Au-delà du confort Musculaire ou Articulaire, le Curcuma pourrait également freiner certaines Altérations Cérébrales liées à l’Âge !

Derrière sa couleur solaire, le curcuma cacherait un effet méconnu sur le cerveau, aujourd’hui pris très au sérieux par les chercheurs.
Les épices font depuis longtemps partie de nos cuisines, mais leur intérêt dépasse largement la saveur qu’elles apportent aux plats.
Sources naturelles de vitamines, de minéraux et d’antioxydants, elles sont aussi reconnues pour leurs propriétés anti-inflammatoires.
Dans certains cas, elles peuvent même soulager des douleurs chroniques comme les rhumatismes ou les tensions musculaires, en complément d’un suivi médical.
Parmi les plus étudiées, le curcuma se distingue.
Dans certains cas, elles peuvent même soulager des douleurs chroniques comme les rhumatismes ou les tensions musculaires, en complément d’un suivi médical.
Parmi les plus étudiées, le curcuma se distingue.
Derrière sa couleur vive se cache un véritable allié pour l’organisme, et pas seulement sur le plan digestif.
Des recherches menées par différentes équipes scientifiques tendent à montrer que cette épice pourrait également jouer un rôle protecteur sur le cerveau, en agissant notamment sur les fonctions cognitives et la mémoire.
Des recherches menées par différentes équipes scientifiques tendent à montrer que cette épice pourrait également jouer un rôle protecteur sur le cerveau, en agissant notamment sur les fonctions cognitives et la mémoire.
Le curcuma, un allié prometteur contre le déclin cognitif !
Le curcuma n’en finit plus d’intéresser les chercheurs. Dans une étude publiée le 27 mars 2025 dans Biotechnology Advances, les scientifiques ont une nouvelle fois mis en lumière le rôle central de la curcumine, ce composé actif qui donne à l’épice sa couleur dorée et, surtout, son puissant potentiel anti-inflammatoire.
D’après la nutritionniste Molly Knudsen, relayée par le site Mind Body Green le 10 avril, cette molécule contribuerait à réguler les inflammations de fond qui fragilisent l’organisme, notamment au niveau des articulations.
Mais l’étude va plus loin : au-delà du confort musculaire ou articulaire, le curcuma pourrait également freiner certaines altérations cérébrales liées à l’âge.
Le curcuma n’en finit plus d’intéresser les chercheurs. Dans une étude publiée le 27 mars 2025 dans Biotechnology Advances, les scientifiques ont une nouvelle fois mis en lumière le rôle central de la curcumine, ce composé actif qui donne à l’épice sa couleur dorée et, surtout, son puissant potentiel anti-inflammatoire.
D’après la nutritionniste Molly Knudsen, relayée par le site Mind Body Green le 10 avril, cette molécule contribuerait à réguler les inflammations de fond qui fragilisent l’organisme, notamment au niveau des articulations.
Mais l’étude va plus loin : au-delà du confort musculaire ou articulaire, le curcuma pourrait également freiner certaines altérations cérébrales liées à l’âge.
Les chercheurs y décrivent un effet protecteur contre les protéines délétères comme l’amyloïde-bêta ou la tau, associées à la maladie d’Alzheimer.
En parallèle, la curcumine favoriserait la production de nouvelles cellules nerveuses et réduirait la charge toxique observée dans la maladie de Parkinson.
En parallèle, la curcumine favoriserait la production de nouvelles cellules nerveuses et réduirait la charge toxique observée dans la maladie de Parkinson.
Autrement dit, cette épice du quotidien pourrait bien s’inviter dans le champ de la prévention neurologique.
Les bons réflexes pour tirer parti du curcuma !
Tirer profit des vertus du curcuma n’est pas qu’une affaire de quantité, mais surtout d’absorption.
Tirer profit des vertus du curcuma n’est pas qu’une affaire de quantité, mais surtout d’absorption.
Car si la curcumine, son principe actif, est au cœur de ses effets anti-inflammatoires, elle a un inconvénient majeur : mal assimilée par l’organisme, elle risque de passer inaperçue.
"Une solution consiste à associer le curcuma à la pipérine, un ingrédient actif du poivre noir, explique l'experte.
"Une solution consiste à associer le curcuma à la pipérine, un ingrédient actif du poivre noir, explique l'experte.
La curcumine est transformée par les bactéries intestinales en métabolites comme la tétrahydrocurcumine, qui pourrait aider à protéger le cerveau via l'axe intestin-cerveau".
Quant aux doses à respecter, il vaut mieux se fier aux travaux scientifiques.
Quant aux doses à respecter, il vaut mieux se fier aux travaux scientifiques.
"Une fourchette allant de 500 à 1.000 milligrammes d'extrait de racine de curcuma, voire plus, précise la nutritionniste.
Si vous choisissez un produit optimisé pour l'absorption, privilégiez la dose la plus faible".
Autrement dit, inutile de multiplier les gélules : une formulation bien pensée et un peu de poivre noir suffisent souvent à booster son efficacité.
Autrement dit, inutile de multiplier les gélules : une formulation bien pensée et un peu de poivre noir suffisent souvent à booster son efficacité.
Nous disposons de gélules de Curcumine/Poivre Noir fortement dosées (1800mg = une tous les 2 jours) : écrire à filibert82@yahoo.fr
https://www.marmiton.org/bien-choisir-ses-aliments/la-science-a-tranche-le-curcuma-a-un-effet-inattendu-sur-le-cerveau-s4111039.html
https://www.marmiton.org/bien-choisir-ses-aliments/la-science-a-tranche-le-curcuma-a-un-effet-inattendu-sur-le-cerveau-s4111039.html