mardi 2 septembre 2025

La Tyrannie Européenne se met en Place !

La Tyrannie Européenne se met en Place avec le Contrôle de toutes les Sources d'Informations grâce à une Armée de Collabos qui devront Dénoncer toute Opinion Non Conforme ! 



Les autorités s'apprêtent à censurer les élections au Parlement européen ! 

L'article suivant fait spécifiquement référence aux Pays-Bas à certains endroits, car l'autorité de régulation ACM y fournit des exemples et les premières mises en œuvre commencent à se faire sentir. 

Cependant, les mécanismes décrits – notamment la loi sur les services numériques (DSA), le rôle des "signaleurs de confiance" et l'implication des vérificateurs de faits affiliés aux gouvernements – s'appliquent à tous les États membres de l'UE . 

Les évolutions décrites ne sont donc pas un phénomène propre aux Pays-Bas, mais concernent l'ensemble de l'Europe.

La loi européenne sur les services numériques oblige les plateformes Internet à lutter contre la désinformation ! 

L'Autorité néerlandaise de la consommation et des marchés (ACM), en collaboration avec la Commission européenne, s'apprête à interdire les contenus "indésirables" liés aux élections législatives d'octobre. 

Les plateformes en ligne telles que X, TikTok, Instagram, YouTube et Facebook ont ​​été rappelées à l'ordre du jour : en vertu de la nouvelle loi européenne sur les services numériques (DSA), elles sont tenues de lutter contre la "désinformation" susceptible d'influencer le processus électoral.

L'ACM convoque une réunion en septembre, à laquelle participeront des "fact-checkers" de gauche et pro-OTAN tels que Benedmo et Bellingcat, pour rappeler aux plateformes leurs obligations.

Le 29 octobre, une première aura lieu : ce seront les premières élections aux Pays-Bas depuis l'entrée en vigueur de la DSA. 

Cette loi européenne, entrée en vigueur l'année dernière, oblige les principales plateformes internet et les moteurs de recherche à prendre des mesures contre diverses formes de contenu indésirable. 

Elle fait explicitement référence non seulement aux contenus illégaux, mais aussi à ce que la loi qualifie de "contenu trompeur ou mensonger", de "désinformation", de "discours de haine" et de contenu ayant "des effets négatifs réels ou prévisibles sur le débat social et les processus électoraux".

Liberté d’expression ou censure ?

La question cruciale est : comment les entreprises technologiques sont-elles censées savoir ce qu'elles peuvent ou non autoriser sur leurs plateformes ?
Le site web de l'ACM indique :

Selon la DSA, les plateformes en ligne doivent prendre des mesures contre les informations trompeuses, haineuses ou intentionnellement inexactes diffusées sur leurs plateformes. La raison : elles peuvent fausser les élections. 

La diffusion de telles informations en ligne peut être très rapide. Et les conséquences pour la démocratie et la société peuvent être considérables. 

Parallèlement, selon la DSA, les plateformes en ligne doivent protéger la liberté d'expression. 

Elles ne doivent pas se contenter de bloquer les comptes des utilisateurs ou de supprimer du contenu. Elles doivent avoir une bonne raison de le faire.

L'ACM envoie ainsi un double message : les plateformes doivent protéger la liberté d'expression, mais aussi les citoyens des "informations indésirables". 

Il n'existe pas de critères stricts pour déterminer ce qui est autorisé ou non. 


Rôle des "Signaleurs de Confiance", ces Collabos de la Tyrannie Européenne ! 

La DSA ne définit pas ce qui est illégal ; cette infraction est régie par d'autres lois, telles que le droit pénal ou la loi sur la protection des données. 

Cependant, elle régit la manière dont les plateformes doivent traiter les signalements : tout le monde doit pouvoir signaler un contenu, et les plateformes doivent réagir rapidement et motiver leurs décisions.

L'ACM elle-même ne peut pas contraindre les plateformes à supprimer du contenu. Elle ne peut même pas leur "demander" de le faire. 

Cependant, les plateformes risquent des amendes pouvant atteindre 6% de leur chiffre d'affaires si elles ne réagissent pas correctement.

Une solution est offerte par les "signaleurs de confiance". 

Ces organisations de confiance traquent, identifient et signalent les contenus illégaux aux plateformes. 

Ces dernières doivent prioriser leurs signalements, même si cela n'implique pas automatiquement la suppression du contenu.

Aux Pays-Bas, une seule organisation a été reconnue comme Trusted Flagger à ce jour : la Fondation Offlimits (une ligne d'assistance téléphonique contre la pornographie infantile). 

Les trois autres organisations candidates sont Stichting Brein (droits d'auteur), React (protection des marques) et Meld Online Discriminatie .

La Commission européenne tient à jour une liste paneuropéenne de 40 signaleurs de confiance. Parmi eux figurent des organisations politiquement très controversées :

  • HateAid AG (Allemagne), dirigée par des politiciens de partis (CDU/CSU, SPD, Verts, FDP).
  • Centre de signalement Respect (Allemagne), qui a transmis près de 26 000 signalements aux autorités chargées de l'application de la loi depuis 2017.
  • Banque centrale d’Irlande – la seule banque centrale de la liste.
  • Debunk EU (Lituanie), financé par la Digital News Initiative de Google , autoproclamé "allié de l'UE et de l'OTAN". 


Influence politique des "vérificateurs de faits" ! 

Une autre solution pour les plateformes est le "code de conduite volontaire", auquel presque toutes les grandes plateformes (à l'exception de X) ont adhéré. 

Elles s'engagent à recourir à des "vérificateurs de faits" – des organisations idéologiquement engagées et étroitement liées aux gouvernements ou aux forces de l'OTAN.

L'ACM organise une table ronde privée le 15 septembre avec des représentants de 12 plateformes, de la Commission européenne, des régulateurs et des ONG. 

Au programme : des mesures contre la "désinformation électorale".

Également à table :

  • Bellingcat , connu comme une plateforme d'enquête pro-OTAN, financée par les gouvernements occidentaux.
  • Benedmo , un réseau néerlandais d'« experts en désinformation », financé par le gouvernement, composé d'universités (Amsterdam, Leyde, Utrecht), de radiodiffuseurs publics tels que KRO-NCRV « Pointer », Bellingcat lui-même et Reuser's Information Services – fondé par un ancien employé du service de renseignement militaire néerlandais Arno Reuser. 

Conclusion : 

Les premières élections sous le régime DSA aux Pays-Bas constitueront ainsi un test pour l'interaction entre la Commission européenne, les autorités nationales, les géants du numérique et des ONG sélectionnées politiquement. 

Résultat : un système de "signaleurs de confiance" approuvés par l'État et de vérificateurs de faits affiliés à l'OTAN, dépourvu de critères juridiques clairs, mais qui exerce un pouvoir considérable sur la liberté d'information en ligne.

Le danger est évident : au lieu d’une diversité d’opinion, un appareil de censure menace d’apparaître par la porte arrière – au nom de la "protection de la démocratie". 


https://uncutnews.ch/behoerden-stehen-in-den-startloechern-fuer-zensur-im-zusammenhang-mit-den-wahlen-zum-europaeischen-parlament/