mercredi 16 avril 2025

Le Fluor est-il Nocif pour le Cerveau des Enfants !

La Fluoration de l’Eau Potable dans de Nombreux États des États-Unis serait une attaque Sournoise contre le Développement du Cerveau des Enfants ! 


Fluoration de l’eau potable : une attaque sournoise contre le cerveau des enfants ? 
Alors que de nombreux gouvernements continuent de célébrer la fluoration de l’eau potable comme une prétendue réussite dentaire, une découverte alarmante apparaît de plus en plus clairement : le fluor n’est pas un minéral inoffensif, il pourrait s’agir d’un cocktail neurotoxique qui met en danger de manière subtile mais mesurable le développement mental des enfants. 
Une nouvelle étude, publiée dans la célèbre revue BMC Pediatrics , tire discrètement mais fermement la sonnette d’alarme. 
Elle a étudié les associations entre la fluoration de l’eau potable dans les comtés américains et l’apparition de troubles neurodéveloppementaux tels que les troubles du spectre autistique (TSA), le TDAH, la déficience intellectuelle (DI) et le retard de développement spécifique (SDD) chez les enfants. 
Résultat : alors que la légère réduction attendue des caries dentaires a été confirmée, des augmentations significatives – quoique modérées – des troubles neurologiques ont été observées dans les régions fluorées. 

Un cocktail de poison pour le cerveau des enfants ? 
Les chercheurs ont découvert une corrélation positive entre l’exposition au fluorure au cours de l’année de naissance et les diagnostics neurologiques ultérieurs. 
Ce qui est particulièrement inquiétant, c’est que ces effets se sont produits même à des niveaux correspondant au niveau actuel de fluoration de l’eau potable aux États-Unis (environ 0,7 ppm) – c’est-à-dire les concentrations considérées comme "sûres" dans de nombreux pays occidentaux. 
Des études antérieures avaient déjà pointé dans la même direction. Une méta-analyse largement citée de Harvard (Choi et al., 2012) a montré qu’une exposition accrue au fluorure pendant l’enfance est associée à un QI significativement plus faible. 
Des études récentes, menées par exemple au Mexique et au Canada, ont confirmé que l’apport prénatal en fluorure peut être associé à des déficits cognitifs à l’âge de l’école primaire.

"Modérément" dangereux, ou banalisation systématique ? 
Les critiques accusent les auteurs de l’étude actuelle de dissimuler les résultats. 
Des expressions comme "faible effet" ou "faible corrélation" ne doivent pas occulter l’importance de ces phénomènes : si des millions d’enfants subissent des dommages minimes au fil des ans, les conséquences sociales sont dévastatrices. 
Ce qui est décrit comme une "augmentation modérée" pourrait en réalité signifier des dizaines de milliers de cas supplémentaires d’autisme, de TDAH ou de troubles d’apprentissage – avec des conséquences massives pour les familles, les écoles et les systèmes de santé.

Un sujet pour l’OMS, ou un scandale de plus ? 
Malgré les preuves croissantes des effets neurotoxiques, la fluoration continue d’être promue, notamment par l’OMS, le CDC, l’ADA et les autorités sanitaires nationales. 
Les voix critiques, comme celles des scientifiques, des organisations environnementales ou des parents concernés, sont en revanche régulièrement diffamées ou ignorées. 
L'organisation à but non lucratif Children's Health Defense, qui souligne ce lien, met en garde de toute urgence contre une "expérience neurotox" mondiale sur la population. 
"Nous traitons le fluor comme un médicament que nous administrons de force à tout le monde, sans dosage, sans surveillance médicale, sans consentement", a déclaré un porte-parole. 
Le fluor est sans aucun doute toxique à fortes doses, et même à faibles concentrations, on soupçonne de plus en plus qu’il endommage le cerveau des enfants.

Que faut-il faire ? 
Au vu de ces études alarmantes, il est grand temps de mettre la fluoration de l’eau potable à l’épreuve – scientifiquement, éthiquement et politiquement. 
Ce qu’il faut, ce sont des études indépendantes à long terme avec des mesures d’exposition réelles, une évaluation transparente des risques et, surtout, la fin de la pratique consistant à exposer de force une population entière à une substance dont les effets neurotoxiques potentiels sont documentés depuis des années. 
La question n’est plus de savoir si le fluor pourrait être dangereux , mais combien de temps nous sommes prêts à attendre avant qu’un "effet modéré" ne se transforme en une urgence éducative. 
La fluoration existe depuis des décennies, mais c’est peut-être précisément la raison pour laquelle nous abrutissons systématiquement une génération.

Sources et informations complémentaires :