samedi 12 avril 2025

La Grande Invasion des Mondialistes !

La Grande Invasion des Mondialistes : Ces titans n'ont qu'un seul objectif : la domination de la race humaine par une Dictature !  


La moitié des pays industrialisés marchent inexorablement vers l’autoritarisme. 
Dans leur quête de changement, les citoyens votent souvent contre leurs propres intérêts et regardent sans rien faire les institutions démocratiques clés être sapées et démantelées. 
Il y a encore de l’espoir, mais l’espoir seul n’est pas une stratégie. 
Si nous voulons empêcher la montée du fascisme, nous devons utiliser activement précisément les droits qui sont aujourd’hui menacés : le droit à la liberté d’expression, le droit de réunion, le droit de vote. 
Même le droit de porter des armes a été créé à l’origine pour empêcher la tyrannie. 
Mais malheureusement, une partie importante de la société est trop occupée à regarder Netflix ou à suivre de faux dieux pour arrêter la désintégration démocratique. 
Comme le montrent les manifestations en France ces derniers mois, ces droits peuvent être utilisés – si l’on a le courage de le faire. 
La question de savoir si nous allons profiter de cette opportunité reste ouverte. 
Mais une fois le seuil de l’autoritarisme franchi, il n’y a plus de retour en arrière. 
Le salut n’est alors plus une option. 
Qu’est-ce qui nous attend dans une dictature ? 
Et comment peux-tu survivre ?
"À la Gestapo, je voyais chaque jour comment les gens étaient brisés par la terreur. 
J'ai moi-même vécu l'expérience d'être écrasé par cette machine. 
C'était monstrueux. On n'était plus humain." 

La vie sous un régime autoritaire ! 
Les régimes autoritaires gouvernent par la peur. 
La surveillance complète – d’en haut et d’en bas – est leur instrument central de pouvoir. 
En Corée du Nord, par exemple, le contrôle est total. 
Le système s’appuie sur un vaste réseau d’informateurs, et même les conversations privées ne sont pas sécurisées. 
Les citoyens doivent assister à des séances hebdomadaires d’autocritique au cours desquelles ils sont censés confesser même les plus petits actes de déloyauté. 
L’opposition est punie sans pitié – souvent par l’arrestation, la torture ou même l’exécution. 
La peur est omniprésente. 
Une atmosphère similaire a été créée sous le Troisième Reich. 
La Gestapo a activement appelé la population à les dénoncer – même les amis et les membres de la famille ont été trahis. 
Cette stratégie a déchiré le tissu social et créé un état de peur collective.
"Nous étions tous habitués à vivre dans un état de peur constant, et c'est pourquoi nous manquions toujours d'argent. 
La peur est l'activité la plus chronophage qui soit."

Un moyen particulièrement efficace est l’aliénation sociale ciblée. 
Toute personne ayant une opinion différente est systématiquement isolée, que ce soit par la censure, la propagande ou les menaces. 
Le contrôle des médias est donc un élément central de toute dictature. 
En Union soviétique, le flux d’informations était entièrement contrôlé par l’État. 
Les journalistes qui ont dévié ont disparu dans les goulags ou ont été assassinés. 
La propagande glorifiait le parti et diabolisait ses ennemis. 
Il n’y avait pas d’alternative – seulement la version officielle de la vérité partout. 
En Chine aujourd’hui, le Grand Pare-feu assure un isolement similaire. Seules les informations approuvées parviennent au public. 
Le contenu qui ne convient pas est censuré, supprimé – ou l’expéditeur est poursuivi.

Joseph Goebbels, ministre de la Propagande du régime nazi, a déclaré :
"Si vous répétez un mensonge assez souvent, il devient la vérité. […] 
La vérité est le plus grand ennemi du mensonge – et donc le plus grand ennemi de l’État." 
La propagande nazie a ainsi créé un climat de haine et de peur qui a profondément rongé la société, comme c’est le cas aujourd’hui dans de nombreux autres États autoritaires. 
La résistance est-elle vaine ? Ou le devoir ? 
Mais la propagande seule ne suffit pas. 
Quiconque s’oppose ouvertement est déclaré ennemi. 
Des dissidents disparaissent en Chine. 
En Russie, les journalistes sont empoisonnés ou abattus. 
En Corée du Nord, un seul mot de travers suffit à vous envoyer dans un camp de prisonniers. 
En Chine, nous vivons dans une véritable prison. 
La surveillance est omniprésente, et c'est la peur de ce qui pourrait arriver qui nous maintient sous contrôle. 

Stratégies de survie ! 
Survivre signifie souvent s’adapter. 
Beaucoup de gens ne se rebellent pas parce qu’ils veulent simplement vivre en paix avec leur famille. 
Dans l’Allemagne nazie, beaucoup ont fait preuve d’une loyauté extérieure, par peur. 
En Chine, un crédit social élevé garantit de bons emplois et la liberté, tandis qu’un crédit social faible entraîne des sanctions. 
Les gens suivent donc des règles qu’ils rejettent intérieurement. 
Même dans des États autoritaires comme la Russie ou le Chili, les entrepreneurs obtiennent des avantages économiques grâce à l’adaptation. 
Mais malheur à eux s’ils perdent la faveur du régime : alors tout sera fini. 
En Corée du Nord, nous n'avions pas le luxe de penser par nous-mêmes. Le régime réfléchissait à notre place, et si nous résistions, nous étions punis. 
Mais tout le monde ne reste pas silencieux. Certains résistent. 
En Union soviétique, les livres étaient secrètement copiés (samizdat) pour diffuser des informations. 
Des clés USB contenant des films occidentaux sont introduites clandestinement en Corée du Nord. Un petit rayon de lumière dans l'obscurité totale.

Comment survivre à une dictature ? 
1 - Restez informé : utilisez des sources d’information diverses et crédibles, y compris celles provenant de l’étranger.
2 - Sécurité numérique : Communication sécurisée avec Signal, ProtonMail, VPN.
3 - Créer des réseaux : des contacts de confiance sont essentiels à la survie.
4 - Sécurisez vos documents importants : Sous forme numérique ou physique – bien cachés.
5 - Apprenez les techniques de survie : premiers secours, stockage, culture de nourriture.
6 - Sécurisez vos finances : Investissez vos actifs dans des devises stables ou des métaux précieux.
7 - Élaborer une stratégie d'évasion : papiers valides, contacts sécurisés à l'étranger, plan d'urgence.

Si vous voulez vraiment survivre, vous devez vous camoufler, vous adapter et sauver les apparences. 
Tout le monde n’a pas le courage de résister ouvertement, mais tout le monde peut se préparer.

Conclusion ! 
Nous avons toujours notre voix. 
Nous avons toujours le droit de voter. 
Nous sommes toujours libres de lire ce texte. 
Utilisons cette liberté – avant qu’elle ne nous soit retirée.