dimanche 6 juillet 2025

L'ARNm Provoque des Troubles Cognitifs !

Une Nouvelle Étude tire la sonnette d'alarme sur les Effets Secondaires Neuropsychiatriques à Long Terme des Injections à ARNm contre la Covid !


 


Une nouvelle analyse scientifique, publiée dans l'International Journal of Innovative Research in Medical Science (IJIRMS), jette un éclairage cru sur un sujet jusque-là passé sous silence :  les effets secondaires neuropsychiatriques des vaccins contre la COVID-19. 

Les auteurs comparent les données du Système américain de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS) et concluent que les vaccins à ARNm contre la COVID présentent un taux de complications psychiatriques graves considérablement plus élevé que les autres vaccins.

Explosion des symptômes neurologiques et psychiatriques ! 

Les chercheurs ont examiné les données du VAERS jusqu'au 31 décembre 2024, incluant plus de 1,5 million de signalements liés aux vaccins contre la COVID-19. 

Ils les ont comparées aux effets indésirables d'autres vaccins survenus au cours des 30 dernières années, notamment ceux contre la grippe, le VPH et la rage. 

L'accent a été mis sur les symptômes neurologiques et psychiatriques, notamment :

  • Troubles cognitifs
  • dissociation
  • Confusion
  • Pensées et actions suicidaires
  • Comportement violent
  • Dépression et psychose


Le résultat est alarmant : les ratios de déclaration proportionnelle (PRR) – une mesure reconnue pour évaluer la fréquence des effets secondaires – ont plus que doublé, voire multiplié, pour les vaccins contre la COVID dans de nombreuses catégories.

Par exemple, lors de la déclaration d’événements suicidaires ou agressifs, le PRR pour les vaccins contre la COVID est plus de trois fois plus élevé que pour les vaccins contre la grippe.

« Covid long » ou « vaccination longue » ?

Les auteurs posent une question provocatrice : de nombreux symptômes actuellement qualifiés de "COVID longue" pourraient-ils être en réalité des effets tardifs de la vaccination ? 

Sont particulièrement touchées les personnes vaccinées à plusieurs reprises, mais n'ayant jamais contracté la COVID-19, et qui développent néanmoins des symptômes neurologiques à long terme.

Cette thèse est explosive car elle bouleverse le récit officiel de la pandémie. Alors que les gouvernements dépensent des milliards pour traiter et étudier la Covid longue, la possibilité de syndromes induits par les vaccins est presque totalement ignorée, malgré des preuves de plus en plus nombreuses issues de la pratique et de nombreux rapports de cas.

Le Grand Silence : Pourquoi personne ne réagit ?

Bien que les résultats soient basés sur des données sanitaires réelles, l'étude a jusqu'à présent été ignorée par les responsables politiques, les médias et les autorités sanitaires. 

Il n'y a eu aucune déclaration des CDC, aucune classification de l'OMS et aucun débat public.

Pourquoi?

  • Car la reconnaissance officielle de ces effets secondaires soulèverait d’énormes problèmes de responsabilité.
  • Parce que les vaccins à ARNm ont été au cœur de la politique occidentale de lutte contre la pandémie, les critiques scientifiques à leur égard sont souvent assimilées à de la « désinformation ».
  • Et parce que le VAERS – bien qu’il s’agisse d’un système officiel américain – est systématiquement rejeté comme non pertinent dès que les résultats deviennent désagréables.


La responsabilité des Lumières ! 

Cette étude ne constitue pas une preuve de causalité, mais elle fournit des preuves épidémiologiques solides d'un risque réel. 

Ignorer, censurer ou minimiser ces données est imprudent. 

Si des millions de personnes sont potentiellement affectées par des lésions neurologiques induites par les vaccins, alors nous avons besoin :

  • Études de suivi indépendantes dans d'autres pays
  • Études à long terme avec contrôles placebo
  • Des débats ouverts sans tabous ni cancel culture


Conclusion : Le prix du silence ! 

Les vaccins à ARNm étaient censés sauver la vie de la pandémie. 

Mais que se passerait-il si, pour beaucoup, ils devenaient le début d'une catastrophe sanitaire personnelle – silencieuse, lente et neurologique ?

La nouvelle analyse de l'IJIRMS est un signal d'alarme. 

Et comme souvent dans l'histoire, ce ne sont pas seulement les effets secondaires qui déclenchent un scandale, mais aussi le fait de fermer délibérément les yeux. 

https://ijirms.in/index.php/ijirms/article/view/2090

https://uncutnews.ch/neuropsychiatrische-krise-nach-covid-impfung-neue-studie-schlaegt-alarm/