Les Fanatiques du Changement Climatique menacent désormais les Grandes Banques pour les Obliger à Cesser de Financer les Exploitations de Viande, de Produits Laitiers et d’Aliments pour Animaux !
La guerre contre l’approvisionnement alimentaire mondial s’intensifie et les principaux producteurs de viande et de produits laitiers sont désormais dans le collimateur.
Les mondialistes menacent désormais les grandes banques telles que Bank of America, Citigroup et la JPMorgan Chase, exigeant, au nom du changement climatique, que leurs services de prêt cessent de financer les exploitations de viande, de produits laitiers et d’aliments pour animaux dans le monde entier.
Au moins 105 organisations de lutte contre le changement climatique se sont réunies pour faire pression sur les grandes banques.
Le monde se rapproche de l’adoption d’un système financier qui donne la priorité aux crédits carbone et aux scores de crédit social qui répondent aux agendas politiques de gauche, aux quotas de l’IED et aux exigences des mondialistes qui cherchent à façonner notre mode de vie.
Le monde se rapproche de l’adoption d’un système financier qui donne la priorité aux crédits carbone et aux scores de crédit social qui répondent aux agendas politiques de gauche, aux quotas de l’IED et aux exigences des mondialistes qui cherchent à façonner notre mode de vie.
Les organisations de lutte contre le changement climatique exigent des transformations radicales qui vont affamer les populations !
Les principaux donateurs de la lutte contre le changement climatique soutiennent les organisations de lutte contre le changement climatique dans le monde entier.
Les principaux donateurs de la lutte contre le changement climatique soutiennent les organisations de lutte contre le changement climatique dans le monde entier.
Ces organisations agissent au nom de leurs donateurs en essayant de transformer radicalement l’approvisionnement alimentaire et l’infrastructure énergétique dans le monde entier.
Ces transformations radicales comprennent l’abandon des combustibles fossiles, la réduction de l’utilisation d’engrais et la fermeture des producteurs de viande et de produits laitiers dans le monde entier. L’objectif final est de réduire à zéro les émissions de carbone, même si les populations du monde entier doivent mourir de faim dans le processus.
Ces 105 organisations fantoches de lutte contre le changement climatique se sont réunies comme par magie pour faire pression sur les grandes banques afin qu’elles cessent de financer l’élevage industriel et la production laitière.
Ces 105 organisations fantoches de lutte contre le changement climatique se sont réunies comme par magie pour faire pression sur les grandes banques afin qu’elles cessent de financer l’élevage industriel et la production laitière.
La lettre tente de faire honte à ces institutions financières en affirmant qu’elles jouent un rôle dans "l’exacerbation de la crise climatique en soutenant les entreprises du secteur de la viande, des produits laitiers et de l’alimentation animale".
Ces organisations fantoches cherchent à mettre fin au financement d’entreprises telles que JBS S.A. (JBSAY), Tyson Foods Inc. (TSN), Cargill et Nestlé S.A. (NESN et NSRGY), entre autres, qui jouent un rôle déterminant dans la production de viande et de produits laitiers pour les supermarchés du monde entier.
La lettre condamne les impacts environnementaux de l’élevage industriel. Les signataires affirment que les émissions de l’industrie contribuent au réchauffement climatique et à la perte de biodiversité, tout en portant gravement atteinte au bien-être des animaux et aux droits de l’homme.
La lettre condamne les impacts environnementaux de l’élevage industriel. Les signataires affirment que les émissions de l’industrie contribuent au réchauffement climatique et à la perte de biodiversité, tout en portant gravement atteinte au bien-être des animaux et aux droits de l’homme.
Les signataires du coup d’État sur le changement climatique affirment que "l’élevage industriel est l’une des activités les plus destructrices pour notre planète".
"La plupart des émissions mondiales liées à l’alimentation et à l’agriculture proviennent de l’élevage, et des études ont montré que l’élevage mondial utilisera près de la moitié du budget mondial d’émissions de 1,5°C d’ici à 2030 et 80% d’ici à 2050", peut-on lire dans la lettre.
"La plupart des émissions mondiales liées à l’alimentation et à l’agriculture proviennent de l’élevage, et des études ont montré que l’élevage mondial utilisera près de la moitié du budget mondial d’émissions de 1,5°C d’ici à 2030 et 80% d’ici à 2050", peut-on lire dans la lettre.
La lettre ne présente pas de plan de conservation et ne propose pas de solution pour éliminer les polluants et les produits chimiques toxiques de l’approvisionnement alimentaire.
La lettre indique que l’arrêt de l’expansion de l’élevage industriel est "l’une des actions les plus positives pour le climat que les banques puissent prendre".
La lettre indique que l’arrêt de l’expansion de l’élevage industriel est "l’une des actions les plus positives pour le climat que les banques puissent prendre".
À l’unisson, les organisations de la ruche demandent : "En continuant à financer les entreprises du secteur de la viande, des produits laitiers et de l’alimentation animale, les banques se rendent complices du changement climatique et de la dégradation de l’environnement, sapant ainsi leurs propres engagements en matière de climat."
Les Crédits Carbone et les Notes de Crédit Social ne sont pas loin !
Les responsables du coup d’État sur le changement climatique font valoir que les entreprises du secteur de la viande, des produits laitiers et de l’alimentation animale ont eu accès à 615 milliards de dollars de crédit depuis la signature de l’Accord de Paris sur le climat.
Les responsables du coup d’État sur le changement climatique font valoir que les entreprises du secteur de la viande, des produits laitiers et de l’alimentation animale ont eu accès à 615 milliards de dollars de crédit depuis la signature de l’Accord de Paris sur le climat.
La lettre s’adresse spécifiquement à 58 banques qui ont financé la production de viande et de produits laitiers, 70% du financement total de la viande et des produits laitiers allant à des installations qui produisent des émissions de méthane.
Ces organisations demandent que les banques reconnaissent la production industrielle de bétail comme "hautement émettrice" et réduisent les prêts agricoles, obligeant les clients à divulguer et à adhérer à des objectifs climatiques vérifiés.
Ces organisations demandent que les banques reconnaissent la production industrielle de bétail comme "hautement émettrice" et réduisent les prêts agricoles, obligeant les clients à divulguer et à adhérer à des objectifs climatiques vérifiés.
En outre, elles demandent qu’aucun nouveau financement ne soit autorisé pour l’élevage.
Au lieu de cela, ils veulent obliger les producteurs de viande à s’attaquer à des problèmes sociaux et environnementaux plus vastes en payant, en substance, des amendes pour le changement climatique.
À l’avenir, les clients pourraient recevoir des crédits carbone pour récompenser leur respect de ce programme hystérique et radical de lutte contre le changement climatique.
"Notre analyse montre de manière alarmante que le financement de ces entreprises polluantes est en hausse, malgré les avertissements des scientifiques selon lesquels les émissions mondiales du bétail doivent commencer à diminuer fortement", a déclaré Martin Bowman, responsable principal des politiques et des campagnes chez Feedback Global.
"Notre analyse montre de manière alarmante que le financement de ces entreprises polluantes est en hausse, malgré les avertissements des scientifiques selon lesquels les émissions mondiales du bétail doivent commencer à diminuer fortement", a déclaré Martin Bowman, responsable principal des politiques et des campagnes chez Feedback Global.
"Les entreprises d’élevage industriel sont incompatibles avec un avenir sûr pour notre planète.
Il est donc temps pour les banques et les investisseurs de fermer les robinets et de cesser de fournir les financements qui leur permettent de se développer.
Le plan de lutte contre le changement climatique n’est rien d’autre qu’une démolition de l’approvisionnement alimentaire, sans aucun plan de transition pour introduire des alternatives.
Le plan de lutte contre le changement climatique n’est rien d’autre qu’une démolition de l’approvisionnement alimentaire, sans aucun plan de transition pour introduire des alternatives.
En effet, l’alternative consiste à imposer des restrictions sur la viande et les produits laitiers à tout le monde, en commençant par des prix élevés pour les vrais aliments.
Ces contrôles se transformeront en crédits carbone pour les producteurs qui se conforment aux programmes de lutte contre le changement climatique, les banques n’autorisant le financement que pour les clients qui adhèrent à l’hystérie du changement climatique.
L’infrastructure alimentaire restante favorisera les riches et les personnes bien informées, tandis que les insectes, les aliments ultra-transformés et les souches de viande synthétique seront réservés au commun des mortels.
Traduction de Natural News par Aube Digitale
Partagé par Jade le 21 septembre 2024 :
https://www.aubedigitale.com/les-fanatiques-du-changement-climatique-menacent-desormais-les-grandes-banque/
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