protection contre les inondations sont judicieuses pour renforcer la résilience aux événements météorologiques, elles ne sont pas liées à une atténuation mesurable du changement climatique.
Ces efforts sont pragmatiques mais ne s’inscrivent pas dans le programme plus large, souvent idéologique, de lutte contre le changement climatique.
Une nouvelle ère de réalisme militaire !
Les politiques militaires climatiques de l’administration Biden, même si elles étaient pleinement mises en œuvre, n’auraient pas eu d’effet mesurable sur les températures mondiales.
Au lieu de cela, elles auraient continué à gaspiller des centaines de milliards de dollars de l’argent des contribuables.
La décision de la secrétaire Hegseth de réaffecter ces fonds au renforcement de l’armée américaine marque une nouvelle ère de politique réaliste.
L’ère de l’expérimentation écologique dans l’armée touche à sa fin, mais le débat sur les priorités en matière de défense est loin d’être clos.
Alors que l’armée américaine se recentre sur les besoins opérationnels immédiats et la préparation au combat, la question demeure : quel sera l’impact de ce changement sur le débat plus large sur le changement climatique et la sécurité nationale ?
Pour l’instant, l’armée privilégie les résultats pratiques et mesurables plutôt que les objectifs idéologiques.
~ Willow Tohi
Source
https://www.etresouverain.com/12/04/2025/larmee-americaine-met-fin-a-une-decennie-dinitiatives-en-matiere-de-changement-climatique-et-se-concentre-desormais-sur-la-preparation/
L’ère de l’expérimentation écologique dans l’armée touche à sa fin, mais le débat sur les priorités en matière de défense est loin d’être clos.
Alors que l’armée américaine se recentre sur les besoins opérationnels immédiats et la préparation au combat, la question demeure : quel sera l’impact de ce changement sur le débat plus large sur le changement climatique et la sécurité nationale ?
Pour l’instant, l’armée privilégie les résultats pratiques et mesurables plutôt que les objectifs idéologiques.
~ Willow Tohi
Source
https://www.etresouverain.com/12/04/2025/larmee-americaine-met-fin-a-une-decennie-dinitiatives-en-matiere-de-changement-climatique-et-se-concentre-desormais-sur-la-preparation/