L'Armée arrête le Médecin du Président Biden, pour Conspiration en Vue de Frauder les États-Unis sur l'État de Santé de ses Dirigeants Réels ou Faux !
Les enquêteurs du JAG de la marine américaine ont arrêté le médecin Kevin O'Connor la semaine dernière après qu'il ait admis n'avoir jamais vu ou examiné médicalement le véritable Joseph R. Biden au cours de sa carrière professionnelle, ont déclaré des sources du JAG à Michael Baxter.
O'Connor est un médecin américain, colonel de l'armée américaine à la retraite, qui est ostensiblement devenu le médecin de Biden le 25 janvier 2021.
Ses réalisations sont impressionnantes : 22 ans de service militaire, notamment au sein de la 82e division aéroportée et du commandement des opérations spéciales de l'armée américaine.
Il a commencé à travailler comme médecin en 2006 sous l'administration Bush et, trois ans plus tard, a été nommé médecin du vice-président.
Ce diplômé du New York Institute of Technology College of Osteopathic Medicine (1992) semble faire preuve de professionnalisme et de patriotisme, mais ses liens durables avec la famille Biden ont mis la puce à l'oreille des Chapeaux Blancs en juillet 2022, lorsqu'il a diagnostiqué pour la première fois le COVID-19 chez Sleepy Joe, lui a prescrit du Paxlovid et lui a ordonné de s'isoler dans la cave.
Ce diplômé du New York Institute of Technology College of Osteopathic Medicine (1992) semble faire preuve de professionnalisme et de patriotisme, mais ses liens durables avec la famille Biden ont mis la puce à l'oreille des Chapeaux Blancs en juillet 2022, lorsqu'il a diagnostiqué pour la première fois le COVID-19 chez Sleepy Joe, lui a prescrit du Paxlovid et lui a ordonné de s'isoler dans la cave.
Les Chapeaux Blancs avaient deux raisons de douter du diagnostic : Ils pensaient - sans pouvoir le prouver - que le patient de O'Conner était l'acteur Arthur Roberts, la doublure de Biden, et la maison de Biden dans le Delaware était inoccupée à l'époque, comme le montrent les enregistrements de surveillance des Chapeaux Blancs.
Au mois d'août, les Chapeaux Blancs ont demandé un "entretien" avec O'Conner, qui avait alors déclaré que Biden avait été testé négatif au COVID-19 et qu'il était en parfaite forme physique et mentale, mais il a décliné l'invitation à quatre reprises.
Au mois d'août, les Chapeaux Blancs ont demandé un "entretien" avec O'Conner, qui avait alors déclaré que Biden avait été testé négatif au COVID-19 et qu'il était en parfaite forme physique et mentale, mais il a décliné l'invitation à quatre reprises.
Selon notre source, les Chapeaux Blancs ne disposaient pas de preuves suffisantes pour détenir ou arrêter O'Conner, mais ils l'ont gardé dans leur collimateur.
"Je reconnais que nous avons parfois un parti pris qui consiste à donner aux anciens militaires le bénéfice du doute.
"Je reconnais que nous avons parfois un parti pris qui consiste à donner aux anciens militaires le bénéfice du doute.
Nous n'aimons pas penser que les nôtres pourraient devenir des collaborateurs de l'État Profond.
Mais, comme vous le savez, cela arrive trop souvent à notre goût.
Il a ajouté qu'O'Conner avait été la cible de milliers d'heures de travail sur le terrain et de surveillance électronique, et que pas une seule fois entre 2022 et 2024 il n'avait fait passer un examen médical à Biden - ce qui est anormal puisque les responsabilités du médecin personnel d'un président comprennent la réalisation d'examens annuels et l'accompagnement du président dans tous ses voyages à l'étranger et à l'intérieur du pays.
Cette bizarrerie a atteint son paroxysme la semaine dernière lorsque O'Conner a diagnostiqué chez Biden un COVID-19 alors qu'ils se trouvaient à Las Vegas et qu'il a déclaré que Biden retournerait dans le Delaware pour s'auto-quarantiner jusqu'à ce que ses "légers symptômes" s'estompent.
Il a ajouté qu'O'Conner avait été la cible de milliers d'heures de travail sur le terrain et de surveillance électronique, et que pas une seule fois entre 2022 et 2024 il n'avait fait passer un examen médical à Biden - ce qui est anormal puisque les responsabilités du médecin personnel d'un président comprennent la réalisation d'examens annuels et l'accompagnement du président dans tous ses voyages à l'étranger et à l'intérieur du pays.
Cette bizarrerie a atteint son paroxysme la semaine dernière lorsque O'Conner a diagnostiqué chez Biden un COVID-19 alors qu'ils se trouvaient à Las Vegas et qu'il a déclaré que Biden retournerait dans le Delaware pour s'auto-quarantiner jusqu'à ce que ses "légers symptômes" s'estompent.
Selon notre source, O'Conner n'aurait pas pu poser ce diagnostic à Las Vegas car il ne s'y trouvait pas.
En effet, O'Conner participait à un séminaire d'ostéopathie au Meridian Health Mountainside Medical Center, dans le New Jersey, lorsque la nouvelle du nouveau cas de COVID-19 de Joe Biden a été rendue publique.
De plus, son emploi du temps indiquait qu'il ne reviendrait pas à Washington avant le 20 juillet.
Compte tenu de ces circonstances très inhabituelles, les enquêteurs du JAG qui suivaient O'Conner dans le New Jersey ont demandé à leurs supérieurs l'autorisation de le détenir.
Compte tenu de ces circonstances très inhabituelles, les enquêteurs du JAG qui suivaient O'Conner dans le New Jersey ont demandé à leurs supérieurs l'autorisation de le détenir.
Ayant reçu le feu vert, ils ont arrêté O'Conner le 19 juillet à l'extérieur d'un restaurant de Montclair, dans le New Jersey, et lui ont dit qu'ils voulaient avoir une conversation cordiale au sujet de sa relation avec Joseph Biden.
Selon notre source, O'Conner n'était pas très enthousiaste à cette idée, arguant que le JAG n'avait aucune autorité sur lui et que ses affaires et celles de Biden étaient secrètes, protégées par le secret médical, l'HIPPA et des accords de non-divulgation agressifs qu'il avait signés en 2021.
Les enquêteurs, cependant, se souciaient moins de son pacte avec l'État profond que d'obtenir des aveux, et ils ont affablement encouragé O'Conner à coopérer - ou à être envoyé rapidement à Guantanamo Bay.
"Ils ont raconté un petit mensonge : ils ne s'intéressaient qu'à Biden, et si O'Conner coopérait, il bénéficierait d'une immunité totale.
"Ils ont raconté un petit mensonge : ils ne s'intéressaient qu'à Biden, et si O'Conner coopérait, il bénéficierait d'une immunité totale.
Ils n'avaient pas l'autorisation de mettre ce genre d'offre sur la table, mais nous avons fait ce que nous pouvions", a déclaré notre source.
Pourtant, O'Conner a menti de manière transparente.
Lorsqu'on lui a demandé comment il avait confirmé le cas présumé de COVID-19 de Biden, il a déclaré que le "Dr Stuthelpsthucp" du centre de traumatologie de l'UMC à Vegas avait fait le diagnostic initial et lui avait transmis les résultats.
Le JAG a rapidement appris qu'aucun médecin de ce nom n'avait jamais pratiqué la médecine à l'UMC de Vegas.
Pourtant, O'Conner a menti de manière transparente.
Lorsqu'on lui a demandé comment il avait confirmé le cas présumé de COVID-19 de Biden, il a déclaré que le "Dr Stuthelpsthucp" du centre de traumatologie de l'UMC à Vegas avait fait le diagnostic initial et lui avait transmis les résultats.
Le JAG a rapidement appris qu'aucun médecin de ce nom n'avait jamais pratiqué la médecine à l'UMC de Vegas.
Michael Baxter s'est ensuite entretenu avec une réceptionniste de l'UMC Vegas, qui a déclaré : "C'est un nom unique. Non, nous n'avons pas de Stuthelpsthucp dans notre personnel".
On ne sait pas exactement pourquoi O'Conner a raconté une fausseté facilement réfutable.
À ce moment-là, les enquêteurs ont emmené un O'Conner réticent dans une chambre de motel voisine et l'ont menotté à une table.
Selon notre source, les enquêteurs ont "mis la pression" sur O'Conner, l'interrogeant pendant six heures avant qu'il ne commence à craquer.
On ne sait pas exactement pourquoi O'Conner a raconté une fausseté facilement réfutable.
À ce moment-là, les enquêteurs ont emmené un O'Conner réticent dans une chambre de motel voisine et l'ont menotté à une table.
Selon notre source, les enquêteurs ont "mis la pression" sur O'Conner, l'interrogeant pendant six heures avant qu'il ne commence à craquer.
L'histoire qu'il leur a racontée semblait invraisemblable et absurde. Il a déclaré qu'il ne savait pas si Biden avait le COVID-19 ; il ne pouvait pas le savoir car il n'avait jamais évalué Biden pour une quelconque maladie et n'avait jamais tenu un stéthoscope sur la poitrine de Biden.
Il a révélé qu'il avait déjà évalué "un homme qui ressemblait" à Joe Biden mais qui était en fait quelqu'un d'autre.
"M. O'Connor a déclaré que Xavier Becerra lui avait demandé d'effectuer un contrôle sur l'une des doublures de Joe Biden.
Il a révélé qu'il avait déjà évalué "un homme qui ressemblait" à Joe Biden mais qui était en fait quelqu'un d'autre.
"M. O'Connor a déclaré que Xavier Becerra lui avait demandé d'effectuer un contrôle sur l'une des doublures de Joe Biden.
Il ne connaissait pas l'identité de l'homme, mais ce dernier avait apparemment subi une opération de chirurgie plastique sur son visage pour le faire ressembler davantage à Joe Biden.
Nous connaissons bien les masques plus vrais que nature, mais c'est la première fois que nous entendons parler de cette histoire.
O'Conner a déclaré qu'il avait prêté serment de garder le secret", a déclaré notre source.
En outre, il a déclaré aux enquêteurs qu'il avait du mal à croire que M. Biden s'était rendu à Vegas, car il avait l'impression que M. Biden se trouvait dans le Delaware lorsque le voyage a eu lieu.
Selon notre source, les aveux de M. O'Conner, bien qu'alambiqués et apparemment inventés, constituent un motif suffisant pour l'arrêter sous l'accusation d'escroquerie aux États-Unis d'Amérique et peut-être de trahison.
Son avenir est incertain ; O'Conner vit maintenant dans un centre de détention du JAG pendant que les enquêteurs s'efforcent de déterminer si le vrai Joe Biden est vivant ou mort.
Soit dit en passant, ce site a longtemps été critiqué pour avoir suggéré que Joe Biden était en vie, contrairement à d'autres médias alternatifs qui affirment qu'il est mort et parti depuis longtemps.
En outre, il a déclaré aux enquêteurs qu'il avait du mal à croire que M. Biden s'était rendu à Vegas, car il avait l'impression que M. Biden se trouvait dans le Delaware lorsque le voyage a eu lieu.
Selon notre source, les aveux de M. O'Conner, bien qu'alambiqués et apparemment inventés, constituent un motif suffisant pour l'arrêter sous l'accusation d'escroquerie aux États-Unis d'Amérique et peut-être de trahison.
Son avenir est incertain ; O'Conner vit maintenant dans un centre de détention du JAG pendant que les enquêteurs s'efforcent de déterminer si le vrai Joe Biden est vivant ou mort.
Soit dit en passant, ce site a longtemps été critiqué pour avoir suggéré que Joe Biden était en vie, contrairement à d'autres médias alternatifs qui affirment qu'il est mort et parti depuis longtemps.
Cependant, nous n'avons pas fait cette déclaration, mais nous avons seulement indiqué que nous n'avions pas encore de preuve irréfutable, concrète et indéniable de sa mort, comme l'ont fait les Chapeaux Blancs avec lesquels nous nous sommes entretenus ces quatre dernières années.
Compte tenu du tumulte politique actuel et du soin fastidieux apporté par l'État profond à l'orchestration des tromperies nationales, nous sommes toutefois plus enclins à croire que Joe le Dormeur a quitté ce monde il y a un certain temps, peut-être, comme le disent les Russes, après avoir accidentellement pénétré dans le bureau ovale et vu Barack Obama et Michael Robinson coïtalement entrelacés.
Par Michael Baxter le 26 juillet 2024 :
https://realrawnews.com/2024/07/military-arrests-bidens-doctor-for-conspiracy-to-defraud-the-united-states/
Compte tenu du tumulte politique actuel et du soin fastidieux apporté par l'État profond à l'orchestration des tromperies nationales, nous sommes toutefois plus enclins à croire que Joe le Dormeur a quitté ce monde il y a un certain temps, peut-être, comme le disent les Russes, après avoir accidentellement pénétré dans le bureau ovale et vu Barack Obama et Michael Robinson coïtalement entrelacés.
Par Michael Baxter le 26 juillet 2024 :
https://realrawnews.com/2024/07/military-arrests-bidens-doctor-for-conspiracy-to-defraud-the-united-states/