L’OMS prépare déjà la Prochaine Pandémie ?

Une Simulation de Pandémie au BioHub de l'OMS, au Laboratoire de Spiez, est prévue du 3 au 7 novembre et du 1er au 5 décembre 2025 en Suisse ! 

Lorsque l'OMS planifie un exercice de pandémie, la question n'est pas de savoir si, mais quand, l'urgence se produira. 

Quiconque connaît l'histoire de l'Événement 201, du Clade X et de la Contagion Écarlate le sait : ces "simulations" ne sont pas de simples jeux de guerre ; ce sont des répétitions générales au cours desquelles les structures, les procédures d'accès et les rapports de force sont mis en pratique bien avant que le public ne réalise ce qui se joue.

La Suisse crée des faits ! 
Le 6 août 2025, la Suisse a soumis à l'OMS sa feuille de route pour le Système d'accès aux agents pathogènes et de partage des avantages (PABS). 

Elle y incluait une invitation très controversée à une simulation de pandémie au BioHub de l'OMS, au Laboratoire de Spiez, prévue du 3 au 7 novembre et du 1er au 5 décembre 2025, précisément entre les troisième et quatrième réunions du Groupe de Travail Intergouvernemental (IGWG). 

Ces réunions constituent le cœur des négociations politiques où sont finalisés les détails du système PABS. 

Quiconque parviendra à un exercice "réussi" établira des faits avant même que des décisions formelles ne soient prises.

Officiellement, l'objectif est de tester la rapidité avec laquelle les agents pathogènes et les séquences génétiques peuvent être partagés, ainsi que la rapidité avec laquelle les "avantages" tels que les vaccins ou les médicaments peuvent circuler. 

Dans le jargon de l'OMS, cela évoque la "coordination" et la "sécurité sanitaire mondiale". 
En d'autres termes, cela signifie un accès international aux agents pathogènes à haut risque, avec la Suisse comme plateforme logistique. 

Et tout cela avant même que les parlements ou les citoyens n'aient leur mot à dire (ce qui n'était de toute façon pas prévu).

Les coïncidences se produisent ! 
Le timing est plus que piquant : quelques semaines seulement avant l'exercice, le 19 septembre 2025, le nouveau Règlement Sanitaire International (RSI) entrera en vigueur. 

Coïncidence ? Ou simplement le moment idéal pour ancrer directement le nouveau règlement dans un "test pratique" ? 

L'empressement est évident. 

Quiconque souhaite discuter des risques seulement après son entrée en vigueur s'entendra répondre : "Le système fonctionne déjà !" 
Les parallèles avec les exercices précédents sont indéniables : Événement 201, Clade X, Contagion Écarlate. 

Tout cela n'était qu'une préparation, et la réalité a suivi peu après. Spiez ne se résume pas à des scénarios, mais à une répétition générale des chaînes d'approvisionnement mondiales en agents pathogènes. 

Une fois le système établi, personne ne remettra en question sa sagesse initiale.

Politiquement extrêmement dangereux ! 
Politiquement, la situation est extrêmement dangereuse : qui contrôle l’accès ? 

Qui garantit la sécurité ? 

Qui porte la responsabilité si l’exercice tourne au désastre ? 

À Spiez, ces questions se jouent non pas devant le public, mais devant les quelques acteurs qui prennent les rênes en cas de crise. 
La Suisse, pays neutre, devient ainsi une plaque tournante de la gestion internationale des agents pathogènes. 

La neutralité s'applique apparemment aussi aux virus ; chacun a la possibilité de se faire vacciner. 
Cet exercice n'est pas un atelier anodin, mais un véritable test géopolitique. 

Ceux qui n'y prêtent pas attention risquent de se réveiller face à une réalité déjà bien rodée. 

Et d'ailleurs, le Royaume-Uni s'y exercera bientôt lui aussi. 

Les entraînements à la pandémie semblent être de retour.

https://www.vereinwir.ch/spiez-wo-die-who-schon-mal-die-naechste-pandemie-probt/