vendredi 29 août 2025

3 Études Négatives sur l'ARNm du Covid !

Trois études évaluées par des pairs appellent au Retrait Immédiat des Injections d'ARNm contre la COVID car elles sont Dangereuses, Inefficaces, Contaminées et Violent le Droit International !



Les preuves internationales sont claires : les injections d’ARNm sont dangereuses, inefficaces, contaminées et violent le droit international.

Nicolas Hulscher, MPH

Introduction

Au cours des dernières 48 heures, deux nouveaux articles évalués par des pairs ont été publiés : l’un au Japon et l’autre par une équipe internationale de médecins et de chercheurs, dont des membres de la Fondation McCullough.

Ces études font directement suite à un article de base évalué par des pairs publié plus tôt cette année, qui détaillait les arguments en faveur d’une fin immédiate des programmes d’injection d’ARNm.

La conclusion commune des trois études :
les injections d'ARNm modifiées contre la COVID-19 sont dangereuses, inefficaces, contaminées et contraires au droit international.
Il s'agit désormais de l'argument scientifique et éthique le plus solide à ce jour en faveur d'un retrait immédiat et mondial de ces produits. 


Étude 1 : Injections contre la COVID-19 : préjudices et dommages ! 

Auteurs : Andrew Zywiec, Irene Mavrakakis, Peter McCullough, Nicolas Hulscher, Aaron Kheriaty, Paul Marik, James Thorp, Marivic Villa, Charles Rixey, Lt. Edward Macie, Abraxas Hudson – Journal of American Physicians and Surgeons, août 2025

Principaux résultats

  • Analyse génomique médico-légale : Le SARS-CoV-2 et les injections d'ARNm présentent des signes de manipulation artificielle (site de clivage de la furine, inserts de type VIH, motifs superantigènes SEB, épitope ENaC, récepteurs DC-SIGN). Ces caractéristiques correspondent au projet DARPA DEFUSE de 2018. Anthony Fauci et Jeremy Farrar auraient tenté de supprimer toute discussion sur ces éléments (« origine proximale ») lors d'une conférence téléphonique le 1er février 2020.
  • Évaluation de l’OTAN : le SARS-CoV-2 a été classé par les scientifiques de l’OTAN comme le quatrième candidat à l’arme biologique le plus attractif parmi 34 agents pathogènes.
  • Convention sur les armes biologiques : Le virus et les injections violent tous deux la Convention internationale sur les armes biologiques (CAB).

Dommages documentés

  • Cardiovasculaire : +510% myocardites (cohorte 99 millions), +286% infarctus, +240% accidents vasculaires cérébraux, +199% arythmies (cohorte 85 millions).
  • Autopsies : Dans 325 cas, un lien direct entre la vaccination et le décès a probablement été confirmé.
  • Espérance de vie : les personnes vaccinées deux fois ont perdu 37 % de leur espérance de vie dans les études de suivi.
  • Fertilité : Rapport Pfizer 2021 : taux de fausses couches de 81 % en début de grossesse ; une nouvelle analyse du NEJM confirme un taux de perte de 82%. Les mortinaissances et les décès néonatals ont augmenté de façon spectaculaire.
  • Système immunitaire : 90% des retraités vaccinés présentaient des réactivations virales latentes (EBV, CMV, HHV-6, HSV, Borrelia). Environ 75% présentaient des marqueurs auto-immuns.
  • Cancer : Augmentation des tumeurs agressives (digestives, cérébrales, mammaires), associée à une tolérance aux IgG4, un dysfonctionnement de p53, une contamination de l'ADN et une modification défectueuse des nucléosides.
  • Militaire : La base de données épidémiologiques médicales de la Défense (DMED) a montré, entre autres, une augmentation de 153% des myocardites (2023), de 46% des cancers du tube digestif, de 262% de l'obésité, de 867% des blessures par chute et de 85% des idées suicidaires et homicides. Près de 95.000 soldats ont quitté l'armée en raison des vaccinations obligatoires, ce qui représente un risque pour leur préparation opérationnelle.

Conclusion : 

La réponse à la COVID-19 a violé les principes fondamentaux de santé publique, d'autonomie corporelle et d'éthique médicale.
Les preuves accablantes de l'origine artificielle du SARS-CoV-2 et des conséquences sanitaires catastrophiques des produits biologiques à ARNm démontrent une conception délibérée et des dommages systémiques.

Les dissimulations coordonnées, les évasions de responsabilité et les défaillances des gouvernements ont aggravé la catastrophe sanitaire mondiale.
Les conséquences – des maladies auto-immunes et des cancers agressifs à la perte de fertilité et aux décès d'origine cardiovasculaire – exigent l' arrêt immédiat de tous les vaccins à ARNm et produits biologiques . 


Étude 2 : Évaluation réglementaire et de sécurité au Japon ! 

Auteurs : Jun Ueda, Miki Gibo, Takayuki Kikuchi, Yuriko Hirai, Mariko Miyokawa, Isamu Shima, Shinichiro Kodama, Masanori Fukushima – Science, politique et droit de la santé publique, août 2025

Principaux résultats

  • Vaccination de masse sans contrôle : 103,46 millions de Japonais (79,5% de la population) ont reçu des vaccins à ARNm LNP – sans examen national de sécurité.
  • Classification incorrecte : La PMDA a examiné les vaccins à ARNm conformément aux directives sur les vaccins plutôt qu'aux normes plus strictes de la thérapie génique.
  • Études de sécurité ignorées : Aucune étude sur la biodistribution, la toxicité organique, la cancérogénicité, la génotoxicité, le transfert placentaire, la toxicité fœtale ou la sécurité à long terme.
  • Omicron XBB.1.5 : approuvé sans essais cliniques – basé uniquement sur les données relatives aux anticorps.
  • Risques cachés : La myocardite, la thrombose, les complications auto-immunes et de grossesse n'étaient pas mentionnées dans les notices.
  • Données de mortalité supprimées : les documents gouvernementaux ont montré une mortalité plus élevée parmi les personnes vaccinées, mais le public a reçu des informations contraires.
  • Contamination de l'ADN : des fragments d'ADN plasmidique, y compris des promoteurs SV40, ont été détectés dans des flacons Pfizer/Moderna – non déclarés par les autorités.
  • Nouvelles plateformes : le Japon développe déjà des vaccins à ARNsa (par exemple, ARCT-154), malgré les preuves de persistance et de transmission fœtale dans les études animales.
  • Violations légales : PMDA et MHLW ont violé les lois nationales, le devoir de fournir des informations et le droit à la santé et à l’autodétermination.

Conclusion : 

Les risques des vaccins génétiques dépassent largement leurs bénéfices théoriques.
Les données réelles montrent une mortalité accrue, une efficacité réduite, une contamination de l'ADN et des risques auto-immuns, dépassant largement les critères de rappel de la FDA.
Par conséquent, l'autorisation doit être révoquée et les vaccins immédiatement retirés du marché. 


Étude 3 : Bilan de la situation mondiale (janvier 2025)

Auteurs : Nicolas Hulscher, Mary T. Bowden, Peter A. McCullough – Science, politique de santé publique et droit, janvier 2025

Principaux résultats

  • Plus de 81 000 professionnels de la santé, scientifiques et citoyens , 240 représentants du gouvernement, 17 organisations professionnelles et deux partis politiques d’État américains appellent au retrait.
  • VAERS : 19.028 décès officiellement signalés ; estimation : jusqu'à 589.000 aux États-Unis.
  • Dans le monde : on estime que le nombre de décès pourrait atteindre 17 millions.
  • Surmortalité : la plus élevée dans les pays où les taux de vaccination sont élevés (États-Unis, Europe, Australie).
  • Efficacité négative : les personnes vaccinées présentent un risque d’infection plus élevé, en particulier après les doses de rappel.
  • Contamination de l'ADN : Confirmée dans 11 rapports, valeurs jusqu'à 65.500% au-dessus de la limite.
  • Seuils de rappel : Les vaccins précédents ont été arrêtés après quelques dizaines de décès – les vaccinations contre la COVID sont jusqu'à 375.000% plus élevées.

Conclusion : 

Les vaccins contre la COVID-19 ont largement dépassé les critères de rappel de classe I de la FDA.
Ils ne parviennent pas à réduire la transmission, les hospitalisations ni les décès dans les études validées.
Leur utilisation continue contredit le serment d'Hippocrate. 


Quintessence commune des trois études !

  • Dangereux, inefficace, contaminé, illégal.
  • Les régulateurs ont ignoré les tests de sécurité, dissimulé des dommages et approuvé des produits impropres à l’usage humain.
  • Les arguments scientifiques, éthiques et juridiques en faveur d’un retrait mondial immédiat sont accablants.

Revendications :

  1. Tous les produits génétiques COVID-19 doivent être retirés du marché immédiatement.
  2. Les plateformes d’ARNm auto-amplificatrices (saRNA) doivent être arrêtées.
  3. Une enquête internationale dans le cadre de la Convention sur les armes biologiques est nécessaire. 


Mot de clôture ! 

Alors que les autorités réglementaires du monde entier continuent d'approuver et de distribuer des injections d'ARNm, celles-ci continuent de nuire et de causer la mort de leurs populations.
Il est temps de nous placer du bon côté de l'histoire, sous peine d'être perçus par les générations futures comme complices de l'une des plus grandes tragédies de notre époque.

La Fondation McCullough annonce sa lutte continue pour la vérité, la responsabilité et le rétablissement de la santé publique – et demande votre soutien : 

https://uncutnews.ch/drei-von-experten-begutachtete-studien-fordern-die-sofortige-ruecknahme-der-covid-mrna-injektionen/