Après des Anesthésiants Dentaires avec de l'ARNm, ils veulent vaxxiner avec des Fils Dentaires Imprégnés d'ARNm, à l'insu de son plein gré, sans Consentement Éclairé !
"Vacciner" jusqu’à l’arrivée du médecin – fil dentaire avec vaccin !
Un récent rapport de Children's Health Defense (CHD) soulève des questions controversées : le corps sera-t-il vacciné à l'avenir par le biais de soins dentaires quotidiens – à l'insu et sans consentement ?
Une nouvelle étude montre que les vaccins pourraient être administrés à l'aide de fil dentaire enduit.
Alors que les chercheurs évoquent une alternative prometteuse sans aiguille, les militants anti-vaccination et les défenseurs des droits civiques critiquent une nouvelle tentative d'administrer des substances à ARNm par tous les moyens. Le débat oscille entre l'innovation biomédicale et les craintes croissantes d'une vaccination contrôlée de la société.
Vaccination sans aiguille par les gencives : qu’est-ce qui a été testé ?
L'étude, publiée dans la célèbre revue Nature Biomedical Engineering, montre que le fil dentaire enduit de vaccin a induit une protection complète contre la grippe chez la souris.
Les chercheurs soulignent que les réponses immunitaires peuvent être déclenchées par des lésions microscopiques des gencives, ce qui permettra d'administrer les vaccins plus facilement, sans douleur et sans aiguille à l'avenir.
Les premiers tests avec des colorants fluorescents chez l'homme montrent que la substance peut pénétrer efficacement les tissus.
Il s'agit toutefois d' une recherche préclinique précoce , et les preuves chez l'homme sont minces.
Néanmoins, les résultats suscitent un intérêt considérable, notamment parmi les investisseurs et les responsables de la santé qui espèrent une vaccination de masse sans aiguille.
Questions cruciales : Qu’est-ce que cela signifie pour le consentement éclairé ?
L'organisation Children's Health Defense, fondée par Robert F. Kennedy Jr., est extrêmement critique à l'égard de cette évolution.
Un article récemment publié exprime l'inquiétude que l'administration de vaccins via des produits courants comme le fil dentaire pourrait inaugurer une nouvelle forme de "vaccination silencieuse", sans réel contrôle de la part de l'utilisateur.
Principales critiques :
- Contrôle du dosage : Quelle quantité de principe actif pénètre réellement dans l’organisme ? Le dosage est difficile à normaliser, car il dépend de la manipulation, de l’état des gencives et de la fréquence d’utilisation.
- Exigences en matière d'étiquetage : Un étiquetage clair et visible est-il obligatoire pour ces produits ? Ou un fil dentaire « à revêtement médical » pourrait-il finir sur les étagères des pharmacies comme n'importe quel autre ?
- Perte du consentement éclairé : si une décision active de se faire vacciner n’est plus nécessaire, mais se produit plutôt de manière fortuite, où devient le droit fondamental à l’autodétermination corporelle ?
La crainte de "vaccins détournés" est tout à fait fondée.
Depuis les débats autour des vaccins à ARNm, des codes QR, des vaccinations obligatoires et des campagnes de rappel, de nombreuses personnes ont perdu confiance dans les institutions de santé.
Un nouveau vaccin dans du fil dentaire relève davantage de l'infiltration que de l'innovation.
Le contexte social : de la pilule à l’obligation ?
La campagne pour une vaccination universelle a pris ces dernières années des proportions de plus en plus difficiles à concilier avec la liberté de choix individuelle.
Ce qui était autrefois destiné à protéger les groupes à risque est devenu depuis longtemps une mesure permanente et systémique : la vaccination à l’école, sur les parkings des supermarchés, sur le fauteuil du dentiste – et bientôt lors des soins dentaires du matin ?
Autre aspect : le développement de tels produits n’est pas isolé. Des concepts tels que les "aliments immunisants essentiels", les inhalateurs à base d’ARN et les patchs vaccinaux font l’objet de recherches depuis des années.
Toutes ces approches pourraient, en théorie, fonctionner sans le consentement traditionnel.
Dans un contexte de renforcement des structures de contrôle, il n’est donc pas déraisonnable d’envisager le risque d’utilisation abusive de cette technologie.
Conclusion : L’innovation médicale a besoin d’un contrôle démocratique !
Certes, la technologie de vaccination sans aiguille peut être une opportunité – pour les personnes souffrant de phobie des aiguilles, pour les zones difficiles d'accès ou en cas d'urgence médicale.
Mais c'est précisément pour cette raison qu'elle nécessite encore plus de transparence, de réglementation et de contrôle démocratique.
Les inquiétudes des critiques sont justifiées : si les vaccins sont administrés à l’avenir par fil dentaire, par aérosols ou par diffusion sans le consentement de la personne, ce ne sont pas seulement des problèmes de santé qui sont en jeu, mais aussi des libertés civiles fondamentales.
Dans une société libre, le progrès médical ne doit pas devenir un cheval de Troie pour le contrôle démographique.
https://uncutnews.ch/impfen-bis-der-arzt-kommt-zahnseide-mit-impfstoff/