vendredi 4 octobre 2024

Explosion de l’Activité Funéraire en France !

Explosion de l’Activité Funéraire en France depuis les Injections Diaboliques qui font Trépasser les Moutons à l'Insu de leur Plein Gré ! 


L’indice de production dans les services funéraires, publié en février dernier par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), a été actualisé dernièrement pour inclure les données de juin 2024. 
Il montre l’évolution de l’activité marchande enregistrée dans les établissements funéraires entre 2005 et 2024. 
Il s’agit d’un indicateur crucial pour évaluer le niveau d’activité d’un secteur économique – en l’occurrence le secteur funéraire –, et donc pour comparer le niveau de la mortalité au plus fort de la pandémie de COVID-19 et depuis l’introduction des vaccins supposés y mettre un terme en 2021 : 
Les indices de production dans les services permettent de mesurer, mensuellement, et de façon précoce l’évolution de l’activité dans les secteurs des services marchands. 
Ils constituent à ce titre une information essentielle pour le suivi du cycle conjoncturel. 
Ils relèvent du règlement européen no 2019/2152 (EBS-regulation).
Les indices de production dans les services sont calculés grâce à des données administratives, la déclaration CA3 (https://www.impots.gouv.fr/formulaire/3310-ca3-sd/tva-et-taxes-assimilees-regime-du-reel-normal-mini-reel), un formulaire que les entreprises doivent remplir mensuellement ou trimestriellement pour le paiement de la TVA. 
Ils utilisent également des indices de prix afin d’obtenir une mesure en volume. 
Quand l’explosion de cet indicateur a-t-elle réellement commencé ? 
En zoomant sur la période allant de décembre 2019 à juin 2024, on obtient le graphique suivant associé aux données ci-dessous (nous ne présentons ici que les données correspondant aux pics d’activité, elles peuvent être récupérées de façon exhaustive sur le site de l’Insee).
Évolution de l’indice de production depuis décembre 2019
Décembre 2019 —> 90,03
Mars 2020 
—> 86,73
Avril 2020 —> 101,17
Septembre 2020 —> 96,13
Novembre 2020 —> 109,02
Février 2021 —> 98,89
Avril 2021 —> 104,48
Mai 2021 —> 99,19
Juillet 2021 —> 97,87
Septembre 2021 —> 101,04
Octobre 2021 —> 98,51
Février 2022 —> 103,54
Avril 2022 —> 105,41
Mai 2022 —> 101,46
Août 2022 —> 108,51
Septembre 2022 —> 103,12
Janvier 2023 —> 106,36
Avril 2023 —> 100,19
Juin 2023 —> 104,41
Novembre 2023 —> 100,13
Février 2024 —> 102,16
Mars 2024 —> 99,46
Mai 2024 —> 101,2

Le niveau de plus bas a été atteint en mars 2020 (86,73) et le plus haut en novembre 2020 (109,02), soit une hausse d’environ 23%. 
L’activité est marquée par des pics en août 2022 (108,51), janvier 2023 (106,36) et juin 2023 (104,41), les minimas ayant été observés en février 2021 (98,89), juillet 2021 (97,87), juin 2022 (101,46) et avril 2023 (100,19). 
Ainsi, lorsqu’on compare l’activité funéraire depuis l’apparition du COVID-19 (55 mois de décembre 2019 à juin 2024), avec la mortalité pandémique, marquée selon l’Insee par quatre vagues successives entre mars 2020 et août 2021 (printemps 2020, automne 2020, début 2021 et été 2021), soit 15 mois, on obtient le classement suivant :
45 Mars 2020 
—> 86,73
27 Avril 2020 —> 101,17
44 Mai 2020 —> 93,19
43 Juin 2020 —> 93,36
42 Septembre 2020 —> 96,13
41 Octobre 2020 —> 97,42
1 Novembre 2020 —> 109,02
3 Décembre 2020 —> 107,65
37 Janvier 2021 —> 99,82
39 Février 2021 —> 98,89
28 Mars 2021 —> 101,05
36 Juin 2021 —> 99,89
40 Juillet 2021 —> 97,87
38 Août 2021 —> 99,59
29 Septembre 2021 —> 101,04

Où sont les milliers de malades qui encombraient les services de soins critiques entre avril et juin 2020 ? 
Pourquoi le tocsin n’a-t-il toujours pas été sonné par les autorités ?

Indice de chiffre d’affaires des services funéraires ! 
La même tendance est observée pour l’indice de chiffre d’affaires des services funéraires, établi par l’Insee sur la base des déclarations mensuelles des acteurs économiques de ce marché. 
À l’évidence, quelque chose fait mourir les Français depuis 2020, qui les avait épargnés miraculeusement durant la pandémie, avant les toutes premières mesures de restriction de libertés, de masquage, de confinement et de chantage à la vaccination. 
Le Gouvernement le sait parfaitement puisqu’il a élargi en juillet dernier le délai légal d’inhumation de 6 à 14 jours, en toute discrétion.