Le Laboratoire Secret BioHub de l’OMS, en Suisse à Spiez, stockerait de Nombreux Agents Pathogènes, qui pourraient être utilisés pour Provoquer des Pandémies afin d'Augmenter le Pouvoir de l'OMS !

Laboratoire secret de l'OMS à Spiez : révélations et questions ouvertes
Le laboratoire BioHub de l'OMS à Spiez, en Suisse, suscite depuis longtemps la controverse.
Christian Oesch, membre de l'organisation à but non lucratif "Wir", et son équipe ont mené des recherches qui soulèvent des questions controversées sur le fonctionnement et la transparence du laboratoire.
Dans une interview, Oesch éclaire le contexte et révèle des liens possibles avec le Règlement sanitaire international (RSI) et les structures de pouvoir mondiales. Voici un aperçu des principales conclusions.
Découverte du BioHub de l'OMS à Spiez !
Oesch et son équipe ont découvert le BioHub de l'OMS début 2023 alors qu'ils effectuaient des recherches sur le Règlement sanitaire international et le Traité de l'OMS sur les pandémies.
Découverte du BioHub de l'OMS à Spiez !
Oesch et son équipe ont découvert le BioHub de l'OMS début 2023 alors qu'ils effectuaient des recherches sur le Règlement sanitaire international et le Traité de l'OMS sur les pandémies.
Un document de l'OMS indiquait que le laboratoire de Spiez était un lieu central pour un système mondial de distribution des agents pathogènes.
Il est particulièrement frappant que le laboratoire ait été créé sans large débat public, ce qui soulève des questions de transparence.
Il est particulièrement frappant que le laboratoire ait été créé sans large débat public, ce qui soulève des questions de transparence.
"Pourquoi y a-t-il si peu de reportages critiques sur ce sujet en Suisse ?" s'interroge Oesch, invoquant un "black-out médiatique".
Histoire et fonction du laboratoire de Spiez !
Le Laboratoire de Spiez trouve son origine dans la lutte contre les armes chimiques pendant la Première Guerre mondiale et a été fondé en 1925 sous le nom d'Institut Fédéral pour la Protection contre les Risques NBC (atomiques, biologiques et chimiques).
Le Laboratoire de Spiez trouve son origine dans la lutte contre les armes chimiques pendant la Première Guerre mondiale et a été fondé en 1925 sous le nom d'Institut Fédéral pour la Protection contre les Risques NBC (atomiques, biologiques et chimiques).
Dans les années 1940 et 1950, ses activités ont été élargies pour inclure des fonctions de protection chimique et nucléaire, et en 2010, il a été élevé au niveau de biosécurité le plus élevé (BSL-4).
Aujourd'hui, le laboratoire effectue des analyses et des diagnostics d'agents et de toxines hautement pathogènes, produit des agents de guerre chimique en petites quantités à des fins de référence et teste des systèmes de protection contre les menaces CBRNE (chimiques, biologiques, radiologiques, nucléaires, explosives).
Depuis mai 2021, le laboratoire sert de BioHub de l'OMS, une plateforme centrale pour le stockage, la caractérisation et la distribution mondiale des agents pathogènes à potentiel épidémique ou pandémique.
Aujourd'hui, le laboratoire effectue des analyses et des diagnostics d'agents et de toxines hautement pathogènes, produit des agents de guerre chimique en petites quantités à des fins de référence et teste des systèmes de protection contre les menaces CBRNE (chimiques, biologiques, radiologiques, nucléaires, explosives).
Depuis mai 2021, le laboratoire sert de BioHub de l'OMS, une plateforme centrale pour le stockage, la caractérisation et la distribution mondiale des agents pathogènes à potentiel épidémique ou pandémique.
Officiellement, cette initiative vise à accélérer l'échange d'agents pathogènes à des fins de recherche, de diagnostic et de développement de vaccins.
Mais Oesch voit plus loin : "Le laboratoire sélectionne et optimise des agents pathogènes vivants, les stocke à -80°C et les distribue dans le monde entier. Les données, y compris les séquences génomiques, sont stockées dans les bases de données de l'OMS."
Il s’inquiète du manque de contrôle parlementaire en Suisse et du lien avec la recherche controversée sur le gain de fonction, qui peut délibérément rendre les agents pathogènes plus infectieux ou résistants.
Mais Oesch voit plus loin : "Le laboratoire sélectionne et optimise des agents pathogènes vivants, les stocke à -80°C et les distribue dans le monde entier. Les données, y compris les séquences génomiques, sont stockées dans les bases de données de l'OMS."
Il s’inquiète du manque de contrôle parlementaire en Suisse et du lien avec la recherche controversée sur le gain de fonction, qui peut délibérément rendre les agents pathogènes plus infectieux ou résistants.
Manque de transparence et communication tardive !
Ce n'est que le 20 juin 2025 que le laboratoire Spiez a publié une communication sur le BioHub de l'OMS, alors même qu'il existait depuis 2021.
Ce n'est que le 20 juin 2025 que le laboratoire Spiez a publié une communication sur le BioHub de l'OMS, alors même qu'il existait depuis 2021.
"Cette communication tardive soulève des questions", déclare Oesch.
Il soupçonne que des informations ont été délibérément dissimulées, peut-être pour protéger la réputation du pays ou éviter les critiques.
Il soupçonne que des informations ont été délibérément dissimulées, peut-être pour protéger la réputation du pays ou éviter les critiques.
La population et le Parlement Suisses n'ont pas été interrogés sur leur soutien à la création d'un centre mondial pour les agents pathogènes à haut risque sur leur territoire.
Oesch y voit un "principe de transparence de dernière minute".
Toiles d'araignées mystérieuses et armes biologiques !
L'équipe d'Oesch étudie également de mystérieux fils blancs trouvés dans les jardins d'Europe centrale et qui ressemblent à des toiles d'araignée.
Des tests en laboratoire ont montré que ces fils contiennent des cavités remplies de plus de 50 substances, dont certaines toxiques.
L'équipe d'Oesch étudie également de mystérieux fils blancs trouvés dans les jardins d'Europe centrale et qui ressemblent à des toiles d'araignée.
Des tests en laboratoire ont montré que ces fils contiennent des cavités remplies de plus de 50 substances, dont certaines toxiques.
Certaines substances ne sont même pas répertoriées dans les bases de données internationales.
Des brevets de 2013 indiquent que ces fils ont été développés pour des applications en agriculture, en médecine ou en biologie.
Des brevets de 2013 indiquent que ces fils ont été développés pour des applications en agriculture, en médecine ou en biologie.
Oesch soupçonne qu'ils pourraient être distribués par drones ou avions et évoque d'éventuels liens avec le développement d'armes biologiques.
L'association a demandé des éclaircissements au Conseil fédéral suisse, mais sa demande a été rejetée.
L'association a demandé des éclaircissements au Conseil fédéral suisse, mais sa demande a été rejetée.
Liens avec les organisations internationales !
Le Laboratoire Spiez entretient des liens étroits avec l'Hôpital de l'Île de Berne, où les patients soumettent des formulaires de consentement général pour la divulgation de leurs échantillons biologiques à des fins de recherche.
Le Laboratoire Spiez entretient des liens étroits avec l'Hôpital de l'Île de Berne, où les patients soumettent des formulaires de consentement général pour la divulgation de leurs échantillons biologiques à des fins de recherche.
Ces échantillons, y compris les données génétiques, peuvent être partagés avec des partenaires internationaux sans révocation.
Depuis 2021, l'Inselspital exploite une biobanque de niveau BSL-3 qui crée des génomes synthétiques d'agents pathogènes à haut risque.
Depuis 2021, l'Inselspital exploite une biobanque de niveau BSL-3 qui crée des génomes synthétiques d'agents pathogènes à haut risque.
Oesch la considère comme un "centre névralgique biopolitique" fonctionnant sans légitimité démocratique.
La Suisse, en tant que siège de l'OMS, de l'Alliance Mondiale pour les Vaccins (GAVI) et d'autres organisations internationales, bénéficie d'un statut particulier.
La Suisse, en tant que siège de l'OMS, de l'Alliance Mondiale pour les Vaccins (GAVI) et d'autres organisations internationales, bénéficie d'un statut particulier.
Ces organisations sont protégées de la juridiction Suisse par l'immunité diplomatique, ce qui rend toute surveillance difficile.
Oesch critique le fait que l'OMS contourne les contrôles démocratiques avec le BioHub et le nouveau Règlement Sanitaire International (RSI), qui ont été adoptés par le Conseil Fédéral le 20 juin 2025, sans l'implication du Parlement.
Une pétition avec près de 50.000 signatures et plus de 1 800 soumissions dans le cadre du processus de consultation a été ignorée.
Oesch critique le fait que l'OMS contourne les contrôles démocratiques avec le BioHub et le nouveau Règlement Sanitaire International (RSI), qui ont été adoptés par le Conseil Fédéral le 20 juin 2025, sans l'implication du Parlement.
Une pétition avec près de 50.000 signatures et plus de 1 800 soumissions dans le cadre du processus de consultation a été ignorée.
Recherche sur les gains de fonction et armes biologiques !
La recherche sur le gain de fonction, qui permet de rendre délibérément les agents pathogènes plus dangereux, est autorisée en Suisse mais soumise à des réglementations strictes.
Oesch craint que le laboratoire de Spiez ne serve de terrain neutre pour de telles expériences.
La recherche sur le gain de fonction, qui permet de rendre délibérément les agents pathogènes plus dangereux, est autorisée en Suisse mais soumise à des réglementations strictes.
Oesch craint que le laboratoire de Spiez ne serve de terrain neutre pour de telles expériences.
Il cite des laboratoires biologiques ukrainiens financés par les États-Unis et spécule que des agents pathogènes à haut risque pourraient être délocalisés en Suisse.
"La Suisse pourrait devenir une plaque tournante pour les armes biologiques", prévient-il.
"La Suisse pourrait devenir une plaque tournante pour les armes biologiques", prévient-il.
Coopération internationale et Dr Mary Nass !
Oesch travaille avec le Dr Mary Nass, une experte américaine en guerre biologique associée à Robert F. Kennedy Jr. Nass a beaucoup travaillé avec l'OMS et le BioHub.
Oesch espère que cette collaboration attirera l'attention internationale sur Spiez, d'autant plus que les États-Unis ont réduit le financement de l'OMS et veulent mettre un terme à la recherche sur le gain de fonction.
"Nous voulons apporter la vague de l’étranger en Suisse", explique Oesch.
Oesch travaille avec le Dr Mary Nass, une experte américaine en guerre biologique associée à Robert F. Kennedy Jr. Nass a beaucoup travaillé avec l'OMS et le BioHub.
Oesch espère que cette collaboration attirera l'attention internationale sur Spiez, d'autant plus que les États-Unis ont réduit le financement de l'OMS et veulent mettre un terme à la recherche sur le gain de fonction.
"Nous voulons apporter la vague de l’étranger en Suisse", explique Oesch.
Conclusion : Un jeu de pouvoir mondial ?
Oesch considère le BioHub de l’OMS non pas comme un pur projet de recherche, mais comme un "pôle stratégique dans le jeu de pouvoir mondial de la santé et du contrôle".
La récente modification de l’ordonnance allemande sur les licences de médicaments (AMBVau) de mars 2025 permet aux organisations internationales telles que l’OMS d’importer des médicaments sans contrôle, sans responsabilité ni contrôle démocratique.
Cela rappelle le modèle GAVI qui, selon Oesch, distribue des milliards de doses de vaccins aux pays en développement sans réglementation adéquate.
"Il ne s’agit pas de santé, mais de pouvoir, de marché et de l’érosion progressive du contrôle démocratique", conclut Oesch.
Son association prévoit de continuer à exercer une pression, éventuellement par le biais d'un référendum sur la loi sur les épidémies. Selon Oesch, la Suisse doit recouvrer sa souveraineté pour ne plus servir "d'exécutant" des structures de pouvoir mondiales.
De plus amples informations sur les recherches de l’association "Wir" sont disponibles sur le site vereinwir.ch , notamment sous la rubrique "Spider Threads".
https://uncutnews.ch/das-who-geheimlabor-in-der-schweiz-unglaubliche-fakten/
Oesch considère le BioHub de l’OMS non pas comme un pur projet de recherche, mais comme un "pôle stratégique dans le jeu de pouvoir mondial de la santé et du contrôle".
La récente modification de l’ordonnance allemande sur les licences de médicaments (AMBVau) de mars 2025 permet aux organisations internationales telles que l’OMS d’importer des médicaments sans contrôle, sans responsabilité ni contrôle démocratique.
Cela rappelle le modèle GAVI qui, selon Oesch, distribue des milliards de doses de vaccins aux pays en développement sans réglementation adéquate.
"Il ne s’agit pas de santé, mais de pouvoir, de marché et de l’érosion progressive du contrôle démocratique", conclut Oesch.
Son association prévoit de continuer à exercer une pression, éventuellement par le biais d'un référendum sur la loi sur les épidémies. Selon Oesch, la Suisse doit recouvrer sa souveraineté pour ne plus servir "d'exécutant" des structures de pouvoir mondiales.
De plus amples informations sur les recherches de l’association "Wir" sont disponibles sur le site vereinwir.ch , notamment sous la rubrique "Spider Threads".
https://uncutnews.ch/das-who-geheimlabor-in-der-schweiz-unglaubliche-fakten/