lundi 13 octobre 2025

La "Grande Réinitialisation Communiste" en cours ?

La "Grande Réinitialisation" utilisée dans les Pays Communistes a sans doute été reprise par le Forum Économique Mondial sous le Nom "Le Nouvel Ordre Mondial" !


La "Grande Réinitialisation" et la Prophétie de l'Agent du KGB. 
Nous sommes actuellement dans la deuxième phase.

La prophétie du transfuge du KGB : l'avertissement de Youri Bezmenov sur la subversion rampante de l'Occident ! 

Il y a plus de quarante ans, en 1983, l'ancien agent du KGB Youri Bezmenov, qui avait fait défection à l'Ouest en 1970, donnait une conférence sensationnelle à Los Angeles. Il y décrivait la stratégie de l'Union soviétique visant à soumettre l'Occident par la subversion idéologique. Ses propos sont d'une actualité terriblement actuelle, en 2025. Bezmenov mettait en garde contre un processus rampant visant à déstabiliser les sociétés occidentales et à mener au communisme.

Cet article examine les quatre étapes de la subversion décrites par Bezmenov et montre pourquoi son avertissement reste pertinent aujourd’hui.

Les quatre phases de la subversion ! 

Bezmenov décrit la subversion comme un processus délibéré et à long terme qui se déroule en quatre phases : démoralisation, déstabilisation, crise et normalisation.
Ces phases visent à saper les structures morales, sociales et politiques d’un pays sans recourir à la guerre ouverte.

1. Démoralisation : la destruction des valeurs morales fondamentales ! 

La première phase, qui dure environ 15 à 20 ans, vise à saper les fondements moraux et idéologiques d'une société. Elle y parvient en influençant délibérément des domaines clés tels que la religion, l'éducation, la vie sociale, l'administration, le système judiciaire, l'armée et les relations de travail.

Bezmenov a expliqué que durant cette période, l’Union soviétique a manipulé les médias et la science pour inculquer les idéologies marxistes-léninistes dans l’esprit des gens, en particulier de la jeune génération.

La religion est ridiculisée ou remplacée par des sectes qui détournent l'attention des valeurs religieuses traditionnelles. Dans l'éducation, les matières pragmatiques comme les mathématiques ou les sciences sont remplacées par des matières à caractère idéologique comme « Histoire de la guerre urbaine » ou « Éducation sexuelle ».

Les liens sociaux entre les individus et les communautés sont remplacés par des institutions bureaucratiques qui n'ont été élues par personne. Selon Bezmenov, les médias exercent un quasi-monopole sur l'opinion publique, sans légitimité démocratique.

Le résultat de cette phase est une société où les gens perdent contact avec la réalité.
« Une personne démoralisée ne peut plus apprécier la réalité », disait Bezmenov. « Les faits ne signifient rien pour elle. » Même des preuves accablantes ou une visite dans un camp de concentration soviétique ne suffiraient pas à la convaincre ; seul un coup de pied aux fesses suffirait à la réveiller.

2. Déstabilisation : Semer le chaos ! 

La deuxième phase, qui dure de deux à cinq ans, vise à créer le chaos dans la société. Les relations traditionnelles entre individus, groupes et institutions se radicalisent. Les compromis deviennent impossibles et les conflits s'intensifient.

Bezmenov décrit comment les relations entre employeurs et employés, enseignants et étudiants, et entre voisins deviennent de plus en plus conflictuelles. Les syndicats, initialement destinés à protéger les droits des travailleurs, deviennent des instruments de luttes idéologiques souvent néfastes pour l'économie.

Les médias jouent un rôle central en glorifiant les conflits et en incitant les groupes à s'affronter. Bezmenov parle d'« agents dormants » : des agents ou des individus influencés qui, après des années d'inactivité, émergent soudainement comme leaders de mouvements sociaux. Cette phase vise à amener la société à un état où elle ne fonctionne plus.

3. Crise : L'effondrement ! 

La troisième phase, qui ne dure que quelques mois, est la crise. La société est tellement déstabilisée qu'elle s'effondre. Cela peut conduire à une guerre civile, une révolution ou une invasion étrangère.

Bezmenov a souligné que durant cette phase, les « idiots utiles » – les partisans idéalistes de l'idéologie subversive – sont souvent devenus superflus. Ils perdent leurs illusions, deviennent des obstacles et sont finalement éliminés, exilés ou emprisonnés, comme ce fut le cas à Grenade, en Afghanistan ou au Bangladesh.
« Le schéma est le même partout », a déclaré Bezmenov.

4. Normalisation : acceptation du communisme ! 

La phase finale est la « normalisation », un terme cynique inventé par la propagande soviétique après la répression du Printemps de Prague en 1968.

Durant cette phase, la population accepte le communisme comme la nouvelle norme. Les révolutionnaires encore utiles pendant la crise ne sont plus nécessaires et sont souvent éliminés physiquement. La société est stabilisée par la violence, et les nouveaux dirigeants usent de leur emprise pour exploiter le pays. Cette phase peut durer jusqu'à 20 ans.

La pertinence aujourd’hui : la « Grande Réinitialisation » et la jeunesse ! 

La conférence de Bezmenov n'est pas une simple anecdote historique. Les sondages montrent que le soutien au socialisme et au marxisme progresse parmi les jeunes des pays occidentaux, y compris aux États-Unis.

Des propositions comme la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial, qui appelle à une transformation radicale de l'économie et de la société, s'inscrivent dans un modèle de déstabilisation, selon les critiques. Ces initiatives promettent des solutions aux problèmes sociétaux, mais engendrent souvent davantage de bureaucratie et portent atteinte à la vie privée des citoyens, comme l'a décrit Bezmenov.

Comment peut-on arrêter la subversion ?

Bezmenov a souligné que la clé pour prévenir la subversion réside dans un retour aux valeurs morales et religieuses. Une société forte, consciente de son identité et de ses valeurs, est difficile à infiltrer.

Il a appelé à restreindre l'importation d'idéologies étrangères et à limiter le pouvoir des institutions non élues comme les médias ou les syndicats. Même de légères restrictions, comme l'interdiction de la publicité manipulatrice ou la limitation de la propagande, pourraient enrayer le processus de démoralisation.

Au niveau de la déstabilisation, Bezmenov a proposé de limiter le pouvoir des groupes qui se déclarent « ennemis de la société » – non pas par la violence, mais par des processus démocratiques.

Un retour à la maîtrise de soi, telle que prônée autrefois par la religion, pourrait freiner l’avidité de consommation et la radicalisation des conflits.

Conclusion : Un avertissement qui doit être entendu ! 

La conférence de Youri Bezmenov est un signal d'alarme. L'analyste de données Wouter Aukema la décrit comme difficile, mais essentielle pour comprendre « ce qui se passe dans notre pays. Et pourquoi ».

La subversion rampante décrite par Bezmenov n’est pas un thriller d’espionnage hollywoodien, mais un processus réel qui fonctionne par la manipulation, la propagande et l’exploitation des faiblesses sociales.

Son message est clair : ce n’est qu’en faisant preuve de vigilance, de force morale et en ayant le courage de combattre les idéologies subversives que l’Occident pourra se sauver du sort prophétisé par Bezmenov.

La vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=5gnpCqsXE8g 

https://uncutnews.ch/der-great-reset-und-die-prophezeiung-des-kgb-agenten-wir-sind-aktuell-in-der-zweiten-phase/