jeudi 25 décembre 2025

Les Censeurs Européens Sanctionnés par les États-Unis !

L’Administration Trump interdit aux Mondialistes Européens Opposés à la Liberté d’Expression d’entrer aux États-Unis ! 


Cette décision marque une politique de tolérance zéro envers la censure extraterritoriale, en particulier après les récentes attaques de l’UE contre X, la société d’Elon Musk. 

Les États-Unis tirent enfin un trait sur les ingérences étrangères… 

Modernity.news explique ci-dessous que l’administration Trump a imposé une interdiction de visa à l’ancien commissaire européen Thierry Breton et à quatre autres militants "anti-désinformation", les accusant de contraindre les réseaux sociaux américains à censurer les opinions qui leur déplaisent.

Cette mesure marque une politique de tolérance zéro envers la censure extraterritoriale, en particulier après les récentes attaques de l’UE contre X, la société d’Elon Musk.

Le secrétaire d’État Marco Rubio l’a clairement exprimé : "Depuis trop longtemps, les idéologues européens mènent des efforts organisés pour contraindre les plateformes américaines à punir les points de vue américains auxquels ils s’opposent. L’administration Trump ne tolérera plus ces actes flagrants de censure extraterritoriale."

La sous-secrétaire d’État à la diplomatie publique et aux affaires publiques, Sarah B. Rogers, a déclaré : "Ces sanctions concernent les visas. Nous n’invoquons pas de mesures financières sévères de type Magnitsky, mais notre message est clair : si vous passez votre carrière à encourager la censure de la liberté d’expression américaine, vous n’êtes pas le bienvenu sur le sol américain" ! 

La liste comprend Thierry Breton, qui a notoirement menacé Elon Musk pour avoir organisé une interview avec Donald Trump sur X en 2024. 

Parmi les autres personnes interdites figurent Imran Ahmed, PDG du Center for Countering Digital Hate (CCDH), qui a travaillé avec des démocrates comme Amy Klobuchar pour "tuer le Twitter de Musk" ; Joan Donovan, fondatrice du Critical Internet Studies Institute ; Kate Starbird, cofondatrice du Center for an Informed Public de l’université de Washington ; et Jim Davey, cofondateur de l’Institute for Strategic Dialogue.

Cette riposte intervient dans un contexte de tensions croissantes entre l’administration Trump et l’UE. 

Comme nous l’avons déjà expliqué en détail, Bruxelles a infligé à X une amende de 140 millions de dollars en vertu de la loi sur les services numériques pour avoir refusé de se conformer à ses exigences en matière de censure, ce qui constitue une atteinte flagrante à la liberté d’expression. 

Musk a riposté avec virulence, déclarant que « les commissaires européens sont responsables du meurtre de l’Europe » et appelant à "dissoudre l’UE et rendre le pouvoir au peuple". 

Il a souligné la popularité croissante de X en Europe malgré l’amende, notant qu’il était devenu la première application d’information dans tous les pays de l’UE.

La querelle s’est intensifiée lorsque le président du Conseil européen, Antonio Costa, a averti Trump de « ne pas se mêler des affaires européennes » dans le contexte de la répression de la liberté d’expression. 

Costa a condamné "l'ingérence" des États-Unis dans les affaires européennes, ignorant la dérive autoritaire du bloc européen en matière de contrôle des contenus en ligne.

Trump lui-même a critiqué la direction prise par l’Europe, exhortant les citoyens à s’opposer à l’immigration incontrôlée et à la surréglementation qui "mettent en danger le continent tel que nous le connaissons". 

Dans des interviews, il a souligné que "l’Europe doit être très prudente… 

Nous voulons que l’Europe reste l’Europe", et a qualifié l’amende infligée par l’UE à X de « méchante » et d’injustifiée.

Breton, qui a quitté la Commission européenne en 2024, a qualifié cette interdiction de "chasse aux sorcières", comparant la situation à l’ère McCarthy aux États-Unis, lorsque des fonctionnaires ont été chassés du gouvernement pour leurs liens présumés avec le communisme. 

« À nos amis américains : la censure n’est pas là où vous le pensez », a-t-il déclaré sur X.

La France a également condamné l’interdiction de visa imposée à Breton, mais l’équipe Trump reste de marbre. 

Cette mesure souligne l’engagement des États-Unis à protéger leurs géants technologiques contre le harcèlement réglementaire étranger, en privilégiant la souveraineté et le discours ouvert plutôt que les diktats mondialistes.

Alors que Bruxelles redouble d’efforts en matière d’outils de surveillance tels que le DSA et les projets de loi sur le contrôle des chats, qui menacent la vie privée en scannant les messages privés, la riposte américaine expose l’hypocrisie des élites européennes qui prônent la démocratie tout en mettant en place un cadre orwellien.

Avec Trump aux commandes, on peut s’attendre à une défense accrue des libertés contre de telles dérives. 

Cette interdiction visant Breton et ses alliés est un message clair : toute tentative de censure des plateformes américaines depuis l’étranger aura des conséquences. 

L’ère de la tolérance envers les intimidations mondialistes est révolue.