L'Identité Numérique comme Arme Universelle de Soumission et d'Esclavage : la Grande-Bretagne montre la Voie et toute l'Europe suivra !

Alors que l’opinion publique se concentre sur les débats sur les migrations, les guerres et les inquiétudes concernant l’inflation, les politiciens travaillent – en grande partie inaperçus – sur un système qui pourrait fondamentalement changer la relation entre les citoyens et l’État : l’introduction généralisée de l’identité numérique .
Ce qui est actuellement mis en avant en Grande-Bretagne sous le prétexte de "lutter contre l’immigration illégale" est en réalité un projet pilote à l’échelle européenne visant à l’enregistrement et au contrôle total de la population.
Grande-Bretagne : l’identité numérique contre "l’immigration illégale"
Dans une lettre ouverte, une quarantaine de députés travaillistes britanniques appellent à la mise en place d'un système national d'identité numérique qui serait attribué à chaque citoyen à la naissance.
Cette pièce d’identité doit couvrir tous les domaines de la vie : prestations sociales, éducation, médecine, finances, emploi.
Raison : C’est la seule façon de prévenir efficacement l’immigration illégale.
Mais si vous regardez de plus près, vous verrez que la migration n’est qu’un prétexte – l’objectif est l’ enregistrement et le contrôle complets de la population.
L’identité numérique est vendue comme un outil universel capable de résoudre tout type de "problème" social :
- Cela est censé empêcher la fraude électorale.
- Il vise à protéger les enfants sur Internet.
- Cela peut arrêter les pandémies.
- Cela réduit la criminalité.
- Cela réduit l’absentéisme scolaire et la fraude à l’aide sociale.
- Et – bien sûr – c’est « bon pour l’économie ».
Un couteau suisse numérique pour l’administration – et les citoyens ? Il devient un numéro transparent , entièrement numérisé et radiographié.
L’UE planifie depuis longtemps d’autres mesures !
Ce qui commence en Grande-Bretagne est depuis longtemps devenu une politique de l’UE.
Sous le slogan "Portefeuille d’identité numérique de l’UE", la Commission européenne vise à fournir à chaque citoyen de l’UE une carte d’identité numérique d’ici 2030 , qu’il devra utiliser pour s’identifier auprès des autorités, des banques, des employeurs et des services en ligne, le tout via une application centrale.
L’argument est similaire à celui des Britanniques : efficacité, sécurité, protection des données, modernisation.
Mais en réalité, on crée un gigantesque instrument de contrôle qui peut être lié aux données de santé (par exemple, le statut vaccinal), aux informations bancaires, aux localisations et aux profils sociaux.
Ce qui ressemble à une commodité ("N’oubliez plus jamais votre passeport ou votre permis de conduire !") est en réalité l’entrée dans un système dans lequel chaque action peut être documentée numériquement, évaluée et, si nécessaire, sanctionnée – voir le système de crédit social chinois.
Les pays non membres de l’UE suivent également le mouvement, notamment la Suisse !
La Suisse, officiellement neutre et souveraine, fait depuis longtemps partie de cet agenda. L' E-ID , qui a été votée en 2021 et qui a échoué à l'époque en raison de problèmes de protection des données, est maintenant réintroduite sous une forme révisée - cette fois contrôlée par l'État au lieu de fournisseurs privés, mais avec la même infrastructure.
L’Autriche, la Norvège, l’Islande – tous travaillent vers le même objectif : l’identité numérique comme clé d’accès à la vie quotidienne.
Sans pièce d’identité, il n’y a pas de services en ligne, pas de soins médicaux, pas d’accès aux bureaux gouvernementaux ou aux comptes bancaires.
Qu'est-ce qui se cache réellement derrière ?
Officiellement, l’identité numérique sert à protéger, mais en réalité, elle sert également à surveiller, contrôler et discipliner la population.
Toute personne ayant accès à l’infrastructure d’identification numérique peut :
- Surveiller les citoyens en temps réel
- Paiements en bloc, par exemple B. dans le cas de personnes politiquement "visibles" !
- Restreindre les déplacements
- Appliquer la vaccination ou l'état de santé
- Révoquer l'accès en ligne
Un tel système rend la censure, la répression politique et l’exclusion économique non seulement possibles, mais techniquement triviales.
Conclusion : Le contrôle au nom de la sécurité !
Ce qui commence par « protection contre l’immigration illégale » est en réalité un déploiement mondial de surveillance numérique.
L’identité numérique nous est vendue comme un progrès, mais en réalité elle sert un nouveau paradigme de gouvernement : la confiance est remplacée par le contrôle.
Le citoyen transparent n’est plus un cauchemar dystopique – c’est une réalité politiquement souhaitée, et elle ne commence pas par un big bang , mais par un sourire amical :
"Nous voulons juste que vous soyez en sécurité."