Un Médecin Révèle des Anomalies Cérébrales après les Injections contre la Covid et une Calcification Anormale de la Glande Pinéale !

Rapport de cas et questions sérieuses pour la médecine !
Dans une vidéo récemment diffusée, le docteur Xavier Huelmo ( un médecin argentin reconnu pour ses travaux cliniques et scientifiques en neurologie, considéré comme l'un des plus jeunes représentants de la médecine universitaire en Argentine et reconnu pour ses contributions à la recherche sur les maladies neurodégénératives ) explique une découverte qui, selon lui, est de plus en plus préoccupante.
La vidéo montre un scanner cérébral d'un patient de 24 ans, vacciné contre la COVID-19, qui avait consulté pour des vertiges persistants.
Selon Huelmo, deux anomalies clés sont visibles sur les images, qui, selon lui, nécessitent une réévaluation interdisciplinaire par des radiologues et des neurologues.
Calcification de la glande pinéale !
Premièrement, l'épiphyse de la glande pinéale présente une calcification importante.
Huelmo rapporte que les radiologues avec lesquels il s'est entretenu font état d'une fréquence croissante de ces observations ; il parle d'ailleurs "d'épidémie de calcification de la glande pinéale".
À l'heure actuelle, aucune explication médicale claire n'a été apportée à ce phénomène.
La glande pinéale joue notamment un rôle dans la régulation du cycle veille-sommeil et des processus neuroendocriniens.
Si les modifications ou calcifications ne sont pas considérées comme nouvelles en médecine conventionnelle, selon Huelmo, on ne s'attendait pas à une telle ampleur et chez des patients aussi jeunes.
Modifications inflammatoires du cerveau !
La seconde anomalie concerne une zone structurellement altérée, entourée d'un halo inflammatoire, dans la partie supérieure du cerveau.
Selon Huelmo, le patient n'avait subi aucun traumatisme crânien susceptible d'expliquer cette observation.
Cette altération, située intracérébralement (à l'intérieur du cerveau), soulève de nouvelles questions.
Huelmo signale également des artefacts d'image et des modifications locales qui pourraient coïncider avec des zones de conductivité électrique accrue. Selon lui, ces observations ne sont pas anodines et doivent faire l'objet d'une étude systématique.
Des interprétations de grande portée et une demande de recherche !
L'analyse de Huelmo dépasse le cadre du cas individuel.
Il met en garde contre les effets à long terme que pourraient avoir les lésions des tissus nerveux sensibles sur les processus cognitifs, neurologiques et développementaux.
Dans ce contexte, il souligne également l'augmentation des taux de troubles neurodéveloppementaux, notamment chez les enfants.
Le médecin appelle à une consultation scientifique nationale et internationale afin que des experts indépendants puissent examiner ces résultats de manière ouverte, interdisciplinaire et impartiale.
Selon lui, il serait irresponsable d'ignorer ces indications ou de les minimiser prématurément.
Thèse d’une "blessure binair" !
Un autre aspect de sa présentation concerne l'hypothèse d'une "arme binaire".
Huelmo la définit comme l'interaction de deux facteurs :
d'une part, des agressions chimiques ou biologiques internes à l'organisme, et d'autre part, une exposition à une énergie externe ou à des radiofréquences, par exemple lors d'examens d'imagerie médicale ou via des sources environnementales.
Pris individuellement, chaque facteur peut être inférieur à un seuil critique, mais leur combinaison peut amplifier les lésions tissulaires, notamment en présence de substances conductrices d'électricité dans l'organisme.
Cette théorie est très controversée et Huelmo lui-même estime qu'elle nécessite des recherches supplémentaires.
Il souligne toutefois que, dans ces conditions, le corps humain devient de fait un "laboratoire", sans que les conséquences à long terme soient suffisamment comprises.
Des questions ouvertes plutôt que des réponses définitives !
Ce cas ne fournit pas de preuve concluante, mais il soulève de sérieuses questions :
pourquoi certains signes neurologiques sont-ils plus fréquents chez les jeunes ?
Pourquoi n’existe-t-il pas d’études transparentes à grande échelle sur ces anomalies d’imagerie ?
Et pourquoi les observations cliniques critiques sont-elles si rarement discutées publiquement ?
Quelle que soit l’évaluation de chaque cas, une chose est claire : les appels à une enquête scientifique ouverte se font de plus en plus pressants.
Des affaires comme celle-ci démontrent que des recherches sérieuses et indépendantes sont indispensables pour rétablir la confiance, la transparence et la responsabilité médicale.
https://uncutnews.ch/arzt-zeigt-auffaellige-gehirnbefunde-nach-covid-impfung/