lundi 13 octobre 2025

Trump déclare la Fin de la Guerre de Gaza !

La Fin de la Guerre de Gaza va-t-elle Tenir face aux Faucons Israéliens qui veulent Terminer leur "Travail Génocidaire" ?


Israël applaudit à la libération de tous les otages et l'Égypte se prépare à finaliser son accord de Paix secret, soutenu par les États-Unis, dont l'État Profond n'a jamais voulu la signature ! 
Trump a atterri en Israël aujourd'hui et a frappé droit au but. 
Devant la Knesset au complet, il a déclaré la fin de la guerre à Gaza – pas de négociation, pas de retard, pas de déclarations édulcorées. 
Il a regardé les dirigeants israéliens dans les yeux et leur a dit : "Vous avez gagné. 
Il est temps de reconstruire, de libérer les prisonniers et de stabiliser la région." 
Son message était clair, définitif et délibéré. 
Puis il a fait ce qu'aucun autre dirigeant n'aurait osé : il s'est tourné vers le Président Isaac Herzog et a exigé une grâce présidentielle pour une personnalité encore empêtrée dans des batailles judiciaires, pleinement conscient de la tempête politique que cela déclencherait. 
Ce n'était pas une suggestion polie, mais une manœuvre de pouvoir public. 
Trump sait que le cirque juridique est un outil utilisé pour réduire au silence les dirigeants qui refusent de plier sous le joug mondialiste. 
Et il l'a clairement indiqué : ce jeu est révolu. 
Mais Trump ne s'est pas contenté de parler : il a tenu parole. 
Aujourd'hui, conformément aux termes du cessez-le-feu qu'il a orchestré, les 13 derniers otages israéliens encore en vie ont été libérés, clôturant ainsi deux années de violence. 
Les 20 survivants sont désormais chez eux, réunis avec leurs familles. 
Il s'agissait d'une manœuvre stratégique menée avec une précision militaire et une influence discrète que seul Trump pouvait faire fonctionner.


En échange, Israël a accepté de retirer ses troupes vers des positions prédéterminées et d'entamer une libération de prisonniers. 
Le cessez-le-feu est désormais en vigueur, sous la surveillance de 200 soldats américains déjà déployés pour le faire respecter. 
Pas de vote à l'ONU. Pas d'autorisation préalable. 
Trump a obtenu gain de cause, tandis que d'autres hésitaient et hésitaient. 
Alors même que les otages étaient libérés, le Hamas a fait une démonstration de force à Gaza. 
Son "Unité fantôme" a défilé visiblement dans les rues, armée jusqu'aux dents, postée près des infrastructures civiles. 
Ce n'était pas un hasard. 
C'était une provocation, un signal adressé à ses soutiens qu'il était toujours dans la course. 
Mais cela n'a pas arrêté le flot. 
Les otages sont rentrés chez eux malgré tout. 
Pendant ce temps, Tel-Aviv s'illuminait de gratitude. 
Des banderoles géantes ornaient les immeubles pour remercier Trump. 
La foule acclamait. 
C'était une reconnaissance sans fard de la part d'une population qui sait précisément qui a forcé la percée. 
La soi-disant communauté internationale ? 
Encore en train de rédiger des déclarations. Trump ? 
Déjà en route.

Prochaine étape : l’Égypte , où Trump copréside un sommet de paix à Charm el-Cheikh avec plus de vingt pays. 
Mais il ne s’agit pas seulement d’un cessez-le-feu : il s’agit de remodeler toute la région. 
Le plan en vingt points de Trump prévoit la reconstruction complète de Gaza, le désarmement des cellules radicales et le déploiement d’une Force internationale de stabilisation qui ne répond à aucun fantoche mondial. 
Ce plan est dirigé par les États-Unis, ordonné et calculé. 
Et pour ceux qui espèrent exploiter le chaos pour promouvoir des programmes expansionnistes, Trump a été très clair : pas d’annexions, pas de libre-échange. 
Il ne s’agit pas d’accaparement de terres. 
Il s’agit d’endiguement stratégique, de réalignement des forces et de contrôle mené par les États-Unis. 
Ce qui vient de se passer en Israël n'était pas une simple visite. 
C'était une onde de choc. 
Un changement de cap forcé. 
Une réaffirmation de pouvoir dans un monde devenu incontrôlable. 
Trump n'est pas venu pour parler, il est venu reprendre le contrôle du récit et redessiner la carte.